Ébats potagers

La rédaction 29 janvier 2021

Pendant son jardinage, Babeth, 73 ans se fait reluquer les fesses par son gendre. Il n’en faudra pas plus au bougre pour lui enfoncer son concombre dans la gorge.

Je m’appelle Babeth et je suis une vraie douceur avec mes filles et mes petits-enfants. Ne me jugez pas : il y a quelques mois, j’ai aussi pris soin d’un de mes gendres…Voici mon histoire de sexe. 

J’ai 73 ans. Depuis mon veuvage en 2014, je reçois mes filles à tour de rôle chaque été, avec leur conjoint et leurs enfants à chacune. Je soigne tout le monde aux petits oignons. Par exemple, je fais chaque jour le tour du potager aux aurores et je ramasse de beaux légumes frais, que je cuisine ensuite avec amour.

En juillet dernier, un matin où il faisait déjà très chaud, j’étais descendue au jardin en combinaison de nuit. Celle en soie blanche, décolletée avec des bretelles fines. J’ai de gros roploplos et ça débordait un peu, mais pas de risque d’être vue, pensais-je : ma fille aînée et son mari Julien dormaient souvent tard, et j’avais deux bonnes heures avant que mes petits-enfants réclament leurs tartines. En ramassant mes salades, j’ai vu plusieurs touffes de pissenlits qui prenaient leurs aises. J’ai attrapé ma binette, relevé ma liquette au-dessus de mon derrière pour ne pas me salir et je me suis penchée pour tout arracher sans pitié.

J’étais le nez au sol et les fesses relevées, à donner des coups de binette bien appliqués, quand j’ai cru sentir une présence. Mais ces bon sang de pissenlits étaient ma priorité. Han ! Han ! Je me suis acharnée jusqu’à l’élimination du problème et me suis relevée en nage. C’est là que j’ai découvert un autre souci en face de moi. Julien était là, en t-shirt et caleçon, avec dedans une boule qui n’était pas une aubergine du potager. Il s’est gratté la tête en disant : « Belle-Maman, j’étais réveillé et j’ai pensé vous aider au jardin… »

Je suis devenue rouge comme une tomate de m’être laissée surprendre dans cette posture. La sueur collait la liquette à mon ventre et mes grosses doudounes étaient à moitié sortie du décolleté… J’ai voulu avancer vers Julien pour expliquer ma tenue, mais j’ai trébuché sur une motte de terre et je me suis cassée la margoulette, pour finir cramponnée à ses cuisses. J’avais maintenant le paquet de Julien sous le nez et vu sa taille, je comprenais que ma fille l’ait épousé !

J’ai tenté de me relever en m’accrochant à ce que je pouvais, c’est à dire au caleçon de mon gendre. Andouille que j’étais, évidemment qu’il n’allait résister, avec son pauvre élastique ! La cucurbitacée de Julien m’a sautée au visage, dure, odorante… J’ai levé les yeux et le cochon m’a regardé avec des yeux du diable. Oh, comme je reconnaissais cet air d’homme en rut, que pourtant je n’avais pas vu depuis longtemps ! Et que la courge de Julien était appétissante !

J’ai senti ses doigts glisser dans mon chignon défait et j’ai fermé les yeux. Doucement mais fermement, mon gendre m’a amenée contre son chibre. Ma face s’est posée sur son paquet, que j’ai humé longuement. Une odeur d’urine mais aussi, de sperme… Avait-il besogné ma fille durant la nuit ? Alors pourquoi bandait-il maintenant sur la mère ? Mon esprit tentait de chasser ces pensées dégoûtantes mais ma langue perçait entre mes lèvres sans que je puisse l’en empêcher… J’ai senti le goût salé, la palpitation de la grosse veine… Et j’ai ouvert la bouche en gémissant de honte.

Julien, ce rustre, m’a de suite enfoncé son bouquet garni dans la bouche. J’ai dû ouvrir grand en gémissant toujours. C’était du massif ! Les couilles étaient collantes, le gland suintait et la tige ferme m’a déformé les joues de part en part… J’étais sonnée, humide moi-même et la main entre les cuisses. Les genoux plantés en pleine terre, je me suis mise à me branler furieusement pendant que mon gendre disposait de ma bouche comme il l’entendait, c’est à dire en la farcissant sans réserve, ce qui m’arrachait des « Hon ! Hon » incontrôlables !

La cyprine arrosait mes doigts et je sentais l’orgasme poindre. J’ai ouvert les yeux pour le faire comprendre à Julien mais il se tenait les yeux fermés, la bouche ouverte et les traits contractés. Lui aussi était à bout ! J’ai tourné mon doigt plus vite sur mon bouton de rose et soudain, j’ai vu mille étoiles… Mon gendre a profité de mon étourdissement pour se vider dans mon gosier, en poussant d’affreux jurons entre ses dents. J’ai avalé son jus pour ne laisser aucune trace de notre péché, et aussi profiter jusqu’au bout de ses délices…

Évidemment, nous n’avons rien dit à ma fille. Mon gendre est parti plus vite que prévu de notre campagne en prétextant une urgence au travail. Tant pis, tant mieux. Mais depuis, impossible de ramasser mes salades sans repenser à nos ébats potagers.

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