La fellation de la jardinière

La rédaction 17 avril 2020

Mylène travaille dans une jardinerie dans le sud de Paris. Elle y fera la rencontre d’un Rugbyman aux dimensions de géant. Il n’en fallait pas plus pour étourdir la belle…

Bonjour,

Je m’appelle Mylène et je travaille dans une grande enseigne de jardinerie en région parisienne sud. Je m’occupe principalement de la partie pépinière, c’est-à-dire des pièces assez volumineuses : les arbres, les buissons pour les haies, les fruitiers, etc …

Au printemps dernier j’ai vu arriver un grand mec, souriant, vêtu avec un sweat aux couleurs d’une équipe de rugby parisienne. Il était musculeux mais sans être dans la gonflette ridicule, on sentait la puissance à l’état brut chez ce grand mêle d’un mètre quatre-vingt-dix !

Le plus drôle est qu’il était timide et très réservé. C’est moi qui l’ai abordé, mon père est fan du ballon ovale et je me suis dit que, peut-être, je pourrais avoir une dédicace, ou mieux, un ballon signé !

On a engagé la conversation, il venait d’arriver dans son nouveau club à l’occasion du mercato et, comme beaucoup de joueurs, s’installait dans une maison louée par le club. Il voulait aménager son jardin, j’ai donc pris le géant sous mon aile et quand je vous aurais dit que je mesure à peine un mètre soixante-cinq, vous voyez le tableau !

Il venait du sud-ouest, mes origines étant aussi de là-bas, cela a détendu l’atmosphère et à chacune de ses visites, il me demandait expressément ou me cherchait dans les allées de buddleias, de forsythias et autres orangers du Mexique. Au bout de sa troisième visite on se tutoyait, à la cinquième nous nous sommes fait la bise.

Je voyais bien que je lui plaisais, il était célibataire, moi, j’avais plus ou moins un copain mais rien de sérieux et j’ai commencé à fantasmer grave sur Henri. J’avais déjà eu en cadeau de mes copines un peu fofolles des calendriers de ces dieux du stade nus et j’avoue que leur charme de lutteur gréco-romains agissait sur moi.

Je me suis mise à me masturber tous les soirs en pensant à ses bras noueux, à ses mains gigantesques empoignant mon petit cul, imaginant à quoi pouvait bien ressembler sa queue, au repos, en érection. J’adore voir un homme se mettre à bander, ça m’a toujours excitée au plus au point.

Quelques semaines plus tard nous avons échangé nos numéros de téléphone et on a commencé à échanger. Evidemment de conversations banales sur notre quotidien, les messages se sont doucement transformés en sextos et en nudes. Je lui ai offert des bouts de moi, de son côté il était plus timoré mais lorsqu’il a reçu ma poitrine il a craqué. Il adorait mes seins plutôt menus mais en forme de poire aux aréoles très larges et très brunes. Il a fini par oser m’envoyer des photos en pieds, prises devant un miroir, son sexe au repos était impressionnant, plaqué contre une cuisse de taureau ! Je dois avouer que j’ai agrandi le cliché sur mon téléphone et mon vibro s’est déchainé sur mon bouton de rose alors que je m’imaginais que c’était sa queue qui se plaquait contre ma féminité.

Deux longues semaines se sont passées sans que nous nous voyons, le Top 14 reprenait ses droits et Henri était sur toutes les feuilles de match. Nos échanges, en revanche, n’ont ni baissé de fréquence ni d’intensité et il m’a enfin annoncé son passage pour le surlendemain.

Autant vous dire que je me suis apprêtée, enfin, autant qu’on le peut en tenue de travail et en chaussures de sécurité ! Mais tout de même, je me suis faite jolie, coiffée avec soin, maquillée, parfumée et, ce que je fais jamais, sans rien en dessous ! Ni culotte, ni soutif !

La journée était belle, un grand soleil chauffait les serres et mon désir montait à mesure que le mercure grimpait dans le thermomètre. Je passais mon temps à scanner la foule au-dessus des feuillages quand je l’ai enfin reconnu. Je lui ai fait des grands signes et il m’a aperçue.

Mon cœur battait la chamade, j’avoue, il y avait préméditation dans mon crime. Il s’est approché de moi et je me suis retrouvée noyée dans l’ombre de ce géant. Il s’est penché pour me faire la bise et j’ai incliné soudainement la tête, nos lèvres se sont écrasées les unes sur les autres, enfin je l’embrassais. Henri a répondu à mon audace avec une fougue que je ne lui soupçonnais pas ! Il m’a enlacée et a cherché ma langue avec la sienne. Notre baiser a duré une éternité puis je lui ai pris la main et je l’ai entraîné vers le fond de la pépinière, là se trouvent trois cabanes et j’ai l’unique clef de l’une d’entre elles.

Nous nous y sommes engouffrés et j’ai refermé à clef derrière nous. L’abri était ventilé par des fenestrons assez hauts, les rais de lumière étaient animés par les pollens en suspension, l’air était doux, envahi par des fragrances de désir animal.

Mon plan devenait tout à coup incertain, allais-je oser ? Pourrais-je franchir le Rubicon et aller aussi loin avec ce « presque » inconnu ? Sur mon lieu de travail de surcroit !

Je n’ai pas eu le temps de continuer à lui poser des questions, l’intimité avait transformé Henri, il m’a enlacée et a pris le contrôle de la situation. De timoré il s’était transformé en fauve, en prédateur séduisant face à une proie toute entière consentante.

J’ai enlevé mes lourdes chaussures de protection avec les talons tandis qu’il m’embrassait partout et m’enlevait mon t-shirt avec hâte, libérant mes seins aux tétons conquérants. Mes mains se sont attaquées à son jean mais tout était compliqué dans cet espace confiné, nous avons, de concert, opté pour un déshabillage individuel, j’ai piétiné mon pantalon afin de libérer mes jambes, j’étais totalement à poil devant ce Goliath fantastique, lui s’est contorsionné pour retirer son bas, on a ri de notre gymnastique jusqu’à ce que ma forte odeur de brune envahisse notre cache. Ma chatte de brune a toujours été capiteuse et lourde d’un parfum prégnant, mes amants ne s’en jamais plaint mais cela me complexe toujours.

Pour tout commentaire Henri a poussé un grognement sourd et m’a lâché un laconique : « Prête ? »

Prête, oui, non, à quoi au juste ? Je n’ai pas eu le temps de répondre, il m’a soulevée comme si j’étais été une plume et m’a fait lui enfourcher le visage ! Je me suis retrouvé les hanches dans l’étau de ses mains puissantes, perchée à presque deux mètres du sol à le voir enfouir son visage au creux de mes cuisses et à commencer à me humer bruyamment.

Je me suis accrochée à sa tignasse épaisse et me suis laissée guider, ahurie par tant de force et emportée par cet élan animal, bestial presque !

Ce n’est d’habitude pas mon langage mais pour la première fois de ma vie, je me suis littéralement fait bouffer la chatte. La langue d’Henri est sortie et m’a emportée au paradis. Il me pénétrait, changeait de rythme, ressortait, me léchait le clitoris avec dextérité, lapait jusqu’à mon anus musqué pour revenir aspirer ma cyprine abondante. J’ai joui férocement, en lui enserrant la tête entre mes jambes tremblantes. Il a laissé l’ouragan passer puis m’a redéposée au sol avec autant de facilité qu’il m’avait portée aux nues.

J’ai alors véritablement posé les yeux et les mains pour la première fois sur sa queue, elle était à l’image du bonhomme, large, longue et trapue. Son gland perlait de désir sirupeux tel le nœud d’un arbre d’où suinte de la sève chaude. Je me suis accroupie et j’ai pris ce manche fantastique au creux de ma main. Je ne l’ai pas sucé tout de suite, je l’ai branlé lentement, décalottant le gland sombre puis le recouvrant totalement de son prépuce épais, soupesant les couilles couleur chocolat.

Il a mis ses mains dans son dos et s’est cambré, faisant saillir encore plus son appendice fabuleux , c’est à ce moment que je me suis enfin décider à le prendre en bouche. Sa liqueur épaisse était abondante et peu salée, je me suis régalée de ce gressin comme d’un apéritif me donnant l’eau à la bouche … et ailleurs ! Je sentais ma fente dégouliner sur le sol en bois. Je mouille beaucoup d’habitude mais là, ça battait tous les records.

Visiblement Henri appréciait ma technique question fellation, je m’attardais sur son gland, ma langue taquinait son frein, puis je gobais tout ce que je pouvais au fond de ma gorges. Je faisais ressortir son membre pour déglutir et reprendre ma respiration en lapant ses bourses tout en le masturbant plus fort.

Je me suis arrêtée, mes genoux ne me portaient plus, c’est Henri qui m’a doucement invitée à me tourner, la table derrière moi a été le rocher auquel je me suis accrochée, me cambrant au maximum pour dégager mon sexe. Il s’est accroupi derrière moi, m’a léchée partout une fois de plus puis s’est relevé, il s’est mis en position de squat, jambes fléchies pour que sa bite soit à la hauteur de ma fente puis, attrapant sa hampe a fait coulisser son engin entre mes cuisses. Je voyais son gland en penchant la tête avant qu’il le fasse remonter jusqu’à mon orifice. Il a poussé sur ses reins sans s’arrêter, j’ai senti son fruit buter au fond de moi, il a agrippé mes hanches et a commencer à me prendre à mort. J’en ai eu peur pour la cabane qui abritait nos ébats tant les coups de boutoir de cet homme étaient titanesques. Il m’a prise à fond, je ne sais pas comment je n’ai pas crié. Il a pincé mes seins, m’a donné des claques sur le cul, il m’a baisée comme une chienne et j’ai adoré ça ! J’ai joui de nouveau en caressant mon clito et j’ai ensuite glissé ma main jusqu’à ses couilles. La caresse de mes doigts a été le signal du départ pour Henri,  je l’ai senti accélérer puis ralentir d’un coup, je sentis sa queue sortir totalement de moi, me pénétrer à fond, ressortir, se replanter et s’immobiliser. Les secondes se sont suspendues, et j’ai senti ses mains broyer mes fesses tandis qu’il crachait son foutre en moi.

J’étais comme assommée, j’avais rarement baisé avec autant d’intensité, nous nous sommes rhabillé non sans se caresser encore, il m’a doigté avec volupté, il m’a même glissé un doigt dans le cul avant de le sucer. J’ai récolté un peu de son sperme à son méat, je l’ai goûté aussi, il était presque sucré. Je me suis promis que la prochaine fois je le sucerai jusqu’au bout pour le boire.

Nous sommes sortis l’un après l’autre nous donnant rendez-vous quelques jours plus tard.

Henri est parti payer, je suis retourné à mes plantation, je sentais le sperme couler sur mes cuisses et j’ai ri toute seule de l’idée saugrenue qui venait de naître en moi … peut-être était-ce un excellent engrais !?

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