Le jardin des délices

La rédaction 5 janvier 2021

Auguste, 45 ans, est jardinier chez 2 grands-mères et un jour alors qu’il se fait mal…elles vont devenir plus lubriques que jamais !

Fidèle lecteur de votre revue depuis de nombreuses années, je vais vous raconter mon histoire de sexe personnelle. J’ai 45 ans, je suis célibataire, mais avec une copine de temps à autre. Je suis jardinier professionnel à mon compte. Dans ma clientèle, j’ai deux mamies de 78 et 88 ans. Depuis une dizaine d’années, j’assure l’entretien de leurs propriétés voisines l’une de l’autre.

Ce jour-là, j’étais chez Hélène (88 ans) pour élaguer un vieux sapin. Comme il faisait très chaud, je n’avais sur moi qu’un slip et une salopette. Alors que je bossais sur cet arbre, j’ai glissé, et un morceau de bois s’est pris dans la fermeture de ma salopette. Je me suis retrouvé par terre avec des vêtements déchirés…

J’ai regardé les dégâts et j’ai senti une vive douleur au niveau de ma cuisse. J’avais une estafilade qui courait du pubis à la jambe en passant par mon sexe. Ça ne saignait pas, mais c’était très rouge. Hélène est venue à ma rencontre et m’a proposé d’entrer chez elle pour me soigner.

Arrivé au salon, j’ai retiré mes habits qui n’étaient plus que de vulgaires lambeaux. Elle m’a apporté une crème pour masser mon bobo. Elle a tenu à poser la crème elle-même sur les endroits atteints. J’étais assez gêné d’être nu devant elle… Mon sexe est un peu hors norme (à peu près 20 cm), et je suis circoncis.

Elle a beaucoup appuyé le massage sur mon pénis, et je me suis vite retrouvé au garde-à-vous. Elle a poussé un petit « oh ! » et a ajouté qu’elle n’en avait jamais vu de semblable. Elle n’a pas arrêté de masser mon pénis pour autant… Je sentais que je n’allais pas tenir bien longtemps. Elle m’a rassuré en me disant que je pouvais me laisser aller… Et une grosse giclée de sperme est allée se loger entre ses seins ainsi que sur son menton.

Elle s’est levée pour aller chercher un mouchoir. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’ai attrapée entre les cuisses. « Vous savez, cela fait quinze ans qu’un homme ne m’a pas touchée, alors vous pouvez continuer… » Je me suis assis près d’elle pour lui retirer sa robe. J’ai découvert qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle avait encore des seins magnifiques pour son âge.

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J’ai tété ses mamelons qui étaient gros comme des fraises. Mes mains sont descendues vers sa culotte. Elle n’attendait que ça. Quelle surprise : elle avait un mont de Vénus très proéminent ! Avec des poils blancs extrêmement fournis et un clitoris long comme un petit pénis ! Ses petites lèvres faisaient comme le fanon d’une dinde. J’étais en admiration devant ce sexe d’une rare beauté.

Elle s’est allongée sur le canapé. Je me suis fait un devoir de rendre hommage à son clitoris que j’ai sucé jusqu’à ce qu’elle obtienne un orgasme qui l’a laissée un moment un peu hagarde.

Ayant repris ses esprits, elle a voulu me faire une fellation. Mon pénis quoique très gros est entré facilement dans sa bouche. Je n’ai pas voulu décharger tout de suite. J’ai placé mon gland à l’entrée de sa chatte et je suis entré le plus doucement possible. Elle a poussé un « ah ! » de satisfaction et a ajouté : « Que c’est bon ! » Elle était dilatée à l’extrême. Je me suis lâché à fond. Dans une interstron.ru commune, nous sommes restés en béatitude, collés, pendant un temps indéfini.

Du coup, nous avons pris l’habitude de faire l’amour une fois par semaine. Un jour que j’étais en train de la prendre sur la table du salon, tous les deux nus, j’ai senti une présence dans mon dos. C’était Suzy, la voisine ! Elle s’est mise à rire aux éclats quand elle nous a vus. C’était le coup de la surprise. Nous n’avons pas pu nous décoller tout de suite.

Qu’est-ce qu’on a pu être gênés devant elle ! Elle s’est approchée, a passé une main sur la chatte d’Hélène et a tiré sur mon pénis pour le décoller tout à fait du vagin. Elle voulait voir mon barreau, comme elle disait.

Sans me prévenir, elle a gobé mon sexe et m’a offert une merveilleuse fellation. Je pensais que ces trucs n’existaient que dans les films. Eh bien, non. Elle s’est déshabillée complètement et s’est couchée sur sa copine. Là, j’ai eu devant moi un spectacle magnifique : quatre entrées pour moi tout seul. Je suis entré dans sa chatte et dans son cul avant d’entrer à nouveau dans la chatte d’Hélène et ainsi de suite…

Je suis le plus heureux des hommes. Deux mamies charmantes à ma disposition et ce plusieurs fois par semaine. En plus, je suis employé chez elles à temps complet maintenant ! C’est le pied. Je ne sais pas jusqu’où cela nous mènera, mais en attendant, on profite bien tous les trois de cette nouvelle vie.

Je souhaite une longue vie à votre magazine.

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