Emboîte de nuit

Annabelle nous fait part de son histoire de sexe avec son collègue Enzo, pour qui elle a une attirance inexplicable.

Salut interstron.ru, ici Annabelle, 19 printemps. Je te lis en cachette et c’est toujours un plaisir, alors pourquoi ne pas t’envoyer un courrier ?

Danseuse de club

Cet été, j’ai réussi à convaincre mes parents de me laisser prendre un job. Ils pensaient que j’allais m’occuper de petits vieux dans une maison de retraite à côté de Marseille.

La vérité, c’est que je n’ai jamais mis les pieds là-bas et que j’ai passé deux semaines comme danseuse dans une boîte de nuit sur la côte d’Azur. Pas exactement le genre de job pour une fille à papa d’Aix-en-Provence, mais j‘avais envie de m’encanailler.

Le club était plein chaque nuit que je passais à danser sur les podiums avec d’autres jeunes dont certains sont devenus des potes. Un monde bien loin de mes habitudes, mais je me suis vite prise au jeu.

Parmi les autres employés, il y avait Enzo. Un Italien frimeur et bourrin qui attirait toutes les clientes du club avec son sourire éclatant et ses gros muscles. Très peu pour moi, me disais-je. Trop beauf pour une fille de bonne famille qui dansait pour le fun et quelques thunes, avant de reprendre sa vie d’étudiante en droit. 

Attirance pour un beau beauf

Je me suis convaincue pendant plusieurs jours que je valais mieux que ça. Quand je voyais Enzo draguer tout ce qui bougeait, je me disais que c’était franchement pathétique. Mais au fond, je me mentais à moi-même.

Il avait un côté brut, un peu sauvage, qui me plaisait malgré moi. Et puis un visage d’ange et un corps de dieu romain… Chaque fois qu’il posait ses yeux sur moi, c’était le frisson. Au fil des nuits, tandis que nous dansions à quelques mètres l’un de l’autre, je n’ai plus pu nier l’évidence. J’avais envie de lui.

Ça s’est passé en fin de soirée, dans les loges du club. On venait de finir un shift de folie et je suis allée me changer dans les coulisses. J’étais encore pleine d’adrénaline et lui est entré, comme s’il savait exactement ce qui allait se passer.

Il m’a juste regardée, et sans réfléchir, j’ai tout lâché. On s’est jeté l’un sur l’autre, c’était électrique, intense. Sa bouche avait un goût de cocktail à la fraise, peut-être même du rouge à lèvres d’une autre, sa peau était salée, je sentais chaque muscle sous ma langue.

Se laisser guider

J’avais envie de le dévorer et d’être dévorée, je jouissais de ses baisers et de ses morsures, j’en réclamais encore entre deux râles… Dans ma tête, c’était le feu d’artifice, rien à voir avec les histoires bien sages que j’avais connues avant, les petits bourges qui bandaient mou après deux verres et qui s’endormaient sans m’avoir fait jouir.  

Enzo a littéralement arraché mes vêtements et sa force m’a donné envie qu’il me plaque au mur, qu’il me soulève, qu’il me possède violemment. Je me suis collée contre lui et j’ai senti sa bite énorme, encore plus tentante que dans mes rêves.

Il s’est foutu en slip et j’ai vu son tatouage, le dauphin kitsch dont j’avais parlé à mes copines en rigolant… Son côté beauf m’a excitée encore plus, j’étais la petite princesse et lui, l’Italien testostéronné qui allait me prendre, me baiser, me faire hurler.

D’un geste directif, Enzo m’a montré ce qu’il voulait. J’ai ouvert la bouche et je l’ai laissé me guider fermement, les yeux mi-clos. Il a profité de ma bouche autant qu’il le voulait, au point que j’ai dû prendre des pauses afin de soulager mes mâchoires, tout en le branlant pour satisfaire son appétit qu’on aurait dit illimité.

Un italien chaud bouillant

L’Italien était si excité que, quand il m’a allongée et qu’il m’a collé sa bite veineuse entre les seins, j’ai cru qu’il allait jouir sur mon visage. Mais il m’a retournée de ses bras puissants et a écarté ma culotte.

Mes oreilles bourdonnaient autant à cause de la musique qui faisait trembler les murs du club que de désir. J’ai pensé à mes pauvres parents qui croyaient leur petite chérie bien tranquille dans son lit… 

Enzo a vite chassé cette image en écartant mon cul de ses deux mains. Ce salaud n’allait quand même pas oser ? L’idée ne me déplaisait pas, mais tout de même, je n’étais pas le genre de fille qui se laisse enculer le premier soir. Alors j’ai glissé ma main entre mes cuisses et je lui ai indiqué le chemin. Le beau gosse a poussé un grognement satisfait : je mouillais vraiment beaucoup…

Heureusement, parce que ce cochon m’a pénétrée d’un seul coup et j’ai failli céder sous l’assaut, puis les suivants. À chaque fois, il m’a ramenée contre lui, en me murmurant à l’oreille des mots en italien d’une façon très sensuelle, qui contrastait totalement avec ses coups de boutoir hallucinants. 

Se sentir désirée

Alors que j’écris ces lignes, mon cher interstron.ru, je peux encore ressentir la chaleur qui envahit tout mon bas ventre tandis qu’Enzo me baise encore et encore, cette flamme qui monte et me consume, j’entends mon cri qui se mêle aux basses puissantes du club, tandis que mon amant murmure « Dai ! Dai ! Donne-moi tout ! »

Terrassée par le plus puissant orgasme de ma vie, j’ai attendu qu’Enzo finisse son travail d’étalon.

J’avais encore les jambes tremblantes quand j’ai remis ma petite robe, tandis qu’Enzo me regardait, les yeux brillants, un discret sourire aux lèvres. J’aurais pu me sentir bête, utilisée, mais au contraire : comme lorsque l’Italien me parlait à l’oreille, il y avait dans son attitude quelque chose de doux et de valorisant, comme si j’étais la plus belle et la plus désirable des femmes du monde.

Après tout, n’était-ce pas ce regard-là que j’étais venue chercher sur la côte ? Et voici comment s’est passée mon histoire de sexe qui m’a le plus émoustillée cet été !

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