Extase en haut d’une tour
5 mai 2021Charlotte, 62 ans travaille dans un bureau dans un haut bâtiment. Lorsqu’un ouvrier se pointe à sa fenêtre, elle en profite pour se rincer l’oeil (mais pas que).
Il m’est arrivé un événement que je n’aurais jamais pu imaginer et dont j’ai pensé qu’il ravirait vos lecteurs. Alors, j’ai décidé de prendre la plume et de me lancer, voici mon histoire de sexe.
Voilà comment les choses se sont passées. Je dispose d’un bureau dans une tour d’immeubles, où je suis la trésorière d’une petite association. A 62 ans, je suis une bénévole motivée et énergique, une femme dans la fleur de l’âge, toujours belle, dont la vitalité étonne encore, plutôt grande et mince, avec de lourds cheveux bouclés, un teint lumineux et des seins dont je n’ai pas à rougir. Mais voilà, personne n’en profitait vraiment à cette époque, car je suis une célibataire endurcie.
Un jour, alors que j’étais à mon bureau face à la fenêtre, j’ai vu quelque chose s’agiter dans mon champ de vision. Il s’agissait d’un ouvrier du bâtiment, accroché à une corde de rappel, en train de travailler sur l’édifice. J’étais surprise, mais je lui ai souri quand il a regardé dans ma direction. Il m’a fait un petit signe de connivence. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, bien charpenté, presque chauve mais attendrissant avec son regard doux. Pendant qu’il travaillait, je ne pouvais m’empêcher de détailler discrètement son corps qui manœuvrait sur le bord de la fenêtre. Plusieurs jours se sont passés ainsi, avec moi qui le matait avec de plus en plus d’insistance, et lui qui vaquait à ses occupations. J’avais l’impression de retrouver mes élans érotiques de jeunesse et c’était très plaisant.
Un matin, je me suis décidée à prendre les devants et j’ai toqué à la fenêtre pour lui faire passer un café. Il a apprécié le geste et nous nous sommes mis à discuter. Il s’était mis à pleuvoir à verse, alors je lui ai proposé de faire une pause de quelques minutes dans mon bureau. Il a accepté bien volontiers et il est passé par la fenêtre pour me rejoindre. Il était beau de près aussi, avec ses petites rides d’expression qui dénotaient un caractère rieur. Sa présence confirmait aussi mon attirance pour lui. J’étais dans mes petits souliers.
Il est retourné travailler et quand il a fini sa journée, toujours dans ma ligne de mire, il a cogné discrètement au carreau à son tour. Je lui ai ouvert et il est repassé par la fenêtre. “J’ai pensé à vous toute la journée, a t-il avoué, le regard incandescent. Dites-moi que vous aussi.” Oh, mon coup de cœur était donc partagé ! J’étais dans tous mes états, avec le palpitant qui s’emballait, mais j’ai trouvé le courage de me rapprocher de lui pour, maladroitement, l’embrasser.
Tout me revenait de mes dernières aventures, mais c’était plus fort encore : c’était un coup de foudre. Je me suis assise sur le rebord de mon bureau et mon nouvel amoureux est venu se lover contre moi, toucher tout mon corps avec un grand respect, jusqu’à ce que je l’autorise à mettre ses doigts sous ma jupe, pour très doucement réveiller mon entrecuisse. Mon corps se mettait en branle, il se réveillait d’un long sommeil. Il a caressé mes seins sortis de mon chemisier et les a embrassés, pendant que mes mains cherchaient sa queue et se mettaient à la branler avec douceur.
J’étais toute frémissante quand je me suis retournée contre la table pour le laisser venir dans mon ventre, son corps chaud et doux encastré contre mes fesses, et son sexe fendre délicatement mes lèvres intimes. Mes fesses contre son bas-ventre, la caresse de son abdomen poilu, ses mains qui réchauffaient mes hanches et mes seins au gré de leurs mouvements : j’étais enveloppée de sensualité.
C’était beau et vital. Je me suis ébrouée sous son buste collé à mon dos, pétrie par le plaisir. Ses secousses en moi ont répandu le venin exquis de la jouissance dans mes veines.
Mon corps se révélait beaucoup plus énergique et sensuel que je ne l’aurais cru, totalement ouvert à recevoir cette pénétration lancinante et rythmée. Je me redécouvrais à moi-même, cela faisait un moment que je n’avais été touchée ainsi et je me sentais exaltée par la puissance de notre corps-à-corps. Sa bouche mordait ma nuque et me provoquait des frissons tout le long de la colonne vertébrale, jusqu’à faire vibrer mon sexe au diapason de notre coït.
Contre le bureau, emportée par notre étreinte, mon corps s’est laissé porter par la jouissance qui m’a donné la sensation de me soulever de terre par sa force et de m’emmener vers des cieux que je n’avais pas côtoyés ces dernières années. En sueur, nos peaux collées l’une à l’autre il s’est laissé envahir par l’orgasme lui aussi et il a répandu son plaisir en moi. Haletants, encore tout surpris par ce qu’il venait de se produire, nous nous sommes refaits face et nous sommes enlacés sans un mot.
C’était le début d’une belle aventure qui avait commencé à travers une fenêtre, dans les hauteurs de cette tour.
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