Entrée impromptue dans notre intimité

La rédaction 24 avril 2021

Pour la St Valentin, Catherine, 53 ans part en week end avec son amant. Les deux tourtereaux se font surprendre à l’hôtel par un beau trentenaire qui va les rejoindre.

Pour la dernière Saint-Valentin, je suis partie en week-end avec mon amoureux. Quinqua coquine et décomplexée, je revis depuis que j’ai trouvé ce nouveau partenaire de vie et amant. Il a à peu près mon âge et nous nous entendons très bien, notamment du point de vue qui vous intéresse, je vous raconte dans cette histoire de sexe.

Le samedi matin, nous nous sommes réveillés dans le lit de la location que nous avions réservée. Nous étions bien, le lit était vaste, tout tenait dans une seule pièce : un très grand séjour avec un coin lit, une baignoire au milieu du salon et de grandes fenêtres qui donnaient sur une jolie esplanade. Inutile de vous dire que nous avions déjà baisé une bonne partie de la soirée de la veille en nous positionnant près de la baie vitrée, à me faire prendre en levrette contre la paroi fraîche du carreau, mes seins écrasés sur ce mur transparent qui permettait aux quelques passants du soir de nous mater en train de nous adonner aux plaisirs de la chair.

Nous nous étions couchés fourbus, éreintés par nos ébats de la nuit. Je me suis donc réveillée dans ses bras et il a commencé à me caresser les seins à nouveau, à m’embrasser. Le corps chaud de mon amant s’est collé contre moi et j’ai senti sa grosse queue contre ma jambe. Il s’est mis à caresser mes tétons de manière très stimulante, en asticotant tendrement mes terminaisons nerveuses. Nos langues se sont mélangées amoureusement, j’ai sucé ses lèvres et lui les miennes, et sa trique était de plus en plus dure contre mon cul, tellement que j’ai eu envie de le branler pour bien le voir en action. J’ai empoigné son vit pour me mettre à le stimuler avec autant de soin que possible, tandis que sa main libre s’est mise à doigter l’intérieur de mon vagin d’une manière poussée et voluptueuse. J’étais fin prête à me refaire prendre dans tous les sens comme la veille, dans notre délire exhibitionniste qui nous avait menés bien loin.

Nous étions déjà bien chauds, quand nous avons entendu la porte d’entrée s’ouvrir. Celle-ci donnait directement sur le salon et donc nez-à-nez avec nous en train de copuler ! Nous nous sommes terrés sous les draps et là, un homme est entré dans la pièce. C’était un beau trentenaire, au physique élancé et sportif. « Oh excusez-moi ! » s’est-il écrié. « Je suis le fils du proprio, je croyais que l’appartement était inoccupé. Toutes mes excuses ! » Mon amoureux et moi étions sous les draps, tous serrés l’un contre l’autre et je sentais qu’il n’avait pas cessé de bander. Tout à coup, j’ai eu une sorte d’élan pour rattraper le jeune homme, car quelque chose en moi ne voulait pas le voir partir. « Attendez ! Prenez au moins un café. Vous pourrez nous donner des conseils touristiques sur la région. »

Mon chéri avait réveillé la séductrice en moi et je savais que je pouvais flirter avec un autre homme devant lui sans que cela pose le moins du monde problème. Intrigué et me voyant sortir du lit quasi nue avec mon physique agréable et mes seins attrayants, l’inconnu a obéi et s’est attablé à la petite table qui se trouvait côté cuisine. En minuscule nuisette, je nous ai servi le café et mon homme ne pouvait pas s’empêcher de passer ses mains sur mes cuisses. « Arrête donc voyons, tu vas intimider notre invité ! » me suis-je écriée. « Mais vous savez, vous pouvez continuer ce que vous étiez en train de faire », a dit l’homme avec des petites étincelles dans les yeux.

Sentant que sa présence me rendait méga chaude, mon amant s’est collé dans mon dos, debout derrière moi et a retiré lentement ma nuisette devant l’inconnu. Il était encore plus décomplexé que moi, le chéri ! Je me suis laissé faire et l’homme, assis sur sa chaise, nous a regardés sans ciller. Il matait mes seins et mes formes et ne pouvait en décoller les yeux. Alors, pour lui plaire et surtout pour me faire plaisir à moi, je suis passée à genoux sur le lit, la lumière filtrant par les baies vitrées et illuminant mon corps en créant des ombres chinoises. J’étais la star, toute nue, toute ouverte, toute écartée, prête à me faire prendre jambes par-dessus tête, pieds en l’air. Mon amant, derrière moi, s’est mis à me stimuler la chatte pour me faire kiffer devant notre invité. Ce dernier pouvait voir mon buste et mon corps à genoux, et puis les doigts de mon amant qui disparaissaient en moi et me faisaient me contorsionner et râler de plaisir. Par moment, de derrière moi, il passait ses mains sur mes seins pour les pétrir devant l’homme, les malaxer.

L’inconnu était comme figé dans sa contemplation érotique. Il a fini par sortir sa queue pour se branler tout en nous regardant depuis la table de la cuisine. Mon amoureux est venu se coller contre mon corps de sorte que l’homme ne voie que moi, en digne centre de toutes les attentions que je devais être, et il m’a pénétrée en se mettant bien dans mon dos, et bang, prends ça, et montre-toi à cet homme qui ne peut pas détacher le regard de toi. Je fixais le trentenaire avec intensité, avec toujours plus de défi dans le regard, tout en me faisant lustrer le joyau par-derrière, deux bêtes encastrées à genoux que nous étions, reliés par sa matraque dans mon étui. Et je sentais les coups de sa bite portés avec amour dans mon entrecuisse et en même temps, je voyais la queue de l’hôte se durcir sous ses mains et son regard ne jamais se baisser. Il s’est approché quand il a été clair que j’allais jouir et il m’a caressé le visage et mis des doigts dans la bouche tandis que mon compagnon derrière moi continuait de me polir la minette. « Aaaahh oui ! » J’ai crié entre ses doigts qui me pénétraient les lèvres tandis que ma chatte était elle aussi comblée du sperme de mon ami…

Quand le moment magique est passé, le jeune homme a pris son manteau, m’a jeté un dernier regard, et s’est sauvé sans demander son reste. Je me suis retournée pour observer mon mec, et j’ai vu que lui aussi avait apprécié de me donner à un autre par regards interposés… Et il me l’a fait sentir par ses baisers appuyés et les gros câlins qui ont suivis.

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