Les ouvriers coquins

La rédaction 25 novembre 2020

Françoise, 68 ans, a un problème avec sa voiture. Heureusement, 3 ouvriers s’arrêtent pour l’aider et ils terminent chez elle, dans une ambiance torride !

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Cette année, le dîner du 1er janvier devait se passer chez moi. Étant veuve, j’étais contente de recevoir des invités : mon beau-frère et ma sœur, ainsi qu’un cousin.

J’ai décidé de leur faire plaisir. Mon beau-frère adore les escargots, j’ai donc décidé d’aller en acheter. Sur la route, déserte au milieu de la campagne gelée, j’étais suivie par un véhicule qui me faisait des appels de phares. J’ai fait signe au conducteur de me doubler, jusqu’à ce que je sente des soubresauts dans ma voiture.

Je me suis garée et j’ai constaté que ma roue était dégonflée. Je ne sais pas en changer, l’autre voiture ne s’était pas arrêtée et, pour ne rien arranger, il n’y avait pas de réseau pour appeler un dépanneur dans ce coin isolé.

J’ai alors vu une lumière de phares au loin. Je me suis postée au milieu de la route pour faire signe au conducteur. Il s’agissait d’une camionnette avec trois ouvriers à bord. Le chauffeur a dit que j’avais eu de la chance qu’ils passent dans les parages le soir de la veillée du Nouvel An. Ils m’ont demandée des outils que je n’avais pas. « On va retourner au chantier, on a ce qu’il faut là-bas », a proposé l’un d’eux.

Les trois hommes m’ont fait une petite place dans leur véhicule et nous sommes tous repartis vers leur lieu de travail. Ils me lorgnaient, alors que nous étions tous les quatre serrés sur la banquette, moi à moitié assise sur les genoux de l’un d’eux. La route était mauvaise et je bougeais sur lui sans le faire exprès.

C’est là que j’ai senti une bosse sous mes fesses. Le mec bandait. Je me suis retournée pour le regarder et je lui ai souri. Son érection me faisait quelque chose et j’ai moi-même commencé à accentuer un peu les frottements occasionnés par les cahots de la voiture. Je sentais très distinctement sa queue sous moi. Ma jupe un peu fendue laissait voir mes bas. Que pouvais-je faire ? J’étais dans une camionnette et c’était le seul moyen de ne pas me retrouver seule en rase campagne.

Comme le chantier était loin, nous avons décidé qu’ils me ramèneraient directement chez moi pour chercher des outils. Deux des ouvriers sont repartis et m’ont promis de ramener la voiture. Le troisième est resté pour me tenir compagnie et je lui ai offert l’apéro. Bien sûr, c’était celui sur lequel j’étais assise un peu plus tôt dans la camionnette !

Comme je voyais qu’il lorgnait ma jupe fendue, j’ai fait exprès de m’asseoir en face de lui sur le canapé pour qu’il puisse admirer mes dessous. À mon âge, je n’ai plus rien à perdre ! Mais comment faire pour qu’il ose s’approcher ? Il me plaisait… Je lui ai proposé de m’aider car j’avais une valise très lourde à sortir d’un placard.

Je suis allée chercher l’escabeau et je voyais bien qu’il matait mes cuisses quand je me déplaçais. Je suis montée sur l’escabeau et lui le tenait pour que je ne tombe pas. J’ai senti son souffle sur mes jambes. C’est là, qu’il s’est décidé à enfouir sa tête sous ma jupe. Je sentais ses lèvres m’embrasser et sa langue contre mon string.

Sa langue a finalement trouvé ma foune et mes lèvres humides. Avec ses doigts, il a écarté mon string et s’est mis à me lécher. Tout en lui tenant la tête et en lui disant de continuer, ses doigts me pénétraient. J’ai senti un doigt s’égarer près de mon anus. Je ne connaissais pas cela mais j’appréciais. Je suis descendue de l’escabeau. L’homme avait sorti son membre, ma foi honorable. « À moi de m’occuper de toi », ai-je dit. J’ai léché ce membre et caressé ses couilles.

C’est là que nous avons entendu la porte d’entrée claquer. « Eh bien, vous ne vous emmerdez pas ! » Les deux ouvriers étaient revenus. Ils se sont approchés, la bite à la main. Je me suis retrouvée avec trois sexes en mains et en bouche. L’un d’eux m’a demandée de mettre un pied sur la table basse.

J’ai pris cette position et il m’a pénétrée. Je sentais ses coups de reins et cette grosse queue aller et venir, tout en suçant et en branlant les deux autres. Ensuite, je me suis installée sur le canapé pour m’empaler sur son membre bien durci et j’ai continué à sucer son compère, debout à côté de nous.

Quant au troisième, je le sentais dans mon dos. Son sexe me frappait les fesses, puis la raie qu’il se mit à fouiller avec son membre. J’avais deux bites rien que pour moi qui me prenaient de part et d’autre. Le plus vieux s’est alors laissé aller dans ma bouche. Tout cela était vraiment une première pour moi et c’était étourdissant !

Jamais je n’avais ressenti autant de plaisir par tous mes trous ainsi comblés. Les deux hommes qui me pénétraient ont interverti les positions. J’avais alors de nouvelles sensations, et un sexe plus conséquent dans la chatte. J’ai joui. Même avec mon sextoy (que j’appelle « mon homme ») je n’avais jamais pris mon pied à ce point. Voilà que j’étais en présence de trois sextoys !

Aujourd’hui, les trois hommes reviennent de temps à autre et, grâce à eux, je redeviens une femme sans complexe. Moi qui croyais avoir un gros cul, eux m’ont dit qu’il était beau et accueillant. Depuis ce moment, je redeviens féminine et cela me plaît de me savoir désirée.

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