La femme aux deux visages

La rédaction 17 décembre 2020

Coralie, 50 ans, est mariée mais elle va se prendre aux jeux libertins de son voisin qui lui fait découvrir la sexualité sous un autre angle…

Je suis une femme heureuse avec un mari charmant et des enfants adorables. À 50 ans, je fais encore retourner des têtes sur mon passage et mon mari en est très fier. Nous sommes un peu naturistes, mais pas du tout libertins. Avant, j’étais une épouse sage et fidèle. Jusqu’à ce qu’une histoire de sexe impossible, à laquelle je n’aurais jamais songé, m’arrive.

Tous les samedis matin, mon mari rejoint ses amis pour faire une sortie à vélo de deux ou trois heures. Mon mari est beau et sportif, avec un corps parfait. En robe de chambre, je l’accompagne toujours au sous-sol de l’immeuble dans le garage pour lui souhaiter bonne route.

Un jour, en remontant l’escalier, j’ai rencontré notre voisin du troisième étage qui m’a proposée de venir prendre un café chez lui. Je l’avais déjà croisé auparavant. Claude est un homme de 75 ans qui vit seul dans son grand appartement. Il est grand, beau, mince et souriant.

Malgré ma robe de chambre bien fermée, il a dit que j’étais très belle et j’ai accepté de le suivre sans arrière-pensées. Devant la tasse de café et les croissants, il m’a parlée de lui. C’était un ancien haut gradé de l’armée, veuf. Il était très élégant, poli et aimable.

Il a mis de la musique dans son beau salon plein de vieux meubles magnifiques et m’a invitée à danser. C’était incroyable, j’étais en mules et en robe de chambre et je dansais sensuellement avec un homme. Il dansait très bien et me tenait serrée contre lui. J’étais bien, ses mains couraient sur mon dos et mes reins sans vulgarité, avec tact et douceur.

Il m’a demandée très poliment si je lui permettais d’ouvrir ma robe de chambre et j’ai accepté sans savoir pourquoi. Très gentiment, il l’a faite tomber par terre et je me suis retrouvée en nuisette courte et indécente, sans culotte, dans ses bras, avec mes seins contre lui.

C’était délicieux et tendre. Il sentait bon. Il était romantique et terriblement sexy. Claude a retiré délicatement ma nuisette et ses mains ont parcouru doucement mon corps. Je me suis aperçue avec une certaine surprise qu’il bandait. Je ne savais pas comment fonctionnait un homme de cet âge.

Claude m’a prise par la main pour m’emmener dans une chambre avec un grand lit orné de montants en bois aux quatre coins. Il m’a allongée délicatement sur le dos et a commencé à m’embrasser sur le corps et à me toucher avec ses mains et sa langue. C’était très bon. Quand sa langue est venue sur mes seins puis sur mon sexe, j’ai crié mon plaisir. J’ai joui très fort et très vite. J’étais sur un nuage.

Sans même que je m’en aperçoive vraiment, il a relevé mes jambes et m’a pénétrée lentement et profondément en me faisant l’amour très doucement. Son sexe était plus petit que celui de mon mari. Je trompais ce dernier, mais c’était bon. Soudain, Claude m’a tenue fermement les poignets et les jambes et m’a baisée comme une bête, fort et vite. Il m’a défoncée pendant deux minutes pour jouir sur mon ventre en râlant de plaisir.

Puis le Monsieur m’a couverte de tendres baisers et de compliments. Il m’a reprise par la main et m’a emmenée dans la salle de bain. Là, Claude m’a mise debout dans la baignoire et a entrepris de me laver partout très délicatement. Il m’a séchée et m’a remise ma nuisette et ma robe de chambre avec une infinie gentillesse et un profond respect.

L’homme m’a avouée qu’il aimerait bien me revoir chaque samedi matin quand mon mari partirait faire du sport et qu’il ne me remercierait jamais assez du grand bonheur que je lui avais donné. Au retour de mon mari, je me suis jetée sur lui pour le faire jouir comme jamais et j’ai compris que je l’aimais beaucoup plus que cette folie passagère.

Pourtant, le samedi suivant, après son départ, je suis redescendue toute seule, curieuse, maquillée, coiffée, chaussée et nue sous un imperméable court et serré à la taille. Quand Claude a ouvert, il a compris et m’a embrassée les mains. Il m’a emmenée dans son salon, où un autre homme de son âge nous attendait.

J’ai eu peur, mais il m’a rassurée et m’a présentée à son ami, un ancien militaire également, qui m’a complimentée avec la même délicatesse. Cet homme a retiré mon imperméable et m’a demandée de danser devant eux. Ces deux vieux messieurs étaient adorables et touchants de tendresse. J’étais fière de les faire bander et de m’exposer devant eux. Je devenais une autre. Ils se masturbaient tous les deux en me regardant. C’était irréel et fascinant.

Ensuite, ils m’ont emmenée dans la chambre et ont joué avec mon corps comme ils le voulaient. Ils étaient délicats et sentaient bons. Je me laissais faire. Les deux hommes étaient plein de ressources et ont « abusé » de moi de toutes les façons, comme des acteurs pornos. Ils m’ont prise à deux en même temps pour la première fois de ma vie. J’ai adoré ça ! Deux sexes d’hommes simultanément, c’est magnifique et tellement excitant. Je jouissais comme une folle en hurlant.

Plus tard, ils m’ont emmenée dans la salle de bain et Claude m’a encore lavée de la même façon que la première fois. Ils m’ont remerciée tous les deux avec passion. Quelle folie ! Je suis remontée chez moi en titubant d’émotion pour m’habiller et accueillir mon mari. J’ai alors réalisé que mon voisin était en train de faire de moi sa « putain » et, d’une certaine façon, cela me plaisait assez.

J’ai tout de même cessé de le voir pendant quelque temps. Je le rencontrais dans la rue quelques fois, seule ou avec mon mari. Il me saluait avec politesse.

Trois semaines plus tard, j’ai pourtant cédé à mes envies et je suis descendue sans prévenir le samedi matin, toujours nue sous mon imperméable. Il m’attendait quand même et ne m’a faite aucune remarque. Toujours avec autant de compliments, il m’a annoncée une surprise en me faisant entrer dans le salon. Un couple très distingué de la même génération que Claude nous attendait avec les yeux brillants.

Je me suis alors offerte sans réfléchir à ce couple et à Claude, dont la sexualité était décidément sans limite. J’ai joui comme jamais en inondant le lit sous les doigts et la langue de cette belle femme aux cheveux courts et blancs qui était restée habillée pendant que les hommes jouissaient sur mon visage. À mon âge, j’étais devenue une poupée de sexe pour septuagénaires. Tout s’est déroulé ensuite comme la dernière fois, avec le même cérémonial de lavage. Je devenais folle de tout ce plaisir.

Je suis redescendue pendant un mois le samedi matin chez mon hôte qui m’offrait à ses amis délicats. Ils m’ont attachée aux montants du lit, baisée, sodomisée, dilatée et inondée de sperme. C’était une expérience extraordinaire. Je pense que j’ai eu beaucoup de chance de connaître tout cela, dans ces conditions, avec élégance et sans vulgarité ni brutalité. Ce n’était que pure jouissance sexuelle. Toutes les femmes devraient avoir l’occasion de se donner ainsi sans risque pendant un court moment, pour ressentir cette folie sexuelle.

Aujourd’hui, j’ai rompu cette relation avec Claude. Je l’ai remercié pour ces deux mois intenses que je n’avouerai jamais à mon mari et que jamais je ne renouvellerai. D’ailleurs, nous devons bientôt déménager dans une autre ville pour raisons professionnelles. Aujourd’hui, j’ai de bien meilleures sensations de tout mon corps et de mes orifices. Je jouis plus fort et sans retenue. J’ai plus d’expérience et je fais beaucoup mieux l’amour à mon mari qui est très content. Je l’aime de plus en plus. Nous parlons davantage de libertinage. S’il se passe quelque chose, je n’hésiterai pas à vous en faire part…

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