Le festival de ken

La rédaction 15 septembre 2020

Lisa, 31 ans, est habilleuse sur le tournage d’un film. Un des acteurs lui tourne autour et elle finit par l’emmener dans sa loge.

Je suis Lisa, habilleuse dans le cinéma. Je fais ce métier depuis suffisamment d’années pour ne plus être impressionnée par les stars. À l’exception du beau J.

Notre histoire de sexe a eu lieu il y a 6 mois, sur le tournage d’un film en région parisienne. Dès le premier jour, j’ai senti le regard de l’acteur sur moi. Au début, j’ai fait comme si de rien n’était, pour rester professionnelle… Mais au bout d’une semaine, des techniciens ont commencé à me chambrer : « Dis donc, Lisa, on trouve que J. te reluque d’une manière bizarre ! ». Ce n’était donc pas moi qui me faisait un film… Le soir où tout a dérapé, l’équipe venait de boire un verre dans un bar juste à côté du lieu de tournage. J’avais un coup dans le nez, et J., plutôt deux ou trois.

C’est lui qui est venu me trouver au comptoir, alors que je papotais avec une copine maquilleuse. Et si sa technique n’a pas été très classe, le résultat ne s’est pas fait attendre. « Hello. C’est toi Lisa ? On m’a dit que tu avais la meilleure loge. Ça t’ennuie de m’y amener ? J’ai toujours détesté pisser dans les chiottes de bar… ». Mon amie s’est marrée. Moi, j’avais un peu les mains qui tremblaient devant ce beau gosse. Mais j’ai fait la fille confiante. Je suis sortie du bar, J. sur les talons, pendant que toute l’équipe nous matait.

Direction : mon camion-loge, à quelques mètres de là. Quand j’ai ouvert la porte, j’ai pensé que J. allait vouloir discuter un peu, pour se mettre dans l’ambiance. J’avais tort. À peine étais-je entrée, que le beau gosse se jetait sur moi et enfonçait sa langue dans ma bouche. J’ai décollé tout de suite. On s’est arrachés nos vêtements, toujours en s’embrassant passionnément, et déjà, les doigts de J. étaient dans ma culotte. Hum… Son massage du clito était parfait. On sentait qu’il avait une sacrée expérience avec les femmes. Puis il a fourré son index entre mes lèvres et j’ai gémi tellement c’était bon. Je n’étais vraiment pas au bout de mes surprises…

Pendant que J. me caressait, je n’arrêtais pas de me dire : « Je suis en train de me faire baiser par une star ! », et l’excitation en était décuplée. Quand l’acteur a retiré ses mains de mon corps et a reculé d’un pas, je n’ai pas résisté. Je suis tombée à ses genoux et j’ai empoigné sa bite, que j’ai avalée avec un claquement de langue. J. s’est cambré et a glissé ses doigts dans mes cheveux, pour me guider comme il l’entendait. Son kiff : m’enfoncer au maximum puis me faire remonter très lentement le long de sa queue. Je mouillais comme une dingue…

Après s’être bien fait plaisir, il m’a demandée : « Allonge-toi sur le lit. Je veux te regarder. » J’ai obtempéré et je l’ai laissé me prendre en photos. « Baisse ta culotte, voilà. Touche-toi… ». Je frissonnais de plaisir à chacun de ses mots. Quand il est venu se mettre à côté de moi, je n’ai pas eu d’autre envie que de me jeter sur son sexe à nouveau, bouche la première. Il sentait fort, un parfum de mâle dominant, dont la femelle en chaleur que j’étais s’est délectée. « Pas trop vite, coquine ! Tu vas tout aspirer et je n’aurai plus rien à te donner après. » J’ai relevé la tête et regardé droit dans ses yeux. Il était tellement sexy… et tant de femmes auraient voulu être à ma place à cet instant-là !

J. m’a alors légèrement poussée en arrière. Je me suis allongée sur le dos et j’ai ouvert grand les cuisses. Quelques secondes plus tard, je poussais des gémissements à fendre l’âme, pendant que J. me pénétrait. Son sexe avait beau ne pas être énorme, il savait parfaitement où le glisser pour me rendre folle. Tant et si bien que j’ai joui une première fois. Ça l’a mis en transe… D’une voix rauque, il m’a dit : « Putain, t’es trop bonne ! Fous-toi en levrette ! ». J’ai basculé sur le ventre et il m’a mise dans la position qu’il voulait. Avant de m’enfiler de nouveau, déclenchant une vague de plaisir dans mon sexe encore chaud et vibrant du premier orgasme.

J. était maintenant cramponné à ma croupe et me possédait comme un démon, chaque coup de rein s’accompagnant d’un râle profond. Tout à coup, il s’est mis à pousser des jurons : « Putain, cochonne ! Tu vas me faire jouir. Faudrait que je me retire mais t’es beaucoup trop bonne… ». En même temps qu’il prononçait ces mots, j’ai senti le rythme s’accélérer encore, et mon point G a explosé une seconde fois. Nous avons joui simultanément, le sperme coulant à flot dans ma vulve, l’orgasme nous transperçant comme un éclair.

J. est resté une heure à me câliner. Puis il a appelé un taxi pour rentrer chez son épouse. J’ai ressenti un petit pincement au cœur… Mais les traces de son plaisir sur mes draps ont su me rassurer : j’avais fait jouir un des plus grands acteurs français. Parfait pour mon ego, et pour inspirer de nombreuses séances de masturbation dans mon petit camion-loge…

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