La cochonne du village

La rédaction 14 mai 2020

Alain, 52 ans.

Moi c’est Alain, un grand fan de votre magazine. J’habite depuis longtemps un petit village en Ardèche, si bien que je connais tout le monde, même les gens de passage. Je suis un peu les yeux et les oreilles du coin et pas une rumeur ne circule sans que je n’en sois au courant.

Depuis quelques mois, c’est Béatrice qui revient souvent dans les mauvaises langues des honnêtes gens. Béatrice, c’est la libraire, elle tient sa petite boutique depuis à peine 5 ans, mais son commerce est déjà au bord du gouffre. Les gens disent qu’elle le gère n’importe comment ; sa compta ne ressemble à rien, elle commet régulièrement des erreurs quand elle rend la monnaie, et elle est capable de ranger des magazines de cul (comme interstron.ru) au rayon des magazines de bricolage. Bref, les histoires que l’on me racontait à son sujet m’amusaient beaucoup, et un après-midi, alors que je terminais tranquillement de déjeuner chez un voisin, j’ai décidé de lui rendre visite. (En plus, j’avais une bonne excuse, j’avais votre magazine à acheter, même si d’habitude je vais au kiosque le plus proche).

Quand elle a vu que je lui tendais le mois de septembre avec une couverture très explicite sans rougir, elle m’a dit « ah bah tiens ! Ça c’est pas courant par ici, des clients qui ne cachent pas ce numéro sous leur manteau ou derrière d’autres magazines ! Vous aimez le cul, vous ? » Elle avait posé cette question d’une manière tout à fait naturelle, comme si elle n’avait aucune notion de la gêne provoquée par cette intrusion dans ma vie privée. « Oui, lui ai-je répondu, pas vous ? »

Elle m’a dit que si, mais qu’elle était célibataire et que ce n’était pas les petits vieux du coin qui allait la faire décoller au plafond. Elle préférait ne plus y penser. Un peu amusé par la situation (et enhardi par les quelques verres de vin que j’avais bu chez mon ami), je lui ai demandé : « et moi, je ne vous plais pas ? » Elle a éclaté de rire, un rire très clair, très franc.

« Oh bah si beaucoup, mais vous ne passez jamais par ici ! » Je lui ai alors répondu que pour rattraper le temps perdu, je la conviais chez moi dès ce soir, quand elle aurait fini de tenir la boutique.

Elle a sonné à ma porte quelques heures après, des sachets de thé vert à la main : « je ne bois pas d’alcool, alors je ramène toujours mon thé au cas où mon hôte n’en a pas… »

Elle était vraiment bizarre, mais je dois avouer que je trouvais ça très attachant. Au moins, elle était complètement naturelle !

On a commencé à discuter un peu, mais j’ai bien senti qu’elle n’en avait que pour ma queue. Elle n’arrivait pas à me regarder dans les yeux et son regard se baissait constamment vers ma braguette ou ma chemise entrouverte. À un moment, j’ai arrêté mon monologue sur mon problème de voisinage et lui ai demandé : « vous voulez voir ce qu’il y a dessous ? » Elle a acquiescé avec un enthousiasme ravi ! Oui ! Oui ! Elle était vraiment trop marrante. J’ai déboutonné mon jean, et lui ai présenté mon sexe qui était déjà bien dressé. Elle l’a regardé comme on admire une peinture, avec intérêt et une concentration extrême. Elle ne devait vraiment pas en avoir vu  depuis longtemps…

« Je peux la lécher ? » m’a-t-elle demandé très gentiment. « Oui, bien sûr ! » me suis-je écrié. Alors elle l’a fait, mais avec des petits lapements tout mignon, comme une petite chatte. Ça chatouillait un peu. « On monte dans ma piaule, on y sera mieux ? » lui ai-je alors proposé. Elle a couru dans les escaliers pour arriver la première sur le lit. « Complètement folle ! » me suis-je dit en moi-même. Quand je l’ai rejoint, elle était déjà toute nue et attendait de se faire pénétrer. Je l’ai prise dans tous les sens, elle avait une chatte extrêmement accueillante et parfaitement lubrifiée. C’était assez agréable. Je crois qu’en même temps elle m’appelait par des noms de fleurs et d’arbre « tu es un gros cocotier, toi, hein… Mon beau rosier, quelle belle épine… » Mais je n’y prêtais plus attention… Seul les salves électriques que m’envoyaient ma bite comptaient. Je n’ai pas tardé à décharger mon foutre dans son petit corps qui se tordait de plaisir.

Elle est repartie quelques minutes après en reprenant ses sachets de thé utilisés « Je fais la collec’ » m’a-t-elle dit.

Son attitude complètement aléatoire et illogique m’intriguait et quelque part, m’excitait un peu. J’ai très envie de la revoir, mais je ne sais pas ce qu’on va dire sur moi au village. Les rumeurs peuvent parfois être terrible, vous savez…

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

La baie des cochons

« Ses seins dressés comme des mats de voiliers semblaient figés. Son souffle s’est transformé en râle, ses doigts fouillaient sa chatte et en ressortaient trempés. Elle atteignait la mer de la sérénité. Je branlais le bout de ses seins, elle s’abandonnait comme un noyé qui se laisse submerger, entraînant dans son extase le naufrage humide et sonore de ses voisins de « palier »… » Patrice, 39 ans.

On s’éclate au Sénégal

« Ses doigts sont venus me caresser les seins. Sa bouche a pris la mienne. Il a guidé ma main vers son sexe. Ma paume n’en faisait même pas le tour. J’ai quand même essayé de branler ce gros membre qui, bien sûr, s’est mis à gonfler davantage ! Il a placé sa tête entre mes cuisses pour me lécher la chatte et a enfoncé, tantôt sa langue, tantôt ses doigts dans mon vagin. » Corrine, 34 ans.

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru