Un formidable plan cul

La rédaction 9 avril 2021

Chloé, 38 ans, fait la rencontre d’un beau quarantenaire sur un site de plan cul. Une opération réussie pour cette maman en quête de nouvelles sensations.

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Bonjour à tous, ici Chloé, 38 ans, mariée depuis quinze ans à un homme qui a très peu de libido. Ça va peut-être vous paraître paradoxal, mais cela ne m’empêche pas d’avoir une profonde affection pour ce mari, excellent père de famille et compagnon attentionné.

C’est juste qu’au lit, nous n’avons jamais connu de scènes très passionnées.

Inscription sur un site de plan cul gratuit

Je ne me voyais pas le tromper avec un collègue de bureau, un ami proche ou un voisin. Trop risquée, mon aventure risquait d’être rapidement dévoilée et je savais que mon mari ne supporterait pas l’idée de me voir dans d’autres bras que les siens. La seule solution était l’inscription sur un site de (certains étaient payants, et je ne me voyais pas non plus débourser de l’argent pour une courte et rapide partie de baise), en plus que ce fameux site me promettait de trouver ces fameux. La solution idéale : du ni vu, ni connu.

J’ai donc créé mon profil, sans mettre de photo de mon visage directement, mais des photos très explicites : une vue plongeante sur mes cuisses, mon décolleté bien rebondi pour une future quarantenaire, et ma bouche pulpeuse. Le message était clair : j’avais envie de sexe sans que l’on en sache plus de ma personnalité.

Bien évidemment, ça a marché à fond. J’ai reçu des dizaines et des dizaines de message en quelques minutes à peine.

Mon plan cul sélectionné : Francis, 43 ans

Au fur et à mesure de mes discussions avec différents profils de la plateforme, mon choix s’est porté naturellement vers Francis, un beau quarantenaire qui ne trichait pas sur ses photos et qui avait la plume travaillée. Nos échanges devenaient de plus en plus riches, de plus en plus fréquents, si bien que j’ai presque délaissé tous les autres membres pour ne me focaliser plus que sur lui. Evidemment le sujet du sexe est vite arrivé sur la table.

Il me racontait des scénarii osés, des trucs à peine avouables, à base de sado-masochisme et de plan à plusieurs. Un plan classique à deux, dans le dos de mon mari, c’était déjà beaucoup pour moi, mais savoir que tout était possible, qu’il n’y avait pas de limite à mes fantasmes, ça m’a donné du baume au coeur.

Alors je me suis moi aussi lancée dans l’exploration de mes désirs les plus secrets : sucer en gorge en profonde et tester la sodomie. J’étais encore vierge du cul mais je sentais bien que cette zone, si elle était correctement éveillée, pouvait m’apporter des plaisirs insoupçonnés.
Nous avons donc convenu d’une heure de rendez-vous, chez lui, en pleine journée, alors que mon mari me pensait au travail.

Rencontre en réel avec Francis

Quand il m’a ouvert la porte de son appartement, je l’ai trouvé plus beau que sur les photos. Nous n’avions ni beaucoup de temps, ni très envie d’engager la discussion, et comme il était clair que nous nous plaisions tous les deux, on s’est vite éclipsé dans la chambre.

Il m’a présenté son sexe bandant, son calibre était bien plus impressionnant que celui de mon mari. La tige, épaisse, portait avec fierté un gland violet très bombé, dont une goutte perlait près du méat. On aurait dit un fruit juteux prêt à révéler tous ses arômes une fois en bouche. Je l’ai donc porté à mes lèvres, il a incliné ma gorge, de sorte à ce que celle-ci se retrouve dans le prolongement de son engin, et -hop- le bout de sa bite à pressé contre ma glotte. Et me voilà qui avalait pour la première fois de la chair humaine, tout en crachant de longs jets de bave sur son parquet. C’est que ça faisait saliver ce bordel, je ne m’y attendais pas.

La bite bien lubrifiée, il s’est ensuite attaqué à mon petit trou du cul, en exerçant une douce pression sur mon anneau bien serré. Ma petite porte résistait un temps, puis, a abdiqué, le laissant pénétrer en moi, au plus profond de mon anatomie, là où la gêne et le plaisir se mélangent.

Deux premières fois en une seule rencontre, je peux le dire : j’étais une femme comblée. Il a déchargé dans mon trou du cul, presque sous le choc de cette première étreinte qui en présageait de jolies futures.

Nous nous sommes quittés d’un regard entendu, en se promettant de ne pas empiéter sur la vie de l’autre, mais en restant quand même « plan cul » pour quelques prochaines fois. Après tout, c’était la promesse du site ?

(Image à la une : Getty Images / Article sponsorisé par Chatintime, écrit librement par la rédaction)

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