Le cul de la meilleure amie de ma femme !
8 avril 2023La queue de Julien, 35 ans, est tellement grosse, sa femme ne peut pas la prendre dans le cul, en revanche elle lui autorise la sodomie avec sa meilleure amie !
Mon histoire de sexe est singulière ! Je suis marié à Anna, mon épouse, une petite brune incendiaire, jalouse comme un pou, enfin jalouse, disons qu’elle ne supporterait pas que je la trompe. Mais alors, me direz-vous, pourquoi m’étalerais-je dans les pages d’interstron.ru en train de baiser une autre femme ? C’est très simple, cela résulte d’une équation limpide : j’ai une grosse queue, j’adore la sodomie, Anna déteste, sa meilleure amie en raffole et est célibataire. Ma chère et tendre a donc résolu cette quadrature du cercle en m’autorisant une fois tous les quinze jours à m’envoyer en l’air avec Cécile, la beauté blonde que vous admirez en ce moment même.
La meilleur amie de ma femme aime la sodomie
Nous respectons les quatre conditions imposées : pas de baisers sur la bouche, pas de mots doux, pas de pénétrations vaginales et toutes nos séances doivent faire l’objet de photos. Elle est ainsi certaine que je suis satisfait sexuellement et que je ne vais pas la tromper. Tordu ? … Intelligent, dirais-je ! Cécile m’attend chez elle le soir convenu, j’ai un double des clefs, j’entre et file sous la douche avant de la rejoindre. Elle est déjà nue sur son dessus de lit rouge passion, en général en train de se caresser ou de préparer son petit trou avec un gode ou un boulier, elle a une capacité à dilater son anus que je n’ai jamais vu ailleurs.
Nous savons que nous allons passer une ou deux heures de sexe pur, de débauche sans conséquence, juste du plaisir et … de la sodomie à fond ! Elle me tend alors ses jouets du moment, afin que je continue le travail liminaire, assouplissement, léchage dans les règles, doigtage profond et lubrification de sa petite porte. J’avoue que cette phase m’excite à mort, avec Anna j’ai le droit de toucher un peu sa rondelle, mais quand je souhaite aller plus loin, une main de fer stoppe mon élan, cela tue mon entrain dans l’œuf tandis qu’avec Cécile, je sais que cela ira au bout.
A quatre pattes
Parfois elle se tripote le clito, j’ai l’autorisation de lui faire des cunnilingus afin qu’elle mouille pour renforcer son excitation et sa lubrification, je lui bouffe souvent le minou tout en enfonçant mes phalanges dans son sphincter qui accepte des intromissions de plus en plus larges.
Cécile est très exhibitionniste, elle joue de ses charmes devant moi pour que ma queue soit la plus bandée et la plus grosse possible avant que je l’encule. À quatre pattes, elle tortille son petit derche en écartant les fesses ornées d’un plug, d’un chapelet ou d’un dong. Si elle n’a rien introduit dans son rectum c’est alors pour mieux se l’ouvrir elle-même et je vois, fasciné, le puits noir s’épanouir dans le creuset rose de sa raie ! C’est souvent le signal pour qu’enfin je l’encule.
Le fond du cul
J’enduis mon braquemart de lubrifiant et là, plus besoin de précautions, son orifice est prêt, je m’en fiche d’un coup ! Elle crie à cette première pénétration très profonde ainsi qu’aux coups de boutoir qui suivent. Le premier de ses orgasmes n’est jamais long à venir. Je sais qu’elle est sous tension sexuelle lorsque nous nous voyons et que ma grosse queue lui fait un effet délirant.
Pour vous dire à quel point elle aime se faire dilater le petit, il n’est pas rare qu’elle me réclame une intromission complémentaire à ma bite ! Je continue donc de lui ramoner le fondement et je glisse un joujou aux côtés de mon mât fiché en elle. Comment fait-elle ? Mystère, tout passe, la dernière soirée en sa compagnie, elle avait mis une capote autour d’un concombre aux dimensions impressionnantes, son anneau a tout avalé, le légume et mon gros radis rose ! Nous avons d’ailleurs franchi un cap cet été après avoir regardé un film porno qui lui a donné envie de tenter un fist-fucking anal.
Un cul hors pair
Toutes les femmes ne peuvent accepter un poing complet enfoncé jusqu’au poignet voire plus, Cécile non seulement a réalisé cet exploit sans effort, mais, en prime, a découvert que cela déclenchait chez elle des éjaculations torrentielles ! Bref, lors de nos séances classiques, sans aller jusque dans ces extrêmes, je la fais jouir deux ou trois fois, en levrette, assise sur moi ou debout, plaquée contre le mur de la chambre, juchée sur ses hauts talons. Une fois repue, elle s’occupe de moi, il est rare que je jute en elle, Anna aime voir mon foutre sur la peau ou dans la bouche de son amie. C’est donc branlette avec la main ou les pieds, parfois gorge profonde jusqu’à ce que j’éjacule abondamment. Lorsque je rentre à la maison, Anna regarde les photos, elle sait que j’ai encore du jus (dans tous les sens du terme) pour la satisfaire et je la baise avec toute la fougue de mon amour.
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