Mon mari organise un gang bang pour mon anniv’ !
1 juillet 2021Pour son anniversaire, le mari d’Aurélie lui offrira son fantasme le plus fou : un gang bang avec des autres hommes bien membrés.
Je m’appelle Aurélie, j’ai 48 ans et voici mon histoire porno : et pour mon anniversaire, mon homme a réalisé le fantasme qui me travaillait, d’années en années. J’ai mis du temps à lui avouer que l’idée de sucer des queues, plein de queues, me faisait mouiller. Un gang bang géant, en somme ! J’ai cru que ce caprice allait partir, certaines envies s’estompent avec le temps, mais non, mes envies de bites, de sperme, d’odeurs musquées restaient bien présentes. Alors, au détour d’une discussion un dimanche matin dans le lit qui s’éternisait, j’en ai parlé avec lui : cette envie, ce défi même, de me jeter dans un gang bang. On est un couple ouvert sur plein de sujets, et comme je l’imaginais, Olivier a bien réagi à mes confidences, en me disant qu’on franchirait le cap quand je me sentirai prête.
Mon mari envisage d’organiser un gang bang
Après coup, je pense même que l’idée de voir sa femme se faire tringler par une guirlande de mâles le faisait bander. Mais à l’époque, je le croyais encore assez sage. Bref, le sujet revenait régulièrement dans nos échanges, et le jour de mon anniversaire – bim – surprise ! Il avait loué une superbe chambre d’hôtel. Avant que l’on y monte, il m’a bandé les yeux au niveau de la réception, nous avons pris l’ascenseur ensemble, serrés l’un contre l’autre direction le 5ème étage (j’ai compté les « tings » dans ma tête) – et nous avons traversé un long couloir. Quand il a ouvert la porte, j’ai entendu des bruits d’exclamations des « ouah », des « canons », d’au moins trois voix différentes. Il m’a déshabillée, intégralement, alors que je ne voyais toujours rien – et je n’ai pu m’empêcher de dégouliner totalement en m’imaginant le regard de beaux mâles, musclés, s’appesantir sur mon corps dont j’étais très fière (surtout mes seins, que j’avais fait refaire il y a quelques années).
Olivier a finalement retiré mon bandeau et j’ai découvert qu’il y avait quatre hommes autour de moi, nus, en train de s’astiquer la bite. Et je dois dire que le casting était plutôt réussi : mon chéri avait trouvé de beaux mecs, bien carrés, épilés, tout comme j’aime pour ce gang bang surprise !
Le gang bang devient de plus en plus chaud
Un des « étalons », le plus beau d’entre eux d’ailleurs, m’a pris par la taille et m’a amenée tout contre son torse. J’étais un peu apeurée, et en même temps, j’avais envie qu’il se lâche totalement et qu’il me traite comme une petite catin. Il m’a contrainte à me mettre à genoux et à prendre successivement toutes leurs bites en bouche. « Slurp, slurp », je donnais des coups de langues dans tous les sens, j’avais une bite préférée, la plus grosse, que j’essayais d’engloutir le plus possible – mais les autres se bataillaient également pour obtenir mes faveurs, et je devais ravir tout le monde. Plus ça allait, plus les queues étaient recouvertes de bave salée, tout se mélangeait, elles se collaient parfois les unes aux autres pour se mettre à deux dans ma gueule. J’étais douée à ce petit jeu, ça rentrait presque. Un des mecs m’a ensuite basculée sur le dos pour me baiser dans de grands coups de rein, pendant que les autres ont continué à me foutre leur queue près du visage, pour que je les suce. C’est à ce moment-là que je me suis aperçue qu’Olivier prenait des photos de la scène, en m’encourageant du regard. Je l’ai vu rapidement parce que ça s’agitait sévère autour de moi – mais quand même assez longtemps pour voir qu’il avait la main sur l’entrejambe. Le salaud, ça le faisait bien bander aussi !
Les mecs se succédaient dans ma chatte, à tour de rôle, mais je crois que ça n’allait pas assez vite pour eux, et certains s’impatientaient, la bite à l’air mouillée. « Monsieur Grosse Bite » m’a alors retournée au-dessus d’un type, qui a très vite trouvé l’espace pour me la foutre bien profond, puis est venu titiller ma porte d’entrée de derrière avec son gros gland. Il testait la souplesse de mon sphincter, assurément. Olivier me l’avait déjà foutu dans le cul, lors de nos grandes nuits d’amour, mais ça faisait très longtemps que je ne m’étais pas faite prendre par cet endroit-là. Tant pis ! En quelques secondes à peine, le beau gosse avait foutu son engin dans mon anus, écartelant mon conduit serré, sans autre forme de procès et sans être gêné par son complice qui me besognait à l’avant. Tous mes orifices ont trouvé preneur, les mecs avaient eu ce qu’ils voulaient, et ils ont terminé leur gymnastique en m’éjaculant sur les seins. Olivier a hurlé « bravo les gars pour le bouquet final ! » Avoir un mari aussi compréhensif, attentionné, et aussi pervers – c’est quand même ce que je souhaite à vos lectrices du magazine !
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