Le sex(agénaire) en bord de mer

La rédaction 3 juillet 2021

Pendant une bonne partie de la crise du Covid que nous sommes en train de traverser, je me suis retrouvé tout seul. Croyez-le ou non, ma femme avait choisi ce moment pour me lourder et aller avec un autre ! J’avais bien quelques vagues anciennes maîtresses, mais elles étaient toutes calfeutrées chez leurs maris. Je me suis alors fait violence pour, au retour des beaux jours, me remettre aux rendez-vous galants. Ça faisait longtemps que je n’avais pas fait ça et j’avais peur d’être un peu rouillé. J’ai appelé Gaïa, une ancienne amie, très jolie quinqua coquette, les yeux verts soulignés d’eye-liner avec de longs cheveux châtain, un côté Audrey Hepburn, qui m’avait toujours fait chavirer. Elle a eu l’air heureuse de recevoir mon coup de fil et a poussé des exclamations de joie en entendant ma voix. Devant tant de chaleur, je n’ai pas hésité longtemps à lui proposer une balade à deux sur la corniche et dans les falaises de notre ville de bord de mer. Je me suis fait beau, ça faisait pas mal d’années qu’on s’était perdus de vue et je craignais d’avoir pris un coup de vieux à ses yeux. J’ai mis un beau pantalon de coton, un pull à grosse maille et j’ai soigné mes cheveux argentés, que j’ai encore épais et doux. Je m’appelle Martin, j’ai 61 ans et voici mon histoire porno.

Les retrouvailles

Quand nous nous sommes retrouvés, j’ai baissé mon masque pour lui sourire et lui montrer toute la joie que j’avais de la voir et elle a fait de même et m’a montré son visage éclatant et ses yeux aux paupières toujours soulignées de noir. J’avais l’impression qu’on s’était quittés hier ! Elle m’a pris par le bras pour marcher comme deux amoureux. J’adorais avoir cette belle femme à mes côtés et sa présence m’apportait un réconfort qui m’avait quitté depuis un moment. Nous avons rattrapé le temps perdu. Sans nous en rendre compte, plusieurs heures s’étaient écoulées tandis que nous parlions en marchant. Elle m’a appris qu’elle aussi était en instance de divorce et plus elle parlait, plus je me disais que c’était évident que nos chemins se croisent aujourd’hui. J’y voyais un signe du destin. Elle m’a confié qu’elle n’avait plus éprouvé de passion, ni même de désir sexuel depuis des années et qu’en me voyant, elle avait pour la première fois depuis longtemps ressenti une vague excitation qui lui montait du ventre. Cela m’a beaucoup flatté et mon coeur s’est un peu affolé. Je lui ai dit en retour que la voir m’avait rendu ma chaleur humaine…

Nous étions là, à nous dire des mots doux, quand finalement je lui ai proposé de nous abriter au creux d’une falaise, une semi-grotte creusée dans la roche qui donnait sur la mer, car il s’était mis à pleuvoir. J’ai installé un grand drap de bain que j’avais emporté et que j’utilisais jadis avec ma femme et nous nous sommes couchés à plat ventre en retirant nos chaussures, sur notre lit de sable, pour admirer la mer déchaînée depuis notre abri de pierre. Je ne me souviens pas avoir vécu chose plus romantique ces dernières années. Je sentais sa tiédeur contre mon côté droit. Elle a tourné son visage vers moi et je me suis noyé dans ses yeux verts tout en contemplant sa beauté.

À l’abri des regards

Nos mains sous nos bustes étaient proches l’une de l’autre et j’en ai posé une sur la sienne. Du coup, elle a posé à son tour ses lèvres sur les miennes. Elles avaient le goût de la mer. Notre baiser s’est éternisé, bercé par le ressac. Nous étions couchés face à l’eau, nos visages s’étant rassemblés dans un mouvement amoureux. Gaïa a roulé sur le côté droit pour être plus à l’aise. J’ai pu la caresser tout en continuant à l’embrasser en me tournant moi aussi sur la tranche gauche de mon corps. Mes paumes ont disparu sous son chandail pour prendre ses seins et les caresser. Comme de nombreuses femmes, elle avait abandonné le soutien-gorge depuis le confinement et j’adorais ces deux petites mottes, libres et joyeuses d’être tripotées et malaxées à l’envi. Nos deux corps se sont scellés l’un à l’autre et ont roulé ensemble cette fois, elle sur le dos et moi sur elle. Ses cheveux se mêlaient au sable fin. Tout en mélangeant ma langue à la sienne et en caressant sa chevelure de ma main droite, la gauche a défait un bouton de son jean pour venir caresser son sexe dans sa culotte. La pulpe de ma peau vibrait contre son mont de Vénus et son clito. Sa bouche s’est faite plus pressante et ses mains sous moi se sont empressées de me déboutonner pour sortir ma queue.

Dans sa grotte

Elle était au taquet, raide de désir pour elle. Ses mains l’ont caressée langoureusement pendant que je m’étais mis à la doigter et à lui stimuler le clito tour à tour. Elle écartait de plus en plus les jambes sous moi et j’étais à genoux entre ses cuisses à explorer sa chatte avec mes doigts en appuyant doucement sur l’intérieur, doigts tournés vers le ciel, tout en me faisant caresser par elle. Elle était haletante malgré la fraîcheur, il n’y avait que nos sexes qui étaient à l’air libre et finalement je me suis avancé entre ses cuisses pour me fondre en elle comme dans un lit familier. Ma bite dans sa chatte était une sensation merveilleuse, et je n’avais même pas besoin de la pénétrer vivement pour ressentir tout l’érotisme du moment. Je bougeais à peine en elle, je la prenais par des micro-mouvements tout en me pelotonnant sur sa poitrine où je sentais son cœur battre très fort. Je sentais son bassin s’agiter et les muscles de son plancher pelvien battre à l’unisson de son cœur. La lumière a décliné et nous étions toujours bercés par les vagues. Le corps de Gaïa s’enfonçait dans le tapis moelleux du sable et moi, je la prenais plus intensément en augmentant l’avancée de mes pénétrations en elle petit à petit. J’ai joui dans son sexe trempé d’excitation et je me suis retiré pour ensuite me mettre à la lécher sur le drap de bain. Ses cuisses étaient couvertes de chair de poule, ses pieds pleins de sable étaient pris dans son jean baissé à la va-vite sur ses chevilles. Quand je suis revenu sur elle pour l’enlacer, elle a souri. Nous nous sommes encore câlinés dans notre spot à l’abri des regards, encore très troublés par notre échappée amoureuse. Le vent marin a caressé nos peaux et Gaïa m’a proposé de retourner marcher le lendemain.

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