Giga bite

La rédaction 14 novembre 2025

Sportif, je n’ai jamais eu de complexe à me doucher nu devant mes coéquipiers, mais j’ai très vite réalisé qu’il en allait d’une tout autre manière avec les filles. On a beau se dire qu’être très, très bien monté est forcément un avantage vis-à-vis de la gent féminine, mais lorsque mes premières conquêtes découvraient la taille de mon sexe, au mieux j’avais le droit à une pipe, quand elle ne s’enfuyait pas, prenant leurs jambes à leur cou de peur d’avoir mal !Voici mon histoire de sexe amateur érotique.

Manon la gourmande

Jusqu’à ce que je rencontre Manon, gourmande, des seins absolument magnifiques en forme d’obus et surtout, un appétit sexuel débordant ! La première fois qu’elle s’est agenouillée devant moi pour sortir mon chibre à l’air libre, elle n’en est pas revenue, mais au lieu de renoncer, elle a passé une langue carnassière sur ses jolies lèvres et a attaqué une fellation qui m’a fait venir en quelques minutes. Nos soirées étaient toutes rythmées par le même rituel. D’abord une douche pour nous laver du sable et du sel de la Méditerranée, sensuelle sans être sexuelle, nous nous touchions, nous caressions, parfois je léchais tout de même son bel abricot tout lisse jusqu’à ce qu’elle jouisse … de l’avantage d’être une femme multiorgasmique ! Puis nous allions au restaurant avant d’aller danser en boîte ou dans quelques bals, très nombreux dans le Var au mois d’août.

Dès le chemin de retour, les choses commençaient à s’épicer, Manon, toujours sans culotte, me chauffait en remontant sa minijupe ou sa robe légère, elle sortait ses seins, et jouait avec ses mamelons ou s’enfilait carrément plusieurs doigts dans sa chatte mouillée avant de me les donner à lécher. Se contorsionnant, elle ouvrait ma braguette pour en extraire mon braquemart déjà bandant, ses coups de langue autour de mon gland, son appendice dardé agaçant mon méat ou glissant lentement de bas en haut sur ma hampe gonflée, autant dire que dès que nous franchissions le pas de notre location, il n’était besoin d’aucun préliminaire, les jeux étaient faits ! Vêtements quasi arrachés, nous commencions notre ballet sans attendre d’être arrivés dans notre chambre, tout y est passé, de la table basse du salon au plan de travail de la cuisine, du couloir à la terrasse, où l’excitation de pouvoir être vus décuplait notre libido à tous deux.

Mon amante sodome

Manon se régalait de « mon gros chibre » comme elle l’appelle, gobant mes bourses, lapant ma colonne tout en caressant sa poitrine d’un autre monde pour aiguiser encore un peu plus mon appétit d’elle. À mon tour, je me glissais entre ses cuisses de satins, son sexe odorant de brune captivait mon attention, enfin je pouvais m’abreuver à sa source généreuse, sa liqueur mielleuse fondant sous mon palais et coulant sur mon menton et mon cou. Gourmande de tous ses orifices, je remontais haut ses jambes musclées afin de faire saillir son joli trou du cul tout lisse, poivré et duveteux, ce dernier laissait dans ma bouche un parfum tout en longueur et en boisé, alors seulement, je me redressais et laissais la petite main de ma copine guider mon engin vers la cible de son choix.

Il n’est pas rare que les filles trouvent plus facile de se faire enfiler par derrière par des phallus imposants, Manon ne déroge pas à la règle, je me retrouvais donc très souvent avec, déjà, le tiers de ma queue enfoncé dans son sphincter serré. Habitué, je la laissais respirer à fond et se détendre, lubrifiant le reste de mon chibre avec un gel adapté. Un « vas-y, c’est bon ! » de ma chérie et le reste de mes vingt-deux centimètres disparaissait en elle, distordant l’anneau élastique qui s’adaptait en un rien de temps à ce calibre ultra-large. Comment expliquer cette sensation ? Pour moi, cela en est presque douloureux tant l’anus me comprime la base du sexe, mais au fur et à mesure de mes va-et-vient, la bague musculaire chauffe, s’élargit jusqu’à devenir un simulacre de bouche qui me suce et m’aspire au fond d’elle !

Et lorsque je dis que Manon est une amante exceptionnelle, je le pense vraiment, cette fille a des talents exceptionnels, elle jouit du cul aussi bien que de la chatte, elle arrive même au bord de l’orgasme lorsque je lui lèche les lobes d’oreilles ! Et si j’ai le malheur de faire pénétrer ma langue dans son pavillon, alors, ce sont les grandes eaux assurées ! Pour finir, elle me faisait éjaculer en me pompant, friande de mon sperme, elle préfère toujours lorsque je gicle dans sa bouche et elle avale en me fixant de son regard le plus cochon.

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