Un p’tit coup pour la cousine
16 février 2021Noémie, 23 ans, nous confesse son secret érotique, le soir de la Toussaint, la belle s’est retrouvé en pleine partie de baise tabou… avec son cousin.
Bonjour, je me nomme Noémie, d’Angers. Je suis plutôt “tradi” à la base mais je vais vous confesser un secret “olé, olé” dans cette histoire de sexe.
Aux dernières vacances de la Toussaint, je suis partie avec mes parents dans notre maison de Lyon. J’y suis très attachée car quand j’étais enfant, toute ma famille s’y réunissait pour les fêtes. Mais, à la suite de brouilles d’héritage, mes parents ont cessé de voir leurs frères et sœurs il y a plusieurs années. Et moi, j’ai perdu contact avec mes cousins et cousines.
Jusqu’à cette fameuse Toussaint où, un soir, j’ai reçu un message sur les réseaux sociaux. Un de mes cousins germains m’avait retrouvée en ligne et avait vu que je m’étais géolocalisée à Lyon. Il me proposait de rejoindre une cousinade élargie (c’est- à-dire avec les cousins jusqu’au troisième degré), organisée ce week-end-là à une trentaine de kilomètres.
Le lendemain, j’ai annoncé à mes parents que je m’y rendrais. Ils n’étaient pas d’accord, mais c’était leurs histoires, pas les miennes! Le vendredi, j’ai pris ma voiture comme une grande pour aller passer un jour et demi en famille. Une fois sur place, je me suis rapidement intégrée à la quarantaine d’invités, connus ou pas. Personne même parmi les plus proches ne me reconnaissait vraiment, mais tout le monde était d’accord pour dire que j’étais devenue une “vraie femme”… Lors du déjeuner, j’ai sympathisé avec Paul, un cousin au deuxième degré. On avait dû se croiser enfants, mais je n’en avais aucun souvenir. Il était super mignon et travaillait dans la marine. Moi qui avais toujours eu un faible pour les militaires…
L’après-midi, durant les “Olympiades” (des jeux organisés pour petits et grands), j’ai bien vu le regard de Paul se poser sur moi. Mon cousin n’avait pas l’air insensible à mon corps de femme… Le soir, nous avons arrosé le repas et l’ambiance était très sympa. J’en ai profité pour me rensei- gner: Paul était bien célibataire… Comme je reprenais la route le lendemain matin, c’était le moment de tenter une approche. Sous la table, j’ai commencé à lui faire du gringue. J’ai fait glisser mon pied le long de sa jambe jusqu’à finalement remonter entre ses cuisses, et Paul m’a fixée avec un sourire sexy. Personne ne voyait ce qu’il se passait entre nous. Puis d’un coup, il s’est levé et a quitté la table… J’ai attendu une minute puis je suis partie à sa recherche, espérant que je ne l’avais pas contrarié. Pas de trace de lui dans la maison. J’ai enfilé mon manteau et j’ai rejoint la dépendance où avaient été installés les dortoirs de la cousinade.
Il était devant, à fumer une cigarette dans l’escalier. J’étais un peu mal à l’aise, mon comportement était déplacé. J’allais m’excuser quand Paul m’a lâché : « Cousine, tu n’arrêtes pas de m’allumer. Je me trompe ? » J’ai balbutié en rougissant, mais il a jeté sa cigarette d’un air provoquant et a attrapé le col de ma doudoune, m’obligeant à recevoir son baiser. J’ai répondu avec la langue, toute tourneboulée par la situation. Le vin me rendait plus légère.
Ce qu’on faisait était interdit… Et ce que mon cousin me proposait à cet instant, encore plus: tout en m’embrassant, il avait ouvert son pantalon et exhibait une belle queue rasée. Impossible de résister. Je me suis mise à la taquiner d’une façon obscène et qui ne me ressemblait pas du tout ! Paul aussi halluci- nait de la situation, qu’il avait pourtant pro- voquée. Sa queue gonflait de plus en plus dans ma bouche tandis que j’aspirais son gland sans le quitter des yeux. Son goût m’a semblé délicieusement familier…
Paul a eu envie que nos retrouvailles aillent encore plus loin, direction : les dortoirs. Malgré le froid, nous nous sommes mis à nus. Je n’ai ressenti aucune gêne en exhibant mon sexe à mon cousin ni lui, à le dévorer. Le militaire avait bien caché son jeu et m’a sucée passionnément… Sa langue entrait en moi puis ressortait pour frétiller sur mon clitoris, ce qui me faisait frémir de plaisir. EN baissant les yeux, j’ai vu sa queue se dresser entre ses jambes. Je voulais qu’il me pénètre…
Quelle folie ! Paul m’a déposée sur une des tables installées à la va-vite et m’a baisée intensément, chacun de nous ressentant un sentiment de tabou brûlant. J’ai caresser son torse bien dessiné d’une main et de l’autre, j’ai entrouvert mes petites lèvres en faisant un « V ». Puis j’ai resserré progressivement mes doigts sur sa tige…
Paul a alors perdu tout contrôle. Entre ses bras, j’ai enchaîné des positions dingues: il s’est retiré et, pendant qu’il m’appuyait sur la tête, j’ai sucé à nouveau sa queue dégoulinante de ma mouille. Puis il m’a prise par la taille, m’a retournée brusque- ment et m’a maintenue cambrée. Dos à lui et fesses en arrière, je n’ai pu qu’accepter les faits : mon cousin me léchait goulûment le cul! Je n’avais jamais ressenti ce plaisir auparavant : sa langue s’insérait dans mon anus et remontait par vague comme pour avaler le contenu d’un fruit trop mûr. Un contact qui a fini par m’arracher un incroyable orgasme…
Totalement vaincue par le militaire, je l’ai laissé m’enfiler en levrette. Incroyable, il me donnait encore du plaisir dans cette posture et j’ai joui une seconde fois, tandis qu’il me besognait sans merci! Je lui ai ensuite accordé mes derniers mouvements de bassin, pendant qu’il serrait mes fesses à deux mains. Son souffle s’accélé- rait franchement… J’ai eu envie de le voir se vider sur mon corps, alors je me suis dégagée d’un coup de rein et j’ai ordonné à mon cousin de jouir. Je me suis retour- née juste à temps pour la voir : l’explosion de sperme sur ma croupe ! Sur le chemin du retour, j’ai pensé que décidément, les histoires de famille étaient compliquées. Mais un conseil : n’hésitez pas à renouer avec la vôtre.
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