Ça mort à l’hameçon

Grand lecteur du magazine et fan de pêche, je décide aujourd’hui de vous raconter, dans cette histoire de sexe, une partie de pêche pas ordinaire.

Cette année, pour fêter ma retraite, je me suis fait plaisir : j’ai dépensé toutes mes économies dans un bateau. Je suis l’heureux propriétaire d’un 6 mètres avec deux gros moteurs et une petite cabine. Avec ça, je peux m’échapper facilement vers le large pour taquiner le thon.

J’ai baptisé mon bateau « Le Béber », en référence à mon prénom. Mon meilleure copain et acolyte de pêche, Jean-Jacques, me surnomme comme ça. C’est un petit clin d’oeil qui me fait marrer. Avec JJ, on passe presque tous nos week-end sur l’eau. Célib’ tous les deux, on profite de notre liberté ! Ce week-end-là, JJ avait décidé d’amener sa nièce. Pas une grande fan de pêche, mais il pensait que ça lui ferait du bien de prendre l’air pendant son séjour de quelques semaines chez lui (elle révisait ses concours de médecine). Héloïse avait la petite trentenaire. Une timide selon son tonton JJ, qui a dû insister pour la sortir en mer. J’avais décidé de mettre mes blagues potaches de côté pour une fois, histoire de pas brusquer la petite.

Chaque samedi, c’est la même routine. Réveil 6h du matin, petit café, je charge le matos et je file sur le port. Tout est calme, le soleil du matin commence à chauffer légèrement. De loin, j’observe une nana qui marche sur le ponton pieds nus. Tout en commençant à décharger mes cannes, je continue de la regarder. Elle porte un petit haut sans soutien-gorge et une jupe en jean qui couvre à peine ses jambes. Elle m’a repéré, je le sens, mais elle continue ses va-et-vient sans me regarder.

Toujours pas de news de JJ, étonnant. Pour m’occuper, je salue la belle de la main. C’est bien beau de mater, mais un minimum de politesse quand même ! Elle me sourit et s’avance. Les rayons du soleil m’éblouissent, son visage disparaît dans la lumière mais ses seins se balancent à mesure qu’elle se rapproche. Elle me plaît… Une fois à ma hauteur, elle fait : « Bonjour, vous devez être Béber ? Je suis Héloïse, la nièce de Jean Jacques ». Elle m’explique rapidement que JJ a trop mal au dos pour venir (ce qu’elle ne sait pas, c’est que c’est notre code à nous pour dire qu’il a un plan nana). Mais elle pense qu’un tour de bateau lui ferait le plus grand bien, alors allons-y sans lui.

Après une demi-heure aux commandes, je coupe le moteur et nous laisse dériver. On est loin des côtes, la mer est d’huile et le soleil tape bien. La petite profite du calme, les yeux sur l’horizon, puis elle demande : « Je peux bronzer sur l’avant du bateau ? » Mais oui, moi, « Je dois préparer mes cannes »… Et puis je pourrais peut-être mater un peu plus…

Je prépare tout mon matos sur le pont, en jetant des coups d’œil furtifs. Le spectacle est au rdv ! Héloïse a laissé tomber le haut. Je me régale de ses deux petits seins en forme de poires. La jupe glisse le long de ses jambes, laissant apparaître une culotte de maillot qui cache à peine son entrejambe. Elle ne peut pas se dévoiler comme ça sans avoir envie que je la reluque… Alors je file dans la cabine du bateau et derrière la vitre teintée, je m’autorise à fantasmer sur la nièce de mon pote. Quel cochon, mais je sais que personne ne me juge chez interstron.ru !

La préparation de mes cannes à pêche n’avance guère. Je n’arrive pas à lever le regard de ce corps parfait, allongé à l’avant de mon bateau. Je vous passe le moment où Héloïse sort son huile de monoï. Ses mains glissent le long de ses courbes, effleurent ses seins, ses cuisses, ses fesses… Tout son corps est luisant tel un hareng dans une poêle à frire !

Au bout d’un moment, mon regard se fixe entre ses jambes. Le petit morceau de tissu tendu laisse apparaitre la forme de ses lèvres… Je bande de plus en plus fort, il faut que je fasse descendre la pression. Je mets la main dans mon caleçon, je ferme les yeux et j’ordonne mentalement à ma bite d’amarrage de redescendre. « Pense à JJ, tu ne peux pas faire ça à ton pote… » Mais soudain, j’entends un raclement de gorge. « Hum hum ! » C’est Héloïse, debout devant moi, alors que je l’ai toute dure dans la paluche !

« Dites donc, Béber… Mon oncle ne serait sans doute pas d’accord », me dit la belle. Mais son ton n’est pas menaçant, plutôt… très coquin. Un sourire à la bouche, elle me rejoint aux commandes. Et me montre qu’elle sait, comme tout bon marin, maîtriser les nœuds ! Elle empoigne ma verge puis commence à la faire monter et descendre. Le monoï qu’elle a sur les mains aide, tout coulisse parfaitement. Je suis à fond entre ses mimines… C’est là qu’elle décide de me pousser sur le siège de pilotage en cuir. Aïe, c’est chauffé par le soleil. Mais Héloïse s’en fiche. Elle enlève son bas de maillot et se met au-dessus de moi. J’ai ses belles poires dans le nez et sa petite fente juste au-dessus de mon mat… Elle descend, elle descend et pfouit ! Elle s’enfile dessus en chouinant de plaisir !

Ça glisse aussi, mais pas à cause du monoï : elle mouille comme une folle, signe qu’elle sait depuis le début que je bande sur elle ! Je la laisse onduler puis carrément se faire sauter sur ma queue, comme un petit hareng maintenant tout frétillant ! Je sens que ça monte en moi et je préviens. La nièce de JJ se désenfile et se tourne, puis s’envoie les doigts en criant de plaisir… Je saisi mon mat et m’astique comme un fou, pendant qu’Héloïse décolle en se touchant. L’écume tombe pile dans le creux de ses reins et elle se retourne avec un sourire…

De retour au port, JJ était là pour nous accueillir. J’étais tellement gêné que j’ai vite plié les gaules et déguerpi. Il ne sait pas encore ce que j’ai fait à sa nièce chérie, mais elle, elle m’a promis de revenir. L’appel du large, sans doute ?

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