Mon cousin a bien grandi

La rédaction 9 juillet 2019

Élo, 22 ans, Lyon

Depuis toute petite, on dit de moi que je suis quelqu’un de très « famille ». Je ne manque jamais une occasion d’organiser un dîner autour d’une grande table ou des vacances au bord de la mer avec ceux qui me sont chers. Et depuis quelques temps, une aventure particulière nous a encore plus soudés. J’étais partie en week-end dans la famille de ma tante, près de Noirmoutier. C’est une femme très chaleureuse et très accueillante, et Philippe, mon cousin donc, m’a fait avec joie une place dans sa chambre. Cela faisait 5 ou 6 ans que je ne les avais pas vu et je dois bien avouer que Philippe avait bien changé depuis la dernière fois que nous nous étions vus ! C’était devenu un bel homme, à la musculature assez développée et au sourire ravageur. Je ne crois pas que dans ma promo étudiante, j’ai connu un homme qui m’ait fait autant d’effet.

Je suis quelqu’un qui n’a pas connu beaucoup de petits copains pour le moment (mais je suis assez jeune) et lors de la première nuit dans sa chambre, à écouter son souffle paisible durant son sommeil, je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber. Je m’imaginais le rejoindre sous sa couette (j’étais sur un matelas près de son lit) et m’empaler sur son sexe. J’essayais de ne pas faire de bruit du tout en me masturbant, essayant d’éviter au maximum les frottements de mes doigts contre le drap, mais je crois bien que Philippe s’en est aperçu. Le lendemain, au moment de se coucher, il m’a dit : « Tu sais, j’ai entendu ta respiration forte et tes tremblements dans le lit hier soir. Et je ne suis pas sûr que tu faisais vraiment un cauchemar… ». J’ai rougi de honte ! Il savait tout ! Je lui ai avoué que sa présence me troublait au plus haut point, et que cela avait déclenché chez moi des pensées assez osées, des pensées qui étaient certainement déplacées. Il m’a dit que ce n’était pas grave et je pouvais le rejoindre dans son lit. J’y suis allée, tremblante. De là, il m’a prise tendrement dans ses bras, j’avais la joue collée contre son pyjama tout doux, c’était très agréable. 

Je me suis lovée contre son torse chaud, et j’ai senti qu’il bandait à travers la matière de son pantalon. Je ne savais pas comment réagir ni ce que je devais faire ! Je savais très bien que ce n’était « pas bien » de se frotter contre son cousin, mais en même temps j’avais très envie de son corps. « Je peux te toucher les seins ? », m’a-t-il demandé en chuchotant. Je me suis laissée faire et c’est lui qui a repris la suite des opérations. Il m’a déshabillée très lentement et une fois nue, il s’est déshabillé également. Ses mains parcouraient toutes les courbes de mon corps, et tout doucement, il a approché son majeur de mon sexe. Il l’a ensuite touché à pleine main, malaxant bien ma petite motte comme s’il s’agissait d’une pâte à pétrir. J’étais super excitée et ses doigts glissaient sur mes lèvres enflées avec beaucoup de facilité. Quand il m’a demandée de le sucer, je m’y suis attelée avec beaucoup de bonheur. Je n’avais pas sucé beaucoup de garçons avant et je lui ai demandé ce qu’il pensait de ma prestation. 

Il a répondu que j’avais beaucoup de potentiel mais encore une belle marge de progression ! J’ai fait semblant de lui mettre une petite claque et il m’a retournée sur son lit en bloquant mes bras au-dessus de la tête « Chut, tu vas nous faire repérer par ma mère ! », m’a-t-il dit. Il a ensuite craché un peu sur son sexe, puis il s’est enfoncé en moi. Son visage s’est tout d’un coup détendu, et ça m’a fait beaucoup de bien de le sentir entre mes reins. Beaucoup mieux que la masturbation ! Il a fait quelques va-et-vient extrêmement plaisants et j’ai décidé de me mettre au-dessus de lui. Il s’est laissé faire, tout en me saisissant bien par les hanches pour que je m’enfonce sur sa bite le plus loin possible. C’était vraiment trop bon, bien qu’un peu douloureux. Je sentais son gland frapper bien au fond. Personne ne m’avait jamais baisée de la sorte auparavant.

Sa mère a tout d’un coup tapé contre le mur « Vous n’avez pas un peu fini de vous battre tous les deux ?! », et nous avons regagné nos lits respectifs en un éclair, en pouffant de rire. Je n’ai pas joui, lui non plus. Nous continuions donc à nous masturber en silence, sous nos draps, en étouffant nos bruits de plaisir. J’ai eu un des plus beaux orgasmes de toute ma vie. 

Et ma Tante, au moment de partir, m’a dit que je pouvais revenir quand je voulais. Ah, quel bel esprit de famille ! 

(Photo à la une : Getty Images)

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