Échange de langues
17 avril 2023En échange universitaire au Danemark Leïla, 22 ans, a du mal à suivre à la fac. Le beau Niels vient a son secours avec des cours de langues.
Je m’appelle Leïla, j’ai 22 ans et je viens de finir mon Master d’école supérieure de commerce. L’an dernier, je suis partie en échange universitaire au Danemark, à Copenhague. Ce n’était pas mon premier choix, mais finalement, je n’ai pas du tout regretté ! Vous comprendrez après avoir lu cette histoire de sexe.
Un apprentissage bien coquin
Je pensais que mon niveau d’anglais me suffirait pour suivre les cours à la fac. Mais j’ai vite déchanté… Heureusement, en TD, j’étais souvent assise à côté d’un mec très mignon qui s’appelait Niels. Un Danois pur jus – grand, costaud, très blond avec une petite barbe de trois jours façon « hipster ». En plus d’être sexy, il était hyper gentil : il a vite remarqué que je galérais à prendre des notes et il m’a abordée un soir à la sortie des cours.
Je lui ai expliqué que j’étais Française et que clairement, les langues vivantes n’étaient pas notre point fort… Ça l’a fait rire, et il m’a proposée de passer un soir pour réviser ensemble. On m’avait expliqué que les Danois était très prudents en matière de drague et laissaient plutôt les filles faire le travail. Du coup, j’ai vraiment cru qu’il s’agissait d’une invitation « purement professionnelle ». On a fixé un rendez-vous au lundi suivant, et je me suis radinée dans sa chambre d’étudiant sans aucune arrière-pensée.
Echange de langue et de corps
Quand Niels m’a ouverte la porte, j’ai été surprise de voir qu’il portait seulement un short. Curieux, vu le temps qu’il faisait ce jour-là (neige et -5°C). Mais en entrant, j’ai constaté qu’il faisait une chaleur d’étuve… Gêné, il m’a expliquée que cette partie de la résidence avait un problème de chauffage depuis la veille et qu’il était impossible de le baisser. Vu la tempête de neige dehors, ouvrir la fenêtre n’était pas une option. Alors j’ai fait comme Niels : j’ai enlevé mon pull et mon collant en laine, pour ne garder que ma jupe et mon tee-shirt. C’est là que son regard sur moi a changé…
J’ai vite compris pourquoi : depuis la rentrée d’octobre, il ne m’avait jamais vue qu’en gros pulls, boots et écharpe. Je devais lui paraître infiniment plus sexy comme ça… Quand je me suis assise sur le petit canapé deux places et que j’ai replié mes jambes sous mes fesses, j’ai vu Niels rougir. Pour détendre l’atmosphère, j’ai commencé à lui poser des questions sur sa vie. Une heure plus tard, nous étions côte à côte sur le canapé, à papoter et à rire. Il me plaisait plus que jamais, d’autant que son torse musclé et légèrement luisant était des plus appétissants…
Si l’ambiance était détendue, la température, elle, ne faisait que monter. J’ai commencé à sentir des gouttes qui perlaient entre mes gros seins. L’air de rien, j’ai demandé à mon hôte si je pouvais enlever mon soutien-gorge, qui me collait à la peau. Il a rougi et simplement hoché la tête. J’ai donc fait sauter l’agrafe et me suis libérée. Problème : malgré la chaleur, mais tétons pointaient… De quoi trahir mes intentions coquines !
Niels a directement capté. On aurait dit qu’il était hypnotisé par mes seins… Difficile de nous contenir plus longtemps : quand il a relevé la tête et que nos regards se sont croisés, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre, langues en avant. Une fois nus, c’est moi qui ai poussé le beau gosse sur le lit, avant de ventouser ma bouche sur son sexe. La sensation de mon piercing sur son bout l’a fait gémir… Puis, après l’avoir bien pompé, je me suis étendue sur le dos et je l’ai laissé explorer mon corps.
Apprendre avec la queue
Il a longuement joué avec mes seins, puis ma foufoune, les couvrant de baisers et de léchouilles. Ses mots en danois m’ont fait frémir de désir et quand il s’est enfin allongé, me faisant comprendre qu’il voulait que je le chevauche, j’étais trempée de mouille. Miracle : en plus d’être très bon en préliminaires, Niels était en plus ultra-endurant. J’ai pu « rider » sa belle queue en position amazone, puis en sens inverse, pendant plus de 20 minutes. À chaque fois que je sentais l’orgasme venir, je ralentissais le rythme, me forçant à attendre toujours un peu plus.
Nous étions en nage quand nous avons atteint nos limites. Niels respirait très fort et ses cuisses étaient tendues. Je me suis appuyée dessus et j’ai ondulé comme une folle, mon clito vibrant contre ses couilles… On y était ! J’ai entendu un râle et le jet de mon amant a explosé en moi, me retapissant entièrement. Cambrée à fond, j’ai éclaté à mon tour, puis j’ai roulé sur le côté, vaincue. Nous sommes restés à nous câliner une heure, puis Niels nous a ramené à manger du resto chinois en bas de la résidence. Cette soirée en amoureux a été la première d’une longue série. Et si notre histoire n’a pas résisté à mon retour en France, je garde un merveilleux souvenir de cette année danoise, où j’ai perfectionné mon anglais autant que le langage du corps… (Image à la une : Gettyimages)
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