Souvenirs de week-end

La rédaction 3 février 2021

Fabrice, 60 ans se remémore un week end de printemps torride passé avec la femme d’un ami à lui.

L’année passée, j’ai eu l’occasion de tomber par hasard sur quelques éditions de votre magazine chez un de mes amis. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire les aventures sexuelles racontées par les femmes et par les hommes. Célibataire, commercial, j’ai aujourd’hui la soixantaine et j’ai décidé de vous faire partager une de mes histoires de sexe.

Dix ans après les faits, j’ai encore en mémoire le déroulement de ce week-end exceptionnel, mais c’est surtout la jouissance de cette femme de 58 ans, celle d’un ami, dont je me souviens. Avec Marc et Emée, nous sommes très proches. Je pars régulièrement chez eux à la campagne pour passer quelques jours. En mai 2010, j’ai profité d’un week-end prolongé pour les rejoindre. Emée apprécie particulièrement ma présence. Lorsque nous regardions la télévision le soir, elle avait pris l’habitude de s’allonger sur le canapé et de poser sa tête sur un de mes genoux.

Un dimanche soir, devant s’absenter le lendemain pour aider à un déménagement, Marc est parti se coucher plus tôt que d’habitude, à la fin du premier film. J’ai pris la télécommande et, avec Emée, nous avons regardé un peu les infos, puis à force de changer de chaîne, je suis tombé sur un film érotique que j’ai laissé, sans remarque de sa part. Après quelques minutes, j’ai vu ses tétons gonflés contre son t-shirt. Le film lui faisait-il de l’effet ? Avec ma main droite, j’ai promené mes doigts sur son bras, puis effleuré son cou. Ne voyant de sa part aucun geste repoussant cette approche, j’ai passé ma main sous son vêtement et enveloppé son sein droit. Mon pouce et mon index ont joué avec son téton. Ma main droite a remonté son t-shirt. J’ai caressé son ventre puis son sexe à travers son slip, déjà très humide. Elle fermait les yeux, se mordillait les lèvres, commençait à gémir et son bassin répondait à mes caresses. Cette situation m’excitait. Mon pénis prenait du volume et butait maintenant contre sa tête. J’ai passé ma main dans sa petite culotte et ai fouillé sa chatte velue et chaude. Mes doigts jouaient avec ses lèvres. Elle gémissait de plaisir, m’obligeant à mettre ma main sur sa bouche. Je l’ai pénétrée avec un, puis deux doigts. Elle a joui très vite.  Elle m’a regardé et a souri. J’ai sorti mon chibre de mon short de pyjama. J’ai pris sa tête à deux mains et l’ai guidée vers mon sexe. Timidement, elle me dit : « Je n’ai jamais fait ça »

Elle n’avait jamais sucé son compagnon ! J’ai amené ma queue vers ses lèvres. Sa langue s’est promenée sur la tête de mon sexe. Elle l’a pris un peu en bouche puis s’est redressée pour prendre ma queue avec sa main et finir le travail. J’ai senti que j’allais exploser, je le lui ai dit. Mes jets sont partis dans sa main.

Le lendemain matin, j’ai entendu le véhicule de Marc s’éloigner. Quinze minutes plus tard, Emée est montée à l’étage et a toqué à ma porte, me demandant si elle pouvait entrer. « Bien sûr, tu es chez toi ! », lui ai-je dit en souriant. Elle était vêtue d’une nuisette noire décolletée en dentelle. Elle s’est assise sur le rebord du lit et m’a lancé : « Je n’ai pas passé une bonne nuit. J’ai repensé à notre incartade d’hier soir. » J’ai souri, posé une main sur son genou. « Tu regrettes ? ».

Après quelques secondes de réflexion, elle m’a répondu : « Oui et non » Ma main remontait tout doucement le long de ses cuisses. Au fur et à mesure de mon avancée, elle écartait ses jambes et je n’ai eu aucun mal à atteindre sa chatte humidifiée. J’ai joué avec son bouton rose. Elle était déjà très sensible à mes caresses, son souffle s’accélérait. Elle a repoussé le drap et saisi mon pénis avec sa main toute douce. Nous nous sommes installés en 69. Un peu maladroite, elle a léché mon sexe. Une de ses mains tenait la base de ma verge. Ses lèvres commençaient à engloutir mon membre. Je l’ai encouragée : « C’est ça, descends doucement tout du long. » Ce message lui a donné de l’assurance. Sa bouche enveloppait maintenant ma queue et ses lèvres montaient et descendaient le long de ma tige. J’aimais sentir sa bouche presser mon dard. La tenant fermement par la taille, ma langue fouillait tous les recoins de son intimité. Elle ondulait de plus en plus vite et lorsqu’elle a lâché un « ça vient, ça vient », j’ai vite fourré deux doigts en elle pour sentir ses spasmes. Elle me pompait de plus en plus rapidement et je n’ai tardé à décharger… au fond de sa gorge.

Chacun a ensuite vaqué à ses occupations dans la matinée, avant de nous retrouver pour le déjeuner. A l’issue de celui-ci, elle m’a dit vouloir aller se reposer un peu. Je lui répondu que moi aussi, mais un peu plus tard.

Je suis monté à l’étage, sa chambre était fermée. En ouvrant la porte de la mienne, j’ai eu l’heureuse surprise de la trouver allongée sur le lit, les seins nus avec pour seul vêtement un slip couleur bordeaux. Je me suis déshabillé et elle est venue se blottir contre moi, caressant mon torse poilu, ma queue et mes boules. Elle a enlevé son slip. Elle m’a enjambé et est venue s’empaler sans difficulté sur mon cylindre. Mouillée comme elle l’était, c’est rentré tout seul. Elle bougeait son bassin dans tous les sens pendant que je prenais ses seins à pleines mains et jouais avec ses tétons. Elle a joui assez rapidement. Je l’ai installée en levrette. Quel beau point de vue j’avais : le fessier musclé de la femme de mon ami. J’ai caressé son dos, son ventre. J’ai attrapé ses hanches et j’ai dirigé ma queue vers sa chatte. Vu son état, j’ai vite trouvé ma place. J’ai alterné des va-et-vient lents et rapides. Elle a eu un nouvel orgasme. J’ai récupéré un peu de sa mouille pour en étaler sur son œillet, que j’ai commencé à caresser. Elle m’a pris la main un instant et elle m’a dit : « C’est la première fois. » Je l’ai rassurée : « Je ferai très attention, c’est le plus beau cadeau que tu peux me faire. » J’ai inondé de salive son petit trou. Tout doucement et avec patience, j’ai introduit un doigt, puis deux. Son conduit se dilatait. J’ai présenté ma queue et, centimètre par centimètre, je gagnais du terrain. J’étais enfin en elle. J’ai imprimé un rythme lent au départ, puis plus rapide. « Tu vas me faire jouir, ah oui », a-t-elle lâché. Ces paroles m’ont excité et j’ai déchargé à l’intérieur de son cul. Nous sommes restés l’un contre l’autre quelques minutes. En se levant, elle a ramassé son slip et me l’a lancé. « C’est cadeau. » Durant deux bonnes années, lors de mes venues chez eux, nous sommes allés marcher afin de continuer nos petits jeux en pleine nature.

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