Une mère exemplaire

La rédaction 25 mars 2020

Agnès, 53 ans

Je sais que les lecteurs comment toujours par se décrire au début de la lettre, et si je devais me plier à l’exercice,je dirais deux choses: je suis une croqueuse d’hommes, et une maman exemplaire. J’ai deux filles, dont une, Marie, qui a 21 ans. L’autre est beaucoup plus jeune, issue d’un second mariage. Et toutes les deux sont merveilleuses. L’aînée commence à ramener des copains à la maison. Si la plupart ne viennent en règle générale qu’une seule fois avant d’être congédiés par les soins de ma fille, il y en a un qui revient régulièrement à la maison depuis plus de 3 mois.

Romain. Un grand gaillard d’1 m 87, des muscles taillés dans l’acier, des cheveux constamment ébouriffés et un regard coquin. Je ne peux m’empêcher de me dire que ma fille a fait une belle prise. Il est absolument charmant, et j’adore être aux petits soins pour eux deux, leur préparant des goûters digne d’une vraie petite fée du logis, ce que je n’ai rarement été, prise par mon emploi du temps de ministre. Ma fille est une très grande sportive, et ce mois-ci, elle avait un tournoi de tennis dans un petit village de la région. Je lui ai laissé la voiture pour qu’elle puisse s’y rendre par ses propres moyens et j’ai fait à dîner pour Romain, mon autre fille et moi. Romain était très gêné pendant le repas, c’est la première fois qu’il mangeait seul avec nous, sans sa copine.

Tout en échangeant des banalités sur la météo et mes inquiétudes sur la récente infiltration du coude de ma fille, je n’ai cessé de le dévorer des yeux, lui faisant clairement comprendre que j’en aurais bien fait mon dessert ! J’ai su que mon attitude était suffisamment explicite quand j’ai senti son tibia se frotter sur mes jambes épilées et nues sous ma jupe. Il me voulait, lui aussi. J’ai couché la petite, puis j’ai rejoint Romain qui regardait sagement la télé. « Marie devrait revenir dans une petite heure… tu as tout ce qu’il te faut ? » ai-je demandé négligemment. Il a hoché la tête, et m’a invitée à le rejoindre devant la télévision. Évidemment, j’en mourrais d’envie moi aussi. Nous sommes restés quelques minutes à fixer ensemble l’écran, silencieux. Je ne peux même pas vous dire ce qu’il y défilait, dans ma tête, il n’y avait plus que Romain, et le basculement qui devenait imminent.

Après une longue inspiration, j’ai osé poser ma main sur sa cuisse. Il est tout de suite venu la recouvrir de la sienne, et il m’a embrassée à pleine bouche. Comme s’il attendait mon signal depuis le début. L’étreinte a été brutale, désordonnée et passionnée. Je l’ai guidé jusqu’à mon lit, nous nous sommes déshabillés à la hâte – comme deux adolescents pris par l’angoisse que leurs parents ne rentrent plus tôt. Sauf qu’ici, il s’agissait de ma fille ! J’ai découvert avec émerveillement la queue qui avait pris tant de fois Marie. Elle était si douce, si lisse et si vigoureuse. J’avais oublié ce que c’était de sortir avec un jeune homme de la vingtaine. J’avais oublié la jeunesse…

Romain m’a pénétrée avec force et avidité. Comme le faisaient certainement mes précédents amants de son âge. Le quarantenaire est beaucoup plus long à se mettre en route, croyez-moi ! Une fois qu’il eut fini avec ma chatte, je suis venue nettoyer sa queue avec ma bouche. Une vraie sucrerie. J’ai conservé quelques photos de nos ébats. S’il s’avise un jour de faire du mal à ma fille, je saurais lui rendre la monnaie de sa pièce. Je vous avais dit que j’étais une mère exemplaire ?

(Image à la une : Getty Images)

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» Je bandais très fort à l’idée que c’était ma belle-mère qui était avec moi. Elle a senti ma grosse érection contre elle. Elle m’a pompé, c’était divin ! Malgré ses 55 ans, elle était plus bandante que ma femme ! Quand j’ai joui, elle a tout avalé ! » Hervé

Au plaisir de baiser ma belle-mère

« Je la retournai sur le ventre et la pénétrai vigoureusement. Elle eut des frissons. Mes coups de queues la firent crier à haute voix tout le plaisir qu’elle ressentait. Je la baisais avec rage pour lui faire payer son insolence et cela la fit jouir plusieurs fois. » François


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  • Perceval

    Très réaliste, c’est tellement vrai…

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