De la clope à la pipe!!

Paule 9 octobre 2023

Accro à la clope, son buraliste l’aide à guérir grâce à l’un des ses remèdes particuliers quelle a découvert en allant chez lui.

Bourrée par le buraliste

Petites chattes, gros lolos, j’ai tout ce qu’il faut où il faut ! Par contre, je n’ai aucune volonté : j’ai arrêté de fumer il y a trois mois et je n’arrêtais pas de replonger. Du coup, j’ai prévenu le buraliste en bas de chez moi : interdiction de me vendre un paquet. Bien sûr, la semaine d’après, j’étais chez lui avec mon porte-monnaie. Il m’a regardée en rigolant et m’a balancé : « Vous m’avez dit que vous arrêtiez, alors je ne vous vendrai rien ». J’ai insisté, pleurniché… Il a fini par céder. « OK, m’a-t-il dit. J’ai une autre option. Vous montez chez moi et je vous donne un remède qui vous fera arrêter pour de bon. » Je portais déjà un patch qui ne marchait pas, mais après tout, pourquoi ne pas tenter une nouvelle technique ? Je vous raconte mon histoire de sexe.

Deux minutes plus tard, on était dans son appart’, juste au-dessus de son bureau de tabac. J’étais surprise qu’il laisse la boutique à son employé juste pour mes beaux yeux, et intriguée de voir où il vivait. Je dois dire que je l’avais toujours trouvé assez sexy : la petite quarantaine, un corps musclé, un beau sourire, des yeux bleus pétillants… Et puis j’avais tellement envie d’une clope que j’aurais fait n’importe quoi pour qu’il me soulage. Ce qu’il a fait, et pas qu’un peu ! A peine entré dans l’appartement, il m’a lancé d’un air enjoué : « Mon traitement magique demande que nous soyons à l’aise. Il ne faut porter aucun vêtement ». Je l’ai regardée, estomaquée. Déjà, il commençait à enlever sa chemise, le regard pétillant… Quand il s’est mordu les lèvres d’un air gourmand, j’ai fondu. Comme envoutée, j’ai déboutonné mon jean, puis ma blouse. Face à moi, l’étalon était déjà nu et brandissait fièrement sa bite : longue, bien droite, avec un gland épais comme j’aime… Le rêve !

Quand le buraliste a vu mon regard lubrique sur sa virilité, il n’a pas trainé et m’a entrainée dans sa chambre, l’air décidé, puis m’a fait allonger sur son lit. Les draps étaient propres et frais, le contact de sa queue contre mes cuisses, terriblement excitant. Très vite, il a pris messeins dans sa bouche et les a dévorés. « Viens ! », l’ai-je encouragé en prenant les globes à deux mains. Visiblement ravi, il s’est mis à califourchon sur moi et a guidé sa bite au milieu. J’ai pressé mes lolos pour lui offrir un fourreau moelleux, tout en tirant la langue… Le précum commençait à couler et le mec, à gémir. Il s’est masturbé entre mes seins pendant de longues minutes, ne s’interrompant que pour se faire pomper. A chaque fois, il poussait des « Oh ! » et des « Ah » de plaisir. Je me sentais toute puissante et tellement mouillée ! Il valait mieux, pour ce qui m’attendait.

Le sexe avec mon étalon de buraliste

Une fois qu’il a été bien chauffé, mon étalon m’a demandé : « Tu veux qu’on passe à la suite du traitement ? Ça se passe dans le salon. » J’étais bien dans le lit, mais soit : je l’ai suivi. Le mec avait en tête de me faire poser au milieu de la pièce, la foufoune écartée. « J’ai envie d’avoir une belle photo de notre première fois. Tu es tellement bonne… », a-t-il dit pour me convaincre. Comme refuser ? Voir sa queue se tendre pendant qu’il me photographiait m’a donné envie de la sentir en moi. Mais avant cela, il m’a prise dans ses bras et m’a assise sur un petit canapé qui avait la hauteur parfaite pour qu’il me prépare encore un peu plus. Hum, son index agile m’a fait gémir à chaque fois qu’il venait frotter mon point G... Je m’ouvrais comme une fleur, et il était tant que sa bite remplace son doigt ! Il a ouvert grand mes cuisses et m’a demandé : « Prête pour la dernière partie de l’opération ? » J’ai fait oui de la tête, tandis que sa grosse bite s’enfonçait en moi.

Quel régal ! L’étalon a entré son gros gland, m’arrachant un gémissement profond. Encouragé, il est entré plus loin le coup suivant. J’ai gémi de plus belle. Un peu plus loin encore… C’était trop bon ! Je me suis accroché au canapé et j’ai crié : « Vas-y, enfonce-la ! » Cette fois, saqueue est entrée en entier et le rythme s’est accéléré. Le siège cognait maintenant contre le mur, mon corps rebondissait sur l’assise, mon point G était prêt à exploser… « Oui ! Vas-y ! Encore ! », me suis-je entendu hurler. L’orgasme m’a alors submergée, mes cuisses se mettant à trembler de façon incontrôlable. Quand le buraliste s’est retiré, ma chatte a laissé échapper un bruit mou et j’ai glissé à ses pieds. Là, je l’ai laissé entrer son chibre trempé dans ma bouche et je l’ai sucé, à peine consciente tellement j’étais sonnée, jusqu’à ce que son foutre coule dans ma gorge. Nous avons ensuite pris le temps de nous câliner, avant que je rentre chez moi… sans aucune envie de fumer. Depuis, chaque fois que ça me reprend, je passe un coup de fil à mon étalon. On peut vraiment dire que je suis passée de la clope à la pipe !

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Paule


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