Haut les cœurs, haut les queues !

La rédaction 16 juin 2024

Mylène – 27 ans – Arcueil, couche avec son mari et l’une de ses meilleurs amis pour gober chacun son tour l’immense pieu de son homme.

Un tapis au milieu d’un océan de parquet, une escapade au salon des vins de propriétaires, une douce ivresse qui s’empare de quatre corps et voilà comment un après-midi pluvieux parisien se transforme en la soirée la plus chaude de ma vie ! Voici mon histoire de sexe.

Au septième ciel du sexe

Quand Olivier et Sacha nous ont abordés, Gary et moi, à la sortie du parc des expositions de la porte de Versailles en nous avouant qu’ils avaient envie de coucher avec nous, nous avons fui. Mais lorsqu’ils nous ont rattrapés, nous avons eu la folie de les suivre. Nous nous sommes retrouvés à poil dans leur petit appart de la banlieue parisienne, Olivier, la queue dressée, nous a indiqué le sol et s’est emparé d’un gros appareil photo tandis que Sacha commençait à lui sucer la bite et à me caresser la chatte.

Nous étions tous très gais, Olivier titubait un peu, mais continuait de déclencher son boîtier pendant que je pompais le nœud de mon mec, accompagnée par la bouche gourmande de Sacha. Mon clito s’est mis à bander comme jamais, visiblement la longueur de l’appendice pénien de Gary a ouvert tous les appétits, ma compagne de pipe et moi nous battions pour son gland, ses couilles, sa hampe. Il était au septième ciel de voir ces deux langues lui bouffer chaque centimètre carré de la bite. De temps en temps ma « coreligionnaire » me roulait une pelle. Je ne suis pas du tout filles habituellement, mais là, j’avoue que ma nouvelle amie savait y faire et je me suis laissé aller avec une sensualité saphique que je ne me connaissais pas.

Nous nous sommes allongées côte-à-côte ensuite, tout en continuant à nous manger la bouche. Nous avons écarté nos cuisses et exposé nos chattes mouillées et ouvertes comme des moules bien cuites aux regards obscènes des deux mâles. Le premier ne nous lâchait pas des yeux et de l’objectif, le second s’est jeté sur nos sexes, mettant en branle sa langue plus virevoltante que jamais. Gary s’est déchaîné pour mener deux cunnilingus de front, doigtant celle qu’il ne léchait pas. J’étais tellement chaude que j’ai joui en premier, suivie de très près par Sacha qui a émis des vocalises de plaisir d’une rare intensité. J’en ai eu des frissons tant son orgasme a été sonore et puissant.

Jusqu’au fond de la gorge

De temps en temps Olivier nous interpellait pour que nous adoptions des poses, moi, si pudique, je n’ai pas hésité à exhiber ma cramouille, mes fesses, mes nichons, jusqu’à mon anus, en écartant mon petit cul à mort ! J’étais trempée, la pièce exhalait le sexe bestial et la cyprine, c’est moi qui ai demandé à Gary de posséder Sacha. Cette dernière était en levrette, Olivier a stoppé ses prises de vue pour m’offrir sa queue. Au moment où elle franchissait le seuil de mes lèvres, le gland de mon homme disparaissait dans la chatte béante de Sacha. Les deux corps masculins se sont mis au diapason, l’un pénétrant au plus profond du vagin de l’une pendant que le second plantait sa grosse tige massive jusque dans les contreforts de ma gorge. J’ai failli étouffer tant Olivier était sérieusement membré, mais je voulais lui donner autant de plaisir que je pouvais. À côté de nous, la levrette avait tourné au pugilat. Mon homme, si tendre, fessait Sacha qui en demandait toujours plus. Elle a de nouveau pris un pied terrible tout en m’enfonçant des doigts un peu partout, dans la chatte comme dans le petit trou ! Décidément rien ne l’arrêtait.

Je ne pensais pas si bien dire, elle a sorti la bite de mon mec de son con dégoulinant pour se la foutre dans le cul, comme ça, à sec ! Je n’aime pas la sodomie personnellement, mais j’en ai eu envie d’un coup, malgré le calibre hors du commun du pieu d’Olivier. Je lui ai demandé d’y aller doucement, il m’a léché la rondelle pour la doigter ensuite. Bien lubrifié, mon anneau s’est ouvert, j’avais chaud partout, lorsqu’il m’a enculée, je n’ai rien senti d’autre qu’un bien-être miraculeux. Cet homme, porté par une certaine ivresse, m’a limé le cul avec lenteur et une immense délicatesse, je sentais mon rectum rempli puis vide et je ne désirais qu’une seule chose, qu’il me réinvestisse au plus vite tant la sensation était extraordinaire.J’ai joui de mon anus tout en me tripotant le clitoris. Sacha a réintroduit sa langue dans ma bouche et est parti à son tour, sans même avoir à se toucher le bourgeon.

Olivier s’est lâché dans mon tunnel serré. Sacha, quant à elle, voulait avaler le sperme de mon mec. Nous l’avons sucé de nouveau, branlant son long pénis tout rouge, lui malaxant ses grosses bourses bien pleines, il nous a craché au visage d’une force ! Sacha a attrapé son gland, elle a tout bu et m’a léché les lèvres pour ne pas perdre une seule goutte de foutre !

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