Un invité d’honneur

La rédaction 23 novembre 2021

Je m’appelle Brian, j’ai 28 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Mon meilleur ami, Fabrice, m’a contacté il y a quelques temps pour m’inviter à dîner. Il vit avec Noura, une jeune femme d’origine tunisienne, belle comme un cœur et j’ai le droit à des récits très détaillés quant à leurs nuits de sexe. Noura n’est pas seulement jolie, c’est une amante visiblement plus que chaude. Mais je ne m’attendais pas à leur proposition entre la poire et le dessert.

Une suceuse hors pair

Noura est devenue sérieuse, presque grave, à la fin du repas. Elle a dû rassembler tout son courage, de nature plutôt timide elle n’est jamais très diserte. Mais comme la demande venait d’elle, Fabrice lui avait imposé que ce soit elle qui m’en parle. « Voilà Brian, tu es le meilleur ami de Fabrice, je te trouve plutôt mignon et j’ai envie d’un plan à trois. Je voudrais que tu sois celui qui partagera nos jeux. Qu’est-ce que tu en dis ? ». Je n’en ai pas dit grand-chose sur le coup, il a d’abord fallu que j’arrête de tousser après ma fausse route, et avec du vin blanc, c’est vraiment désagréable. Une fois mes larmes séchées et ma dignité à peu près rétablie, je n’ai pas eu le temps d’acquiescer, Noura ma foutu la main au paquet et me l’a malaxé sans ménagement.

Fabrice s’est levé et est venu me toper dans la main « Bienvenu au club mon Brian ! » et il s’est déshabillé pendant que Noura mettait ma petite affaire à l’air libre. La sarabande buccale qui s’en est suivie, je ne suis pas près de l’oublier. Fabrice avait déjà vanté les qualités de suceuse de sa compagne mais il était en dessous de la vérité. Il a fallu toute ma maîtrise pour ne pas me laisser aller aussi rapidement. Après tout, le repas était fini mais pour ce qui était de la gaudriole nous n’en étions qu’aux amuse-bouche.

Mon ami est venu nous rejoindre, la bite au garde-à-vous, il s’est collé à moi et Noura a eu double dose de chibre à sucer. Elle branlait un manche tout en suçant l’autre puis inversait les rôles avant d’emboucher les deux glands siamois entre ses lèvres ourlées. « Fabrice ne m’a pas menti, tu es aussi bien monté que lui voire plus encore ! » a réussi à ânonner Noura et elle nous a sucés de plus belle. Mais elle a vite eu envie qu’on en vienne aux choses sérieuses, elle s’est allongée dans le canapé et Fabrice m’a invité d’un geste de la main « Honneur aux invités mon vieux ! ».

Noura n’avait pas froid aux yeux, elle a écarté ses cuisses et ses fesses, à plat dos, pour l’offrir une vue imprenable sur toute sa féminité. Je me suis mis à la lui lécher sa belle fente épilée du matin même visiblement. Elle m’a attrapé par les cheveux, elle se débattait, criait, une furie, guidant ma tête de son con qui exultait à son gros clito gonflé pour mieux m’obliger ensuite à glisser plus bas et à lui enfoncer ma langue dans le fion ! Je dois avouer que je n’avais jamais connu de maghrébine avant, quel tsunami que ces femmes ! Elle n’avait aucun tabou, aucune limite et nous regardait à tour de rôle en nous disant que nous allions pouvoir la baiser de partout, qu’elle voulait qu’on la baise, qu’on la défonce « à mort » !

Finalement, nous n’avons pas été trop de deux pour venir à bout de cette tigresse. Ces « préliminaires » buccaux, qui tenait plus de la joute de chevalerie, terminés, elle a décidé que nous devions continuer dans la chambre.

Une chaudasse déterminée

Le ping-pong a repris, elle suçait Fabrice tandis que je la prenais, allongée sur le ventre puis elle se retournait et venait laper ma hampe et mon fruit tout recouvert de ses sécrétions intimes pendant que son compagnon la baisait en faisant s’ébranler le sommier tant il y allait de bon cœur.

A la dernière volte-face, ou volte-cul, je ne sais qu’employer comme expression, elle a dirigé elle-même mon gros pieu vers son orifice anal. Sa petite étoile s’est dilatée jusqu’à devenir un cercle parfait, elle m’a accueilli au plus profond de ses entrailles sans broncher. Incroyable ! Je n’osais pas bouger de peur de lui faire mal, mais Fabrice m’a dit que je pouvais y aller franchement, que Noura adorait ça. Message reçu. J’ai enculé cette superbe jeune femme, regardant parfois mon gland sortir de son trou élargi, parfois mon pote en train de se faire sucer ou bien encore les seins de Noura qui bringuebalaient en tous sens sous mes coups de reins déchainés.

Un regard de notre amante partagée a suffi, Fabrice s’est glissé sous son corps tout en courbes et en déliés, une petite main basanée a fait son apparition et l’instant d’après Noura avait nos deux queues en elle. Ma première double pénétration !

Je sentais les couilles de mon ami frotter contre les miennes, contrairement à mon appréhension, ce contact masculin plus qu’intime m’a excité encore plus. La caresse due à l’alternance de nos coups de queues était douce, et je sentais la chaleur que dégageaient nos pieux coulissant dans leur orifice respectif. Noura nous a proposé de changer de position et de trou à l’envie. Mais elle a préféré, in fine, me garder pour son petit trou et Fabrice dans sa chatte. Je ne sais combien de temps nous avons joué à la bête à… trois dos, je ne sais combien d’orgasmes nous lui avons arrachés. Elle était en sueur, nous aussi, la fatigue commençait à poindre et une baisse de régime était inéluctable.

En partenaire sexuelle expérimentée, Noura s’est alors dégagée de notre double étreinte et s’est caressée devant nous, réclamant notre foutre à tous deux. Elle s’est presque fisté le cul, son vagin, lui, acceptait sa main entière sans aucune difficulté. Léchant nos bourses et suçant de nouveau nos bites rougies par la friction. C’est Fabrice qui est venu en premier. J’ai vu les premières gouttes blanchâtres perler à son méat puis une succession de paquets de grumeaux épais que Noura s’est empressé de goûter. Cela a duré longtemps, l’orgasme de mon ami était beau à voir et a déclenché le mien.

J’ai des éjaculations plus spectaculaires, d’abord un petit jet de rien, je sens alors les chatouilles caractéristiques le long de ma hampe, ça descend jusque dans les testicules et là, ça fuse. Loin et fort, un foutre liquide et abondant, Noura a fermé les yeux et je lui en ai foutu partout, de son menton à ses cheveux. Nous nous sommes endormis tous les trois ensemble, nos corps maculés de cyprine, de sperme et de nos baisers délicieux.

Depuis nous jouons en trio au moins une fois par semaine et Noura a demandé à Fabrice, pour son anniversaire, un gang-bang suivi d’un bukkake. Je crois que je ne suis pas au bout de mes surprises avec ces deux-là !

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