La foutreuse

La rédaction 16 décembre 2022

Je m’appelle Olivier, j’ai 30 ans et je suis enseignant dans une école qui forme les futurs profs de sport. Dans la promo que j’ai suivie l’année dernière, j’avais beaucoup de filles. Des jeunes femmes très sportives et motivées, qui avaient de l’énergie à revendre. Elles avaient entre 18 et 24 ans, et j’étais heureux d’encadrer ces élèves prometteuses qui se donnaient à fond dans l’apprentissage de leur futur métier. Mais voilà, ça n’a pas raté, au fil du temps, je suis tombé amoureux d’une étudiante. Elle s’appelait Tania, elle avait 20 ans et elle semblait tout faire pour que je la remarque. Voici mon histoire porno.

Elle me faisait de l’oeil

Je me pinçais pour me demander si c’était bien à moi qu’elle faisait des signaux. Tania est une belle brune extrêmement douée en foot. Elle porte un maillot et un short qui moulent toujours parfaitement son corps svelte et musclé. Ses cheveux courts à la garçonne, entourent son visage à la peau mate. J’ai remarqué que je devais sûrement lui plaire aussi quand elle s’est mise à jouer systématiquement sous mes yeux, même quand cela l’éloignait de son objectif de marquer un but. Elle traînait après les cours pour discuter avec moi et plantait souvent son regard dans le mien en me souriant. Mais je n’osais rien faire, paralysé à l’idée de me tromper sur mon ressenti et de faire une erreur. Alors, elle a pris les devants. 

Un soir, Tania m’a coincé dans le couloir du gymnase. Tout le monde était parti à la hâte car c’était le week-end. J’étais avec mon sac en bandoulière sur l’épaule, en train de me diriger vers la sortie quand Tania m’a barré le chemin. Ses grands yeux noirs m’ont fixé sous les mèches de cheveux courts. « Tu fais quoi ce week-end ? ». Elle a engagé la conversation sans cesser de me fixer. J’étais intimidé par son assurance, mais je ne m’attendais pas à la soudaine accélération des choses quand elle m’a dit : « Tu me plais, t’as pas remarqué comment je te mate ? ».

J’étais glacé et plein d’une douce chaleur à la fois. « Je ne te plais pas moi ? », a-t-elle encore demandé avec provocation. « Si », ai-je admis. Elle a souri et m’a demandé si elle pouvait m’embrasser. Son audace était très excitante. J’ai ouvert mes bras pour toute réponse et elle est venue se réfugier à l’intérieur pour poser ses jeunes lèvres, fraîches de l’air du stade, sur les miennes. C’est elle ensuite qui nous a guidés dans le vestiaire et s’est mise à me rouler des pelles. Son désir débordait de nos corps. Je tremblais, n’osant réaliser la réalité de cette scène que j’avais fantasmée pendant des mois. Elle a retiré sa doudoune bleue et son maillot de foot, laissant voir ses seins soutenus par une brassière de sport noire qui lui moulait parfaitement la poitrine et mettait sa peau hâlée en valeur. 

Provocante et excitante

Elle a aussi enlevé son jogging d’après entraînement, dévoilant sa culotte, également noire. Puis elle m’a escaladé pour se retrouver à califourchon sur moi et m’embrasser de plus belle. Ses seins, son ventre et son entrejambe se frottaient à mon propre corps encore habillé. Là, Tania s’est mise à quatre pattes pour baisser mon propre jogging et a sorti ma bite déjà très tendue. Puis elle s’est mise à me sucer avec une envie et un désir incroyables, enthousiastes. Mon sexe sursautait de joie sous tant d’attentions. Elle l’embrassait, la léchait et la suçait amoureusement.

Quand j’ai été au bord de la jouissance, je l’ai arrêtée pour l’attirer à moi à nouveau. J’ai retiré mon tee-shirt pour me retrouver peau contre peau avec elle. Je l’ai invitée à s’asseoir sur le banc à ma place pour lui rendre la politesse. Je me suis accroupi à hauteur de son sexe couvert d’une pilosité noire et bouclée, avec une fente ouverte et mouillée, des petites lèvres apparentes. J’ai plongé avec délice dans sa toison pour goûter ce nectar délicat, en lécher l’entrée, le petit bouton et les lèvres. Elle gémissait en caressant mes cheveux. Son plaisir exprimé à voix haute m’enivrait. J’ai accéléré mes coups de langue sur son sexe et j’ai senti ses cuisses se raidir. Elle ne m’a pas dit d’arrêter, mais a gémi des « encore, encore » de plus en plus sonores. Son laisser-aller était très sexy. Alors j’ai continué. Jusqu’à ce qu’elle se torde de plaisir sous l’orgasme déclenché par mon cunni. 

Quand elle a eu fini, elle s’est tournée et m’a demandé de la prendre par-derrière, les deux genoux sur le banc de bois, face au mur. Elle aimait se faire prendre dans cette position quand elle avait joui, pour des sensations plus profondes. Je voyais sa fente et son cul offerts, son dos lisse et doux. Je suis entré dans sa minette frémissante, à la fois étroite et glissante. Les sensations étaient intenses. Son cul ferme et marqué de traces de bronzage bougeait sous mes coups de bite. J’étais tellement excité que j’ai joui très vite dans la capote que j’avais enfilée in extremis. Elle a crié en même temps que moi pendant que je déchargeais en l’attrapant par les hanches et en la sautant fermement. C’était une très belle baise, grâce à son attitude provocante assumée.

Ensuite, nous avons recommencé quelques fois nos petits jeux et avons eu une aventure de quelques mois, jusqu’à la fin de ses études. Parfois, je me demande si elle tombera un jour amoureuse d’un élève à son tour.

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