J’ai bouffé deux chattes

Paule 27 janvier 2024

Thomas et sa femme aiment le sexe, elle surprend son mari s’ébranler avec une vidéo pornographique mais je n’ai jamais avoué que j’aime les femmes.

Cocu, mais content !

Avec Thomas, mon mari, nous adorons le sexe, nous baisons tous les jours. Malgré cela, je l’ai surpris plusieurs fois, la queue à la main en train de s’astiquer sur une vidéo porno, toujours la même, deux filles se gouinant. J’ai moi aussi été attirée par les femmes, mais je n’ai jamais concrétisé. Voici mon histoire de sexe.

Je devais aller en province pour la grand-messe de ma boîte. Nous nous sommes retrouvées à deux par chambre, je partageais la mienne avec Iris, une blonde, belle comme une déesse nordique avec un corps sublime.

La première soirée a été bien arrosée et nous nous sommes embrassées sur la piste de danse, la suite a été naturelle, nous avons couché ensemble, elle m’a fait découvrir l’étendue des jouissances que deux filles pouvaient se donner tout en se passant allègrement d’un pénis.

L’idée est née le lendemain, j’ai demandé à une amie si elle voulait bien se joindre à nous pour faire de jolies photos, elle a accepté avec un petit sourire coquin, visiblement la demoiselle était aussi versée sur les plaisirs lesbiens !

Exploration sensuelle

Nous avons “emprunté” une bouteille de champagne au bar de l’hôtel et notre trio s’est retrouvé dans une mise en scène improbable, j’avoue qu’il m’a fallu quelques coupes pour me détendre, mais anticiper l’excitation de mon mari lorsqu’il verrait les clichés de nos agapes m’a finalement libérée.

Allongées sur des plaids, nous nous sommes roulées l’une sur l’autre, enlacées presque amoureusement, j’ai senti des mains parcourir mon corps, à la recherche de tous mes points névralgiques, très vite elles ont débusqué mes seins, mes fesses et ma chatte. J’étais déjà trempée, je le flairais rien qu’aux pulpes qui glissaient toutes seules sur la fente, je suis, à mon tour, partie en exploration sensuelle, je reconnais qu’une bonne grosse queue est un réel délice à branler pour moi, mais trouver un sillon tout lisse et gorgé de mouille, un anus glabre et pouvoir y faire pénétrer ses doigts en entendant couiner son amante, c’est un trip unique.

Rapidement nous avons basculé en soixante-neuf, écartant bien nos cuisses afin que notre photographe puisse capter nos attitudes, nos grimaces de plaisir et surtout, nos langues déliées sur le joli con de l’autre.

Perversion féminine

Iris a un art subtil du cunnilingus, mon homme est doué, tant s’en faut, mais il y avait un plus certain. Une façon très cochonne finalement d’enfouir sa tête et de fouiller mon intimité de partout, sans aucune gêne pour aller farfouiller du côté de mon petit trou, introduisant ses phalanges fines en bouquet dans ma chatte, mais aussi dans mon cul. Elle m’ouvrait avec une facilité déconcertante et j’adorais ces jeux sensuels nimbés de perversion féminine. Nous nous sommes dégustées mutuellement, la pièce a vite été saturée du parfum de nos deux désirs mélangés, cocktail bientôt relevé par les fragrances vaginales de notre “reporter” pas tout à fait sans frontière, mais clairement sans culotte en train de se branler tout en nous shootant. (Nous nous sommes occupées d’elle après.)

Mais il est compliqué de se concentrer en léchant tout en étant lapée en même temps, nous avons donc opté pour la stratégie du “chacune son tour”. C’est moi qui ai ouvert le bal, les longs ciseaux de ma blonde experte se sont retrouvés presqu’en grand écart, sa moule inondée bâillait d’attentes, sans peur d’être jugée, elle se donnait à moi. Je me suis penchée sur cette fleur charnue et j’ai aspiré les fins bourrelets gonflés. C’était juteux et délicieusement marin, ça coulait sur ma langue, encore plus quand je suis venue laper le gros clitoris très sensible d’Iris. Elle couinait avec une voix bien plus aiguë que lorsqu’elle parlait, j’ai compris que j’étais sur le bon chemin. J’ai accentué mes vibratos et je lui ai planté quatre doigts dans le vagin, elle a décollé direct. Je crois que même les papillons tatoués dans mon dos ont frétillé !

Cela a ensuite été mon tour, j’ai pris une pose identique, et Iris est venue entre mes cuisses pour me lécher intégralement. Elle m’écartait le cul, débusquant mon puits de derrière, j’ai eu le droit à un anilinctus dans les règles avant qu’elle ne me branle les deux orifices. Et là, il n’y a pas photo, rythme, profondeur, elle devait ressentir dans sa propre intimité ce que je vivais, c’était parfait, tant et si bien que j’ai eu deux orgasmes coup sur coup.

Le reste de la nuit s’est déroulé à trois, pour une première, j’ai quand même bouffé deux chattes et je vous raconterai une fois prochaine la réaction de Thomas lorsqu’il a reçu les clichés !

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Paule


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