Ma femme est un cadeau
11 décembre 2023Benjamin n’a plus d’activité sexuelle avec sa femme. Lorsqu’il découvre que celle-ci discute avec d’autres, Benjamin décide d’offrir sa femme en cadeau !
C’est arrivé un peu par hasard. Je dis un peu, car nous en parlions depuis quelque temps avec Corine, mon épouse. Après vingt-cinq ans de mariage, le sexe entre nous avait perdu de sa saveur. De mon côté je me contentais d’une masturbation libératoire de temps en temps. Mais bientôt j’ai senti que Corine ne partageait pas ce dont je me satisfaisais.
Elle a commencé à s’habiller différemment, plus sexy, faisant un régime et se remettant au sport. Évidemment j’ai remarqué ses longues heures sur son téléphone portable, ses pouces pianotant, le rouge aux joues. Plutôt soumis et en retrait, j’ai trouvé les ressources pour lui parler et lui demander ce qu’il y avait.
Je m’appelle Benjamin et voici mon histoire de sexe !
Des sextos et bien plus encore
Que n’ai-je été surpris d’apprendre qu’elle échangeait textes érotiques et photos de son intimité avec plusieurs de mes amis ? Elle n’avait jamais couché avec eux, mais le désir était là. Après une nuit blanche de discussion et de baise ardente, nous avons pris une décision. A priori, lourde de conséquences, mais qui a reboosté notre couple. Une fois tous les quinze jours environ, nous inviterions une de nos connaissances et ma femme s’offrirait à elle ! Devant moi. Avec participation ou pas.
Doucement, nous avons dressé un joli petit catalogue de nos perversions. Les albums photos cochons garnissent les étagères de notre chambre. Il suffit que nous en ouvrions un pour avoir immédiatement envie de baiser, tout en nous remémorant les détails crus partagés alors.
Comme quand Corine a sucé notre premier ami, à peine la porte palière refermée. Je me souviens du regard gêné de l’heureux élu et son membre qui a eu du mal à gagner toute son ampleur. Il faut dire que ce n’est pas tous les jours qu’on se voit offrir une fellation par l’épouse d’un pote … qui la mate faire en se branlant.
Cette première queue est emblématique pour nous ! C’est la première que ma femme a sucée puis qu’elle s’est enfilée par tous les trous ! Ma compagne adore la sodomie et ne s’est pas gênée pour l’affirmer haut et fort à tous ses amants.
Une fois, puis deux…
Le scénario est très souvent le même. Corine pompe notre invité à genoux dans l’entrée. Elle apprécie ce passage initiatique dans le vestibule, puis nous gagnons soit le salon, soit la chambre. Moi je prends les photos souvenirs tout en me tripotant gentiment. Quelquefois Corine nous suce de concert, elle aime de plus en plus ces « bi-pipes » comme elle les appelle. Néanmoins, le plus souvent, je reste simple spectateur. La voir se faire enfiler, baiser, défoncer par nos amis me met en transe et je sais que mon tour viendra au départ de ce dernier.
Avec le temps, nos camarades de jeu ont passé des tests et ont pu ôter leurs préservatifs. Ce qui m’a valu quelques expériences inédites comme prendre ma femme en m’enfonçant dans la semence de l’un ou l’autre. Sentir ces crèmes onctueuses lubrifier mon engin a été une révélation. Ma conjointe m’a aussi obligé bien des fois à la « nettoyer » des traces laissées par mes prédécesseurs avant que de la posséder.
Elle a fini par préparer des « menus » à l’adresse de nos hôtes.
« Levrette, amazone, pipe normale, royale (en éjaculant dans sa bouche), impériale (avec déglutition du sperme), branlette espagnole, cravate de notaire, anulingus, pénétration vaginale, anale … ».
Le choix se faisait à l’avance et elle s’apprêtait en fonction des options retenues. Lavement avant les épisodes rectaux, pose ou non d’un plug, décidant du diamètre correspondant à l’appendice qu’elle recevrait au fond du cul le soir même.
Un photographe porno
J’ai acheté du matériel photo de qualité de mon côté et je me régale à assister à ces formidables moments de fornication. Du sexe brut, du plaisir à l’état pur.
Corine s’offre sans compter, surtout lorsque l’amant est nouveau. Là elle devient vraiment une chienne sublime. Elle vaut faire montre de tous ses talents, elle est la reine des gorges profondes. Quelque soit les dimensions du chibre qu’elle avale, et tous les « gros calibres » sont estomaqués par la capacité d’accueil de son anus. Souple et réactif, il s’ouvre, quel que soit le diamètre de la pine qui la bourre jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir.
La plupart du temps encore, c’est moi qui « prépare » ma cocufieuse. Tel un rituel, sa chatte avec un gode en verre, devant l’invité assis, nu et bandant, son cul avec un chapelet aux billes de plus en plus volumineuses. Observer l’impétrant, se branler doucement accroît la température. Corine mouille comme la belle salope qu’elle est et quand elle est enfin éveillée de partout. C’est très souvent moi qui saisis le chibre « clandestin » et qui le guide dans l’orifice de son choix.
J’adopte alors des postures insensées, je me contorsionne pour voir le piston en action. Je bande, je me caresse la hampe, je me concentre pour prendre des photos, je m’effleure de nouveau.
Un photographe acteur
Il arrive que Corine me suce alors qu’elle se fait démonter en levrette, à de rares occasions c’est moi qui baise ma femme tandis qu’elle lèche le trou du cul de Pierre, Paul ou Jacques.
Tantôt nous tombons sur un adepte de la stimulation prostatique, nous avons donc acheté des jouets dédiés, mais Corinne préfère plus que tout le « travail manuel » ! Elle a un doigté magique qui décuple les éjaculations ! Combien de fois j’ai reçu des jets de foutres sur l’objectif ou carrément sur mon visage ou mon torse.
Ce vendredi nous inaugurons une nouvelle formule, ce n’est pas un, mais trois amants que nous invitons, Corine va assouvir un de ses vieux fantasmes : une douche de sperme.
(source image à la une : Shutterstock)
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