Le loup… de mer !
27 janvier 2022Pierre-Jean un marin de 68 ans se souvient de son amour de jeunesse. Une histoire de sexe avec une belle blonde envouteuse aux allures de sirène !
J’ai toujours été du genre rebelle. Je m’appelle Pierre-Jean et voici mon histoire de sexe. Je viens d’une famille dans le genre très aisée, connue en Bretagne. Mes parents étaient notaires, mais moi, jeune con, dans les années 70, j’avais décidé de faire tout le contraire de ce à quoi ils me destinaient. Ils voulaient que je sois médecin ou comptable, que je me marie tôt à une fille de bonne famille et que j’ai au moins six enfants.
J’ai été marin toute ma vie ! J’ai enchaîné les femmes comme j’ai changé de culottes et je n’ai aucun mioche à déclarer, du moins à ma connaissance.
La belle du lycée
En réalité, il y a une femme qui aurait pu un jour, me faire changer d’avis. Mais elle a préféré à ma place me briser le cœur.
C’était au lycée, je venais d’avoir dix-huit ans. Elle était dans la même école que moi, dans ma classe plus précisément, et tous les mecs en étaient raides dingues. Elle avait de longs cheveux blonds. Elle s’habillait toujours très proprement, avec de longues robes qui lui descendaient jusqu’à la cheville et des chemises fraîchement repassées.
C’est moi qu’elle a choisi comme premier petit copain et c’est moi qui l’ai « déviergée ». J’avais déjà « vu le loup » avec quelques filles de passage, mais je voulais que pour elle, tout soit exceptionnel. Pour l’occasion, j’avais rangé ma chambre de fond en comble. J’avais changé les draps de mon lit une place pour qu’ils sentent le frais. J’avais caché mes peluches et mes jouets d’enfant sous mon lit et dans les armoires.
J’étais prêt à l’accueillir dans une chambre que je voulais « mature ». Elle est arrivée les joues rouges et le sourire aux lèvres, enchantée de découvrir mon petit cocon. Je la trouvais superbe.
Hissez la grand’voile
J’étais tellement stressé que j’en devenais maladroit. Je l’ai alors embrassé et lentement caressé pour meubler nos longs silences, pesants et puérils. Je me souviens que tout a pris du temps, retirer sa robe, retirer mon polo, caresser ses cheveux, poser ma tête sur son épaule, poser ma main sur son petit ventre.
Je lui ai fait un cunnilingus bien barbouillé, car je savais que les filles aimaient ça et que c’était la meilleure façon de préparer le terrain pour ne pas que « ça lui fasse mal ». Mon grand-frère m’avait donné ce conseil et je l’appliquais scrupuleusement, à la lettre. Elle a adoré que ma langue s’occupe de son petit abricot.
Elle se tortillait dans tous les sens, comme un joli petit ver de terre. Puis, la sentant réceptive et assez ouverte, je lui ai enfoncé ma queue, qui ne bandait pas bien fort. Mais assez tout de même pour lui arracher un petit « ah » et un petit « oh ». Elle ne faisait pas beaucoup d’autres bruits, que des petites onomatopées, presque silencieuses. Avec le temps, j’ai appris que les vierges ne se reconnaissent pas à l’hymen mais au bruit au lit. C’est toujours poli et calme, la première fois. Elles ne savent pas encore dans quelle tempête, le sexe peut leur faire perdre pied.
Trahison familiale
Je crois qu’elle a saigné, un tout petit peu. Mais rien de grave, rien qui ne tâche définitivement les draps.
J’ai lavé à la main et c’est vite parti, si bien que ma mère ne s’est doutée de rien. Je n’ai pas éjaculé, c’était trop compliqué, j’étais trop nerveux et je débandais facilement. Mais je me souviens que ce moment est un des plus tendre que j’ai connu dans ma vie, sexuellement parlant. Et que cela ne m’a pas empêché de longtemps la caresser après notre partie de jambes en l’air, les épaules, les hanches et ses cuisses menues.
Imaginez ma douleur quand j’ai appris, quinze jours plus tard, qu’elle avait tapé dans l’œil de mon frère. Ils avaient baisés ensemble, en cachette, dans le jardin alors que je l’avais invitée. Aujourd’hui, ces deux-là se sont mariés, je ne suis jamais allé à leur mariage et j’ai coupé tous les ponts (ou presque) avec ma famille. Vous comprenez, maintenant, pourquoi je suis devenu marin ?
La mer, elle, au moins, m’est restée fidèle toute ma vie…
(Source image à la une : Shutterstock)
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