Mes vacances à Berk avec la belle Gironde

Paule 20 décembre 2023

Maxime, 32 ans fait la rencontre de Johanna, une fille gironde avec qui leur histoire de sexe à tout de suite pris une autre tournure.

Au Nord, y avait les corps ronds …

Mes vacances à Berk il y a de cela six ans ! J’avais gagné un séjour qui proposait du tir à l’arc, pour, à la finale, me retrouver sans, le moniteur s’étant blessé en char à voile ! Je me suis donc rabattu sur un cours de cuisine, rien à voir. Ce dernier était animé par Johana, une fille gironde qui ne m’a fait ni chaud, ni froid … au début. Et puis ses yeux verts qui me fixaient souvent, ses décolletés dévoilant des seins “montgolfiéresques” et ses allusions sexuelles quand elle parlait des chicons ou autres fricadelles m’ont décidé à pousser mes investigations. Un soir je l’ai invitée à boire une bière au bar, puis une seconde dans ma chambre, nous n’avons pas eu le loisir d’en déguster une troisième ! Voici mon histoire de sexe.

Je suis resté interdit lorsqu’elle s’est dénudée devant moi, son corps était tout en volutes, mais les chairs étaient fermes, ses nibards auraient gagné haut la main tous les concours de tee-shirts mouillés et surtout, elle n’a pas tourné les talons quand j’ai exhibé mon mastard. Ma queue est au-dessus de la moyenne, on va dire. Cela ne l’a pas fait reculer, au contraire, elle a passé sa langue sur ses lèvres, histoire de lubrifier la porte d’entrée et elle est venue titiller ma tige du bout de son appendice.

J’ai sorti mon portable, elle n’a pas renâclé, elle m’a même encouragé d’un sourire avant de faire lentement disparaître ma hampe au plus loin d’elle. Cette fille n’avait pas une gorge, c’était un étui de satin ou de velours, je sentais le chemin s’ouvrir au fur et à mesure qu’elle invitait mon gland à pousser son exploration toujours plus à fond. Je lui ai demandé si je pouvais la prendre en photo, elle m’a répondu que oui en gémissant et s’exhibant encore un peu plus.

Ma première pénétration

Ce soir-là, elle m’a taillé la meilleure pipe de ma vie,longue, en me fixant bien dans les yeux, alternant de petits coups de langues sous et autour de mon bout rose, de grandes léchouilles sous ma barre, des mouvements de branle en décalottant à chaque fois totalement mon prépuce très garni. Elle jouait avec ce dernier, le mâchouillant presque, gobant mes grosses couilles, elle salivait à mort et venait plaquer mon gland contre l’intérieur de sa joue en la déformant un maximum avant de me libérer dans un bruit de bouchon de champagne qui saute.

Elle était à mes pieds et s’est enfin relevée pour m’offrir sa croupe, un paquebot large, mais harmonieux, une plaine diaphane qui s’ouvrait sur un canyon crayeux duquel ressortait un puits sombre et une crevasse fuchsia sans la trace du moindre poil. J’ai pris quelques photos de cette merveille stéatopyge ainsi à la disposition de mon bon plaisir puis,saisissant ma queue, je me suis engouffré dans le moelleux d’une chatte que j’ai eu la surprise de découvrir excessivement petite et serrée. Un véritable cocon qui épousait la plus fine aspérité de mon membre viril.

J’ai poussé doucement, étant donnée la longueur de mon appendice pénien l’intromission doit s’accompagner de quelques précautions lors de la première pénétration. Johana a très bien réagi, son vagin s’est adapté à la situation et je me suis très vite retrouvé enfoncé jusqu’aux couilles. Son cul, large et bien plein ne demandait qu’à être cajolé, je m’en suis occupé à ma manière, avec de grandes fessées bien claquées. Cela a déclenché chez mon amante une montée de désir, une abondance de mouille incroyable et des cris d’une lubricité insondable !

Je lui ai bourriné l’arrière-train avec de plus en plus d’énergie et de férocité, ça clapotait en bas, ça rougissait en haut, son corps était secoué par mes coups de boutoir, elle n’a même pas eu besoin de se toucher la cramouille pour décoller, c’est parti d’un coup, sans qu’elle ne prévienne. Un interminable cri strident, une main qui accroche mes bourses et ses muscles se sont raidis, ses cuisses ont tremblé, elle prenait son pied, mon braquemart toujours planté au fond de son con.

J’ai joué le tout pour le tout, je suis plutôt du genre peine à jouir, du coup, j’ai fait une tentative par la porte de derrière, aucun souci. Je ne sais pas pourquoi, mais cela est souvent le cas avec les femmes girondes, elles aiment l’anal. Malgré mon morceau, j’ai pu enculer Johana à mort, elle a adoré cette sodomie qui lui a bien dilaté le petit trou. Elle n’a pas orgasmé, mais a senti que moi je venais. Elle m’a caressé les testicules avec beaucoup de douceur et quand je lui ai annoncé que j’allais balancer la purée, elle m’a crié de me retenir. Elle s’est dégagée de mon étreinte et s’est remise à genoux pour me pomper encore plus fort qu’au début, j’ai repris mon portable et j’ai tout déchargé dans sa bouche, elle n’en a pas perdu une goutte !

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