Un binôme performant

La rédaction 31 juillet 2021

Le mois dernier, j’ai découvert de nouveaux plaisirs en compagnie d’un garçon plus que craquant. Je m’appelle Anne, j’ai 21 ans et laissez moi vous partager mon histoire porno.

Le sujet de l’exposé

Je suis en deuxième année de sociologie et les cours m’intéressent pas mal, surtout ma nouvelle option « sociologie du corps humain ». Dès la rentrée, on a dû choisir un binôme et un sujet d’exposé. J’ai pris « Représentation de la femme dans la presse magazine » et je me suis mise en équipe avec Arthur. Mon binôme était à mon goût : châtain clair, bien fait, avec des yeux bleus profonds qui lui donnaient un air sexy et mystérieux. Alors quand à notre troisième séance de cours, il m’a proposé de venir travailler chez lui, j’ai tout de suite dit oui.

Arthur vivait chez son père, un artiste-peintre apparemment assez connu. Leur maison était démesurée et remplie de vieux meubles et de tableaux immenses… la plupart représentant des femmes nues dans des poses très suggestives. C’est donc un peu gênée que je me suis installée dans le canapé du salon. Voyant ma tête, Arthur a expliqué : « Mon père adore les femmes et il peint toutes ses maîtresses. Ce n’est sans doute pas pour rien que je m’intéresse aussi au corps féminin et à l’érotisme… »

Troublée, j’ai levé les yeux vers lui : il souriait finement, comme s’il voulait tester ma réaction. Par provocation, j’ai lancé : « Ah oui, toi aussi tu adores les femmes ? ». Il s’est assis près de moi et a murmuré : « Seulement celles qui sont intelligentes et ouvertes ». J’ai rougi sous le compliment. J’étais donc intelligente, selon lui, mais ouverte ? Il n’a pas tardé à me tester sur le sujet…

« Mon père a pas mal de magazines qui pourraient nous servir pour l’exposé. Ne bouge pas, je vais les chercher ». Il a disparu pour revenir une minute après, un lourd carton dans les bras. Là, je suis carrément passée du rouge à l’écarlate : le carton regorgeait de vieilles revues plus chaudes les unes que les autres. Photos de poitrines énormes, créatures aux cuisses ouvertes, sexes en gros plans… Arthur a attrapé un des journaux et l’a posé sur mes genoux. « Celui-là, c’est mon préféré. Tu aimes ? »

Subjuguée par la couverture (une belle blonde qui ouvrait grand la bouche, laissant voir sa langue gourmande), j’ai tourné les pages. Partout, des filles qui léchaient, branlaient, suçaient d’énormes bites en érection, avec de l’envie plein les yeux. J’ai senti des picotements entre mes cuisses. Arthur s’était rapproché, son souffle réchauffant ma nuque. « Ce qui est dommage, c’est qu’il n’y a pas de photos du meilleur moment, quand le jus coule dans leur gorge »

Vidange de qualité

J’étais comme hypnotisée et c’est sans un mot que j’ai vu Arthur sortir sa queue de son pantalon. Très grosse à la base, bien rose au bout, elle perlait déjà de désir. J’ai senti Arthur soulever mon t-shirt et déboutonner mon jean. Comme dans un songe, je l’ai aidé à me déshabiller et nous nous somme retrouvés nus, sous le regard des modèles de son père, les magazines étalés autour de nous. Arthur a passé sa main sur ma nuque et a guidé ma tête vers sa queue.

En temps normal, je n’aurais pas accepté qu’un garçon se comporte ainsi, mais sa bite m’a d’un coup semblé être la chose la plus appétissante qui soit. J’ai tiré la langue et recueilli le liquide qui suintait de son bout. C’était chaud et salé. Mes lèvres se sont ouvertes et j’ai commencé à téter délicatement son gland. Il a basculé en arrière avec un soupir de plaisir.

Arthur était à moi et je ne voulais qu’une chose : lui donner le plus de plaisir possible. J’ai léché mes doigts, que j’ai ensuite posés sur ses couilles soyeuses. J’ai massé délicatement, allant jusqu’à titiller la zone juste avant l’anus. Les soupirs se sont faits de plus en plus profonds, me faisant perdre toute réserve. J’ai avalé la bite d’Arthur d’un coup. Sans façon, il m’a saisie par les cheveux et s’est mis à donner le rythme, me faisant coulisser plus ou moins loin sur son dard. Je sentais ma chatte chauffer, mes seins durcir, frottant sur ses cuisses quand lui venait l’envie de m’empaler carrément sur sa grosse queue.

J’ai glissé un doigt dans ma culotte : elle était trempée. Gémissant de plaisir, j’ai caressé mon clitoris, branlant et suçant toujours mon amantIl était plus dur que jamais et j’ai compris qu’il était au bord de jouir quand sa voix s’est élevée, sa main pressant toujours ma tête: « Suce, vas-y suce à fond ». Pas de doute, il allait falloir avaler… J’ai pompé tout ce que je pouvais, le nez collé à son bas-ventre, prête à tout recevoir. Arthur a poussé un cri rauque et a lâché deux grosses giclées. Un goût âcre m’a rempli la bouche. J’ai relevé la tête et regardé Arthur droit dans les yeux, avant d’avaler son foutre gluant en plusieurs petites gorgées.

Depuis ce jour, je suis déjà retournée trois fois chez mon camarade de classe. L’exposé n’avance pas vraiment, mais par contre, il m’a confié « ne jamais avoir été aussi bien vidangé ».

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