Ôde à ta bite !

La rédaction 2 septembre 2024

Iris, 37 ans de Lorient partage dans cette histoire de sexe son amour pour l’organe de son compagnon.

À toi mon amour, à toi, à tes mains, à ta langue, à tes œillades de désir et à ta bite, je veux dire merci et surtout combien je t’aime, combien je vous aime ! Avec toi, j’aime partager des histoires de sexe. Le sexe est tellement bon avec toi, tellement novateur à chacune de nos danses, tellement jouissif que j’ai l’impression que tu te démultiplies lorsque tu me baises.

C’est toujours un premier regard qui engage mon corps à te rejoindre, tu peux être nu ou habillé, je sais où trouver tes sources de plaisir. Je palpe ton membre, gros, fort, imposant dans ma main menue, je soupèse tes burnes, je hume cet engin terrible. Au fur et à mesure de mes caresses, la bête se remplit de sang.

Vient alors le temps de l’hommage buccal à mon dieu Priape. Que ta bite est dure à avaler pour ma petite bouche, je m’écartèle, le gland libère son miellat divin dans ma gorge, j’enroule consciencieusement ma langue autour, tu soupires, m’indiquant que je suis sur le bon chemin. Je saisis la base de ta hampe et branle ta colonne sur ce rythme lent que tu affectionnes tout particulièrement. Le tronc de chair que je masturbe se pare de veines saillantes, signe que ton excitation est au rendez-vous. J’ai l’impression que ta fraise fond tel un fruit mûr au fur et à mesure que je te suce, tes sucs coulent comme un élixir aphrodisiaque.

Je t’offre tous mes trous

Alors, comme une apôtre désincarnée, moi, si prude et si remplie de complexes, je m’offre pleinement à toi. Mon corps se libère de ses tragiques questionnements et s’expose aussi impudiquement que tu le désires. Je lis soudain dans tes yeux un mélange de fierté, de passion et de gourmandise tout à la fois. Je me laisse guider par ta voix, telle une brebis suivant son berger aveuglément, j’attends tes ordres.

Écarter mes cuisses, relever mes jambes, m’exhiber totalement jusqu’à t’offrir mes deux orifices ouverts et déjà mouillés de volupté ; m’allonger sur le ventre et cambrer mes reins afin de faire saillir mon fessier et entrebâiller ma raie pour introduire en moi le jouet que tu auras choisi. Cette fois-là tu avais déterminé un enjeu supplémentaire, me prendre en photo. Il m’a donc fallu poser, rouge de honte et de confusion tout en m’enfonçant langoureusement ce rabbit dans la chatte. Je l’ai fait aller et venir timidement au début, puis, sous tes encouragements et en te voyant te caresser la queue, je me suis enhardie et mes va-et-vient se sont fait assauts, furieux pilonnages qui allaient taper tout au fond de ma grotte.

Tu t’es alors décidé à te pencher sur moi, ton regard s’est fait laser, tu voulais me dévorer des yeux avant de goûter à l’ambroisie qui coulait en abondance de mon sexe ouvert. Je sentais ton visage à quelques centimètres de mon mont de Vénus, ta respiration animait mon clitoris, j’ai triomphé dans une montée de plaisir fulgurante qui m’a fait crier et laisser sans souffle tant mon corps avait été envahi d’une décharge électrique à l’intensité rarissime.

Enfin ta langue s’est posée sur mon con, tu as chassé l’intrus de mon vagin et léché la moindre parcelle de mes lèvres intimes, t’immisçant dans les plus inaccessibles recoins, dans les plus petites alvéoles jusqu’à m’enculer de ton appendice dardé. Mon être ne m’appartenait plus alors, il était ton outil de jouissance, de nouveau tu m’as ordonné de replier mes jambes afin d’ouvrir mon chenal.

Que j’aime ce moment suspendu, cette attente muette où l’envie de te sentir en moi se fait plus forte que tout ! Et voilà que ton énorme chibre a déchiré mes entrailles.

une pénétration aux multiples jouissances

Je me suis concentrée sur la progression de ton braquemart, voulant déguster chaque centimètre de ta hampe qui m’envahissait. Tu as pris en photo mon vagin tout ouvert, ton pieu planté en son centre, et tu m’as montré l’écran de ton téléphone. Ma chatte a coulé et est venue lubrifier ta pine qui s’est animée enfin. J’ai joui sous tes coups de reins sauvages, tes mains emprisonnant mes chevilles pour que je demeure ainsi écartelée, combattante anéantie par ton bélier intrépide. Tu m’as baisée longtemps, parfois lentement, parfois avec une vigueur qui a fait couiner les ressorts du matelas. En levrette, encore, puissant, masculin, déterminé, tu as pilonné mon arrière-train tout en m’enfonçant un pouce dans la petite porte.

Vaincue, épuisée par tant d’orgasmes, je t’ai laissé pour ta délivrance, mon anneau m’a fait souffrir le temps du passage de ton gros champignon, le reste est passé tout seul et je t’ai accompagné dans ton sac et ressac jusqu’à sentir tes belles couilles se rétracter et les secousses erratiques de ton pénis crachant son foutre chaud dans mon tunnel interdit.

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