Mes lèvres de suceuse

La rédaction 11 juillet 2023

Aline – 26 ans est se définit comme étant une grande suceuse de bite. Elle nous raconte son premier plan à trois.

Je ne me suis jamais trouvée belle, mais la remarque d’un de mes amants, lorsque j’avais dix-huit ans m’a marquée à jamais. Il m’avait dit que j’avais une tête de baiseuse, quelque chose entre mon regard et mes lèvres de suceuse qui appelait au sexe. Forte de cette remarque qui s’était imprégnée en moi, j’ai commencé à chercher le regard des hommes.  Et effectivement, la gent masculine me regardait souvent avec appétit malgré des seins plutôt petits et une indifférence affichée de ma part. Voici l’une de mes plus belles histoires de sexe;

Une suceuse sensationnelle

Travaillant dans un hôtel à Lyon, je vois passer beaucoup de mâles seuls, commerciaux, patrons en transit… Célibataire moi-même, j’ai décidé de “faire mon marché” et de profiter de ce brassage prolifique. Dès qu’un client me plaît, qu’il est respectueux et gentil, je vais dans sa chambre pour un motif fallacieux, je prends bien soin de me présenter en mini-jupe sans culotte et mon chemisier largement décolleté et ouvert ne dissimule aucun soutien-gorge. Les photos que je joins à ma lettre remontent à il y a deux semaines. J’avais repéré un beau brun, Wilfried, la quarantaine, grand, sûr de lui avec un parfum délicat.

Je n’avais pas été informée que la chambre adjacente à la sienne était occupée par son collègue, encore plus mignon que lui. Quand j’ai fait mon petit cinéma, il a tout de suite compris, et m’a demandé si on pouvait inviter Maxime, son binôme. J’ai dit oui, mon premier plan à trois pouvait commencer. J’ai été traitée comme une princesse, ils m’ont déshabillée de leurs quatre mains chaudes qui sont parties ensuite en reconnaissance dans tous les recoins de mon corps. Bien bâtis, ils se sont mis nus également, leurs verges étaient presque jumelles en forme, mais celle de Maxime était vraiment énorme ! Tous trois à poil, Wilfried a voulu me photographier alors que j’étais en train de me caresser, j’ai obéi bien gentiment, affalée sur le lit, une jambe en l’air, je leur ai tout donné de moi. J’effleurais ma chatte aux lèvres généreuses, me masturbant et écartant mon con lippu afin de leur montrer mon clitoris. Ils m’ont rejointe à tour de rôle, l’autre restant à distance pour continuer les prises de vue.

Premier orgasme

Maxime m’a léchée avec une technique fabuleuse, lapant ma moule entièrement pour se concentrer ensuite sur mes nymphes avant d’enfin gober mon bourgeon sensible. Je me triturais les tétons en sentant monter mon premier orgasme lorsqu’il a enfoncé sa langue dans ma fente luxuriante et un de ses doigts dans mon cul. L’étincelle dans mon bas ventre s’est transformée en boule de feu. Wilfried rôdait non loin, se caressant la pine tout en nous regardant. J’ai quand même réussi à la saisir au passage pour la sucer tandis que son copain m’attrapait en levrette si fort que j’ai eu l’impression que mon squelette se disloquait ! J’ai joui ainsi, possédée à quatre pattes, mes cris étouffés par la queue que j’avais au fond de la gorge.

Voyant que j’étais loin d’être rassasiée, les deux lascars ont inversé leurs rôles, j’ai pu me régaler de mes propres sucs qui enduisaient la tige de Maxime, son ami enfilant un préservatif tout en me fourrant sa langue dans le petit trou. J’ai tout de suite compris où il voulait en venir et je n’étais pas contre, j’aime me faire prendre par derrière. Comme c’est la plus menue des deux verges qui allait me forcer le conduit, je n’étais pas inquiète. La suite m’a donné raison, j’avais affaire à un expert. Tout en enroulant ma langue autour du gland d’un Maxime aux anges, mon anus a été préparé avec son index et son majeur, très doux, qui s’enfonçaient de plus en plus profondément dans mon rectum. Quand mon anneau a été suffisamment assoupli, la bite de Wilfried est entrée en action.

Elle s’est introduite en moi délicatement, jusqu’à ce que je sente les couilles s’écraser contre ma chatte trempée. Les jambes toujours au quasi grand écart, mon amant a pu me sodomiser de toute la longueur de son braquemart tout en caressant mon petit abricot et me doigtant avec légèreté. Mon second orgasme n’a pas été lent à venir et cette fois, j’ai reçu l’éjaculation de Maxime dans la bouche.

Il a giclé à cinq ou six reprises, son sperme était salé, j’ai adoré ça et ai tout avalé en gourmande que je suis. Voyant cela, Wilfried s’est dépêché d’ôter sa capote et, à son tour, est accouru pour se vider entre mes lèvres. Son foutre était plus sucré, presque mielleux. Nous sommes tous partis prendre une douche et mes deux compagnons se sont remis à bander. On a baisé toute la nuit et j’ai même réussi à recevoir l’énorme queue de Maxime dans le fion !

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