Première sextape

La rédaction 24 novembre 2021

Je m’appelle Anne-Laure, j’ai 53 ans et j’aimerais partager avec d’autres coquins mon histoire porno.

Histoire porno en ligne

Je vous écris ces lignes depuis mon bureau, à l’étage de ma maison, où je tremble encore. Il est minuit et Léonard, un de mes amants, vient de publier en ligne notre première sextape. Elle affiche maintenant 15 000 vues. Je ne sais pas vraiment ce que je ressens, en réalité, tout se mélange : la fierté, bien-sûr (qui ne serait pas fière de déchainer les voyeurs à 53 ans ?), l’appréhension que cela change quelque chose à ma vie, que mes proches tombent dessus, mes amis ou mes collègues, et l’excitation d’avoir commis l’interdit.

Peut-être qu’avoir une sextape qui traine de soi sur le net est incroyablement banal. J’ai lu que de nos jours les jeunes avaient le réflexe de se filmer nu de plus en plus souvent. Mais pour une « vieille » comme moi, cela me met dans tous mes états. C’est Léonard qui insisté pour que l’on en tourne une. Depuis mon divorce, je collectionne les amants, dont lui qui m’a dit qu’il avait déjà une grande communauté qui aimait suivre ses ébats sur le web, avec différents partenaires. Je suis l’une d’entre elles, la plus âgée.

Il m’a dit qu’il me trouverait de la belle lingerie, qu’il ferait tout pour que l’on se sente bien tous les deux, pour que je sois belle à la caméra. Et je me suis complètement abandonnée à lui, à ses conseils, à ses lubies.

Jour de tournage X

Le jour J, j’étais pleine d’appréhension et de doute. Mais j’avais envie de me montrer et surtout de ne pas mourir idiote ! Après tout, qu’est-ce que je risquais ? Le ridicule ? À mon âge, on sait très bien que cela ne tue pas. Mais toute ma belle assurance est vite retombée quand Léonard m’a prise dans ses bras et m’a demandé de me changer. Lui était dans un état d’excitation incroyable, il sautait partout comme s’il était monté sur ressort. Je me sentais un peu à côté de la plaque quand il a allumé la caméra de son smartphone et qu’il m’a demandé de le sucer… surtout qu’il avait un langage bien plus ordurier que lors de nos rapports intimes.

Il m’a glissé à l’oreille « c’est pour nos spectateurs, ils adorent quand je suis directif et autoritaire ! » et quelque part, ça m’a aussi excitée qu’il me parle sur son ton. De façon très crue en utilisant les vrais mots du sexe. Je ne savais pas qu’il avait un vocabulaire aussi large sur le cul, d’ailleurs. Et puis, très vite, j’ai réussi à oublier qu’il y avait un smartphone qui était en train de nous filmer et j’ai pris sa bite en bouche, comme si nous n’étions rien que tous les deux.

Je me délectais de son gland, de ses fluides chauds et salés, pensant que nous étions seuls au monde. À tel point qu’il a été obligé de relever mes cheveux pour que les spectateurs « voient mieux » ma bouche en train d’aspirer son gros membre à l’objectif. J’essayais tout de même de rester bien cambrée pour paraitre toujours très jolie. Puis je l’ai laissé me baiser en levrette. J’avais les genoux bien enfoncés dans le matelas, les avant-bras repliés sur eux-mêmes, ma tête repliée sur mes coudes, et Léonard s’est mis à me pilonner dans de grands à-coups qui ont fait trembler tous les murs.

Ça c’était un joli spectacle ! Ça ça allait plaire à sa communauté. En quinze minutes, à peine, l’affaire était bouclée, Léonard m’a éjaculé tout son foutre sur le dos, comme dans les films porno. Je suis donc, en ce moment, en train de revivre pour la seconde fois cette scène, en regardant les fluides de Léonard me couler sur la colonne vertébrale.

Eh bien Léonard avait sacrément raison. J’étais fichtrement belle. Et je ne pense pas que les 15 000 voyeurs qui se sont connectés en quelques minutes à peine pensent le contraire…

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