Les quatre cents coups !

La rédaction 2 juillet 2024

Sandrine, 33 ans, Alpes, a pour défi avec son nouvel amant de se retenir de cracher jusqu’à ce qu’il baise dans toutes les pièces de la maison.

Depuis un moment, l’envie m’obsédait de faire des photos sexy avec un homme dans des endroits incongrus. J’ai été sage toute ma vie sexuelle quand j’étais mariée et maintenant que j’avais enfin divorcé de mon mec toxique, j’éprouvais le besoin profond de m’éclater avec quelqu’un de libre. J’ai rencontré Antoine, un homme qui est devenu mon amant et avec qui nous avons fait les quatre cents coups. Nous avons notamment créé un album de photos partagé dans lequel nous nous envoyons plein de clichés très chauds, pris seuls ou à deux. Nous adorons improviser des scénarios sexuels autour des images, car nous sommes tous les deux très visuels dans notre excitation. Voici mon histoire de sexe.

Baiser dans toutes les pièces

Un beau jour, nous avons décidé de baiser dans littéralement toutes les pièces de sa maison. Avec comme défi de se retenir de jouir jusqu’à la pièce finale, le garage. Ce n’était pas une mince affaire de se retenir aussi longtemps, car nous sommes très excités l’un par l’autre. On a commencé dans la chambre, classique, à se chauffer tranquillement par quelques caresses manuelles et buccales. Il m’a fait un doux cunni sur le lit. Quand j’ai été proche de jouir, nous nous sommes arrêtés et nous sommes passés à une autre pièce pour poursuivre. Dans la cuisine, je lui ai taillé une pipe sur le carrelage. Au bord de l’orgasme, nous avons de nouveau déménagé pour repartir de plus belle avec un 69 sur le tapis du salon, sa tête entre mes cuisses et ma bouche en train de le sucer goulûment.

Cela devenait de plus en plus difficile de se retenir de jouir, mais c’était justement tout l’intérêt de ce petit jeu, de nous pousser toujours un peu plus près de l’orgasme pour ensuite jouir avec fracas quand nous pourrions enfin tout lâcher de notre retenue.

Dans la salle de bain, il m’a prise en photo toute nue dans la baignoire. Je lui ai à nouveau taillé une pipe. Je ne m’en lasse pas, tant il a une bite parfaite pour être sucée. Celle-ci se fond parfaitement dans ma bouche. J’ai fait couler un peu d’eau chaude pour prendre des pauses de sirène dans le bain et me donner une peau luisante, tout en me malaxant les seins. C’était très grisant de chercher à retarder encore plus le moment où nos plaisirs viendraient à éclater ensemble. Ça promettait d’être un sacré feu d’artifices ! Le corps humide de l’eau de mon bain qui tiédissait, je suis sortie de la baignoire et il a séché ma peau délicatement avec une serviette-éponge.

Le garage comme bouquet final

Nous avons donc fini par le garage, où sa voiture était stationnée. Une grosse bagnole, parfaite pour un mec qui aime jouer les gros bras. Entièrement nue, j’ai escaladé le capot pour m’y percher. Là, il a fait des prises de vue sous différents angles : moi cuisses resserrées autour de mon sexe, moi alanguie sur la berline, telle une publicité à l’ancienne. La fraîcheur du capot sous le feu de mon épiderme était agréable. Ma peau translucide tranchait avec le métal noir de la voiture. La lumière sur mon corps était crue, mes seins pointaient avec le froid de la pièce qui me recouvrait de chair de poule. J’aimais sentir son regard de braise sur ma nudité contre sa bagnole, comme une grosse bimbo au salon de l’Auto, mais sans aucune fringue sur le dos !

Mon amant a continué à se toucher tout en me prenant en photo sur sa caisse. Les deux choses qu’il aimait le plus étaient réunies, sa maîtresse et son bolide !

J’ai fini par me retrouver debout contre le véhicule, les mains posées sur le capot, cul en arrière, je commençais à m’impatienter. Il m’a prise, debout derrière moi. Nous avions passé deux longues heures à retarder l’orgasme, si bien qu’en quelques allers-retours, nous avons tous les deux joui avec force bruits et essoufflements. Deux bêtes dans un garage, à copuler comme des petits lapins contre une voiture noire dont le revêtement reflétait notre corps-à-corps. Je pouvais voir notre reflet dans la peinture métallique, son corps ardent s’activant dans mon dos. Nos cris ont résonné dans le silence bétonné du garage. Cette jouissance sans cesse retardée a fini par nous cueillir tous les deux dans un moment qui restera dans les annales et qui trône en bonne place dans notre album photo coquin !

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