Baiser pour oublier

La rédaction 23 avril 2024

Yann, 39 ans, Tours, baise avec une inconnue le jour même pour oublier son chagrin d’amour.

Je vivais une idylle depuis plusieurs années avec ma copine, quand elle m’a annoncé qu’elle me quittait pour un autre homme. Cela a été un choc, car je ne m’y attendais pas du tout. Elle m’a quitté un jour de grand froid, sur un quai de gare, ses yeux navrés plantés dans les miens. Puis elle s’en est allée, prenant son train sans se retourner. Je suis resté sidéré avec ma douleur sur le quai, en voyant son TGV s’éloigner au loin. Voici mon histoire de sexe.

Je me suis effondré à genoux, mes jambes ne me portaient plus. J’ai pleuré comme un gamin pendant de longues minutes dans le blizzard. C’est alors qu’une jeune femme est venue m’aborder. Elle avait la peau brune, des cheveux très noirs, un regard très doux. « Ça va monsieur ? » a-t-elle demandé, l’air préoccupé par mon état. « Oui… Chagrin d’amour », ai-je bégayé. Elle a eu l’air attendrie et m’a frotté le dos avec chaleur. « Allez, une de perdue, dix de retrouvées ! Elle ne vous mérite pas… » Je l’ai mieux regardée à travers mes larmes. Elle me flattait, et elle était elle-même d’une grande beauté. Un peu rasséréné, je me suis relevé pour la remercier. Elle avait dû apprécier ma sensibilité, car plutôt que de passer son chemin, elle m’a proposé d’aller boire une bière au café de la gare pour me reprendre mes esprits. J’ai accepté sans hésiter, car j’avais grand besoin de chaleur humaine…

Un chagrin d’amour rempli de sexe

Nous avons discuté à bâtons rompus dans le café. Elle m’a confié qu’elle aussi avait eu un chagrin d’amour récemment et qu’elle avait du mal à s’en remettre. « On pourrait peut-être se réconforter tous les deux ? » a-t-elle fini par me lancer par-dessus notre troisième bière. Porté par la joliesse du moment, je l’ai suivie pour aller divaguer sur les quais de la Loire. Dans le froid de la nuit
tombée, elle s’est serrée contre moi. Sans réfléchir, et sans oublier mon ex, mais en décidant d’embrasser le moment présent, j’ai ouvert mon manteau pour qu’elle vienne s’y nicher. Nos bouches se sont unies pour se réchauffer au contact l’une de l’autre. Sa langue s’est fait impatiente contre la mienne. J’ai senti la lame du désir fendre nos corps d’un élan puissant.

Elle avait un studio pas loin. Je me suis laissé emmener dans le sillage envoûtant de son parfum. Elle était entreprenante et cela me grisait d’avoir trouvé cette compagne d’infortune et de chagrin d’amour. Dans son immeuble, elle m’a plaqué contre le miroir de l’ascenseur pour continuer à m’embrasser tout en attrapant ma queue à travers mon pantalon. Son chemisier sous son manteau était ouvert sur son décolleté et sa magnifique paire de seins rebondis dans un soutien-gorge affriolant n’a fait qu’accroître mon envie d’elle. Elle a pris mes mains pour les écraser sur sa poitrine. J’ai palpé ces deux superbes lots de consolation à mon cœur brisé, les mains éblouies par leur rondeur et leur douceur. Puis elle a déplacé mes mains sur son corps et j’ai palpé sa taille, ses fesses. J’ai glissé mes doigts entre ses cuisses, pour découvrir qu’elle portait des bas et des porte-jarretelles.

L’exhibitionniste aux clichés

Elle m’avouera plus tard qu’elle adorait porter ce genre de dessous sexy, même quand elle n’avait prévu aucun rendez-vous galant. Juste pour se sentir canon et marcher dans la rue avec ce secret au creux des jambes. J’ai caressé sa fente, cherché son clitoris et glissé deux doigts en elle pour l’exciter. Elle s’est cambrée contre la paroi de l’ascenseur. Je l’ai fait se retourner face au miroir pour la doigter par-derrière tandis que je pouvais admirer le reflet de son visage qui succombait au plaisir. Nous avons déboulé chez elle, déjà tout excités, elle trempée de désir. Elle m’a fait un petit strip-tease dans son entrée pour me rendre encore plus accro… Puis elle s’est jetée à mes pieds pour me sucer avidement.

La vue que j’avais sur son regard noir, sa peau mate, ses seins si parfaitement galbés, m’a rabiboché avec toute la gent féminine tant j’étais sur un petit nuage… Elle avait un côté exhibitionniste, car elle m’a mis son téléphone dans les mains. « Prends des photos », a-t-elle demandé. Elle a pris ma queue dans sa bouche pour lui faire l’amour avec ses lèvres et sa langue, il n’y a pas d’autre mot, et quand le sperme a perlé au bout de mon sexe, j’ai pu me répandre sur ses seins et faire de très beaux clichés de ces deux mottes merveilleuses couvertes de mon foutre…

Elle m’avouera ensuite qu’elle a envoyé ses photos à son ex pour le rendre jaloux, et me dit que je n’ai qu’à en faire autant !

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