Pucelle et sodomite

La rédaction 27 novembre 2019

Dorian, 20 ans

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J’ai rencontré Sophie à la résidence universitaire. J’étais en droit, elle en école de médecine, et le feeling est tout de suite passé entre nous.

C’est simple, à la première soirée étudiante, on se roulait déjà de grosses pelles devant le regard amusé de nos amis respectifs. Tout le monde pensait que j’étais un gros « chaud lapin », mais peu de gens savent que je suis encore puceau. Je suis plutôt beau gosse, les filles m’aiment bien, donc naturellement, tous les mecs pensaient que je l’avais « déjà fait » mais j’ai toujours eu une angoisse naturelle concernant « la première fois ». Je voulais qu’elle soit exceptionnelle et surtout, réalisée en complicité avec la femme que j’aime, ce dont je n’étais pas encore totalement sûr avec Sophie.

Suite à cette soirée, on a commencé à se fréquenter et à passer beaucoup de temps dans la chambre de l’un et de l’autre. De son côté, elle était vierge aussi mais elle m’a dit qu’avec son précédent petit copain, elle avait développé à fond le plaisir anal. Comme elle ne voulait pas qu’il la déflore, il la baisait bien profond dans le cul, et elle avait appris à jouir de cette façon-là.

Un jour, pour m’exciter (et parce que je ne la croyais pas vraiment), elle a décidé de me montrer un orgasme anal. Elle s’est déshabillée devant moi (ce qui a suffi à me donner une gaule d’enfer) et a sorti une bouteille de lubrifiant anal d’un de ses tiroirs, ainsi qu’un petit gode vibrant vert à pile. Elle a sucé l’engin en plastique sous mes yeux médusés, avec le même regard qu’une actrice de porno, puis l’a passé sur tout son corps, sur son cou, la pointe de ses seins, son ventre, sa petite fente, puis elle s’est masturbée un peu le clitoris avec.

Enfin, elle s’est retournée, m’a demandé de badigeonner son cul avec du lubrifiant. J’en ai pris une bonne dose et je l’ai étalé sur tout le pourtour de son trou du cul. Elle a posé son gode au sol, comme un totem et s’est empalée dessus tout naturellement, en quelques secondes à peine. Fièrement, elle a tournoyé devant moi, a joué avec les vibrations pour profiter pleinement des sensations. Je ne suis pas réellement sûr qu’elle ait joui (bien qu’elle m’ait affirmé le contraire) mais au bout de quelques minutes elle est allée retirer son sextoy sous la douche et en a profité pour bien se savonner les fesses.

Comme j’ai trouvé qu’elle y était allée « un peu trop facilement », en ajoutant que son mec devait certainement avoir une petite bite, je lui ai demandé si elle pouvait réitérer avec sa bouteille de shampoing, plus proche de mon calibre. Elle s’est mise à rire et a relevé le défi, et nous avons repris une à une chaque étape. Elle a eu un peu plus de mal à se foutre la bouteille dans le cul mais a tout de même réussi. J’ai joué un peu avec, faisant quelques allers-retours très doucement, mais j’ai bien compris qu’elle ne pourrait pas la tenir plus longuement.

J’ai vu à son sourire qu’elle y avait pris beaucoup de plaisir et je n’ai pu m’empêcher de me dire que j’avais peut-être trouvé là la nana qu’il me fallait.

(Image à la une : Getty Images)

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« La quadra est revenue à ce moment-là. Très gentiment, elle s’est assise à califourchon sur mes cuisses. Le gel qu’elle a étalé entre mes fesses était gluant et chauffait de plus en plus. Elle s’est levée et a enfilé le jouet. » Esteban

Il m’a surprise avec mon gode

« Il s’est approché et m’a embrassée. Je me suis laissé faire, il a passé une main sur l’un de mes seins, et m’a demandé de continuer à jouer avec mon gode (j’avais tellement envie). Puis, il l’a lui-même retiré de ma fente pour me le foutre dans la bouche. » Alexia

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