Un été érotique
25 décembre 2022Avant de débuter cette histoire porno, il me faut préciser que mon épouse, 39 ans, et moi, 33 ans, habitons un pavillon de banlieue. À cause de l’étroitesse des terrains, la maison des voisins se trouve à 4 mètres de la nôtre. Ces jours derniers, il m’a été donné de vivre une expérience très troublante. Le soleil brillait fort et Francine se trouvait en congé. Nous avions fait la grasse matinée. La journée progressait, l’après-midi s’achevait presque. Il faisait chaud, je ne portais qu’un maillot de bain et Francine un grand T-shirt qui s’arrêtait en haut des cuisses.
La toile de la piscine
En tenue de détente par cette fin d’après-midi d’une journée chaude, nous nous rafraîchissions de quelques bières. Nous bavardions, assis à la table de la cuisine, lorsque Francine, prise de remords de n’avoir rien fait de sa journée, eut l’idée d’aller nettoyer la toile extérieure de la piscine, une petite corvée qu’elle remettait depuis quelque temps déjà . Elle ramasse gants, nettoyant éponge, brosse, et file au-dehors. Quelques minutes passent, je vais voir si tout va bien. Elle se trouve à l’autre extrémité de la piscine. Assise sur ses chevilles, elle s’essuie le front. Reprenant sa brosse, elle se penche et continue le frottage de la toile… Son T-shirt, dans le dos, lui remonte jusqu’aux reins et propose à mes yeux ébahis la partie supérieure de ses fesses. Je n’en crois pas mes yeux ! Francine qui offre à la vue du voisinage son joli postérieur ! Estimant que mon angle de vision ne me permet pas de deviner sa culotte, j’attends qu’elle en arrive à nettoyer un autre côté de la piscine.
Aucun doute possible ! Lorsqu’elle se penche pour frotter la toile, son T-shirt lui remonte presque au milieu du dos, dévoile ce ravissant postérieur que j’aime contempler dans l’intimité. Jusqu’ici, je n’avais jamais imaginé que je partagerais un jour cette vue, que je pensais imprenable avec le voisinage… Je jette un coup d’oeil aux alentours.
À gauche, le nouveau voisin, monté sur une échelle que maintient sa femme, lave les vitres du second étage. Il est impossible qu’ils ne voient pas le spectacle des rondeurs de Francine. Je ne sais que faire. Dois-je lui demander de rentrer et de se mettre une culotte ou la laisser continuer à frotter cul nu ? Je décide d’attendre, car le profil qu’elle m’offre est terriblement excitant ; la voir ainsi, cuisses et fesses au soleil, plus le risque que quelqu’un survienne à l’improviste, me met dans un état d’excitation que je ne connaissais pas.
Je descends au rez-de-chaussée, dans la chambre d’amis dont la fenêtre donne sur la piscine. Francine frotte toujours. Comme les fesses de ma blonde sont belles ! Totalement blanches et innocemment offertes. Mon attention se porte maintenant sur son entrejambe. Chaque fois qu’elle se penche, ses fesses remontent et les grandes lèvres de son sexe, encadrées de poils très foncés, me sourient. C’est bandant ! Ainsi offert, le cul de ma blonde est une révélation qui se balance de droite à gauche au rythme des coups de brosse et d’avant en arrière selon la profondeur de la toile qu’elle nettoie. Jusqu’à présent, Francine a été de face ou de profil par rapport aux voisins.
Au prochain tournant de la piscine, elle leur tournera le dos et dévoilera totalement ses rondeurs blanches. Je remonte à l’étage pour observer leurs réactions. L’homme s’applique à ses vitres. La femme l’observe, attentive à sa sécurité, jusqu’à ce que son regard se porte chez nous. J’ai rarement vu quelqu’un avoir l’air aussi surpris. Lorsqu’elle réalise avoir vu Francine nue-fesses, ses yeux s’écarquillent et la bouche entrouverte, elle fait signe à son mari de descendre. » Si tu veux voir un beau cul, regarde à côté « , qu’elle lui dit en faisant un signe de tête vers notre terrain. Il regarde vers Francine et a une mimique expressive.
Montée d’érotisme
Sa femme en semble contrariée et ses regards en coin en direction de Francine qui continue à s’affairer le cul au vent, ne laissent aucun doute sur son état d’esprit. Francine continua son travail sans s’apercevoir de rien. Lorsqu’elle rentra, elle reprit sa bière et la conversation redémarra normalement.
Le dimanche qui a suivi, Francine était en vacances pour quatre semaines. Nous avons fait la grasse matinée. En arrivant à l’étage pour déjeuner, il était environ 12h30, le soleil brillait. Je jette un coup d’oeil vers la piscine des voisins dans l’espoir d’apercevoir une jolie femme en bikini. Je suis servi, au seuil du ravissement : la voisine se fait bronzer en petite culotte. Ce n’est pas qu’elle possède une forte poitrine, non, loin de là ! Elle est plutôt plate. Cependant, le caractère inattendu de la situation me charme. J’ai appelé Francine pour qu’elle vienne jeter un coup d’oeil, ce qu’elle fait. Avec une moue irritée, elle lance : « Je trouve ça vulgaire !… Ne compte pas sur moi pour en faire autant« . Et elle retourne vers sa cuisine.
Quelques instants plus tard, je ne peux résister à la tentation de retourner jeter un oeil. J’aurais mieux fait de résister. À mon retour, Francine est plongée dans la lecture du journal, devenue silencieuse… pour très longtemps. J’avais fait une bévue. Le reste de la journée s’avéra silencieux. Le soir, au coucher, elle s’excusa de s’être fâchée. Je m’excusai de ne pas avoir résisté à la tentation et plaidai ma cause par ; » Il n’y a pas de mal à regarder ce qui est offert au soleil « . » Tu aimes ça, les seins ? « , me murmure-t-elle en dévoilant sa poitrine.
J’embrasse et suce doucement, longuement, ses mamelons. Nous avons fait l’amour comme rarement auparavant. Elle qui, habituellement, ne me permet un cunnilingus qu’après avoir pris un bain sur mon insistance, m’y a presque provoqué. À un moment, elle a interrompu nos étreintes, s’est retournée et, étendue sur le côté, elle s’est mise à détailler mon sexe de près, de très près. Elle me caressait le pénis d’une main et me massait les testicules de l’autre… J’étais dans un état d’excitation croissante et, à quelques centimètres de mon nez, son sexe s’offrait à moi. Je tendis la main, elle sursauta et frissonna.
Elle se coucha sur le dos et écarta largement les cuisses. La lumière étant restée allumée, j’avais un spectacle merveilleux. Lèvres ouvertes et sexe humide, son ouverture rosée s’offrait à moi. J’embrassai et goûtai jusqu’à ce que, dans des tremblements violents, ses cuisses me prennent la tête dans un étau tout en tentant de me désarçonner. J’en ai eu le visage complètement humide, et nullement de sueur.
Le lendemain au soir, nous avons veillé tard. Vers 23h30, Francine, qui était en maillot de bain une-pièce, alla aux toilettes. À son retour, elle portait son maillot à la main. C’est donc dans sa plus belle nudité qu’elle a terminé la soirée. J’ai l’impression que l‘été sera chaud ! Je dis merci à ma nouvelle voisine pour cette montée d’érotisme. La jalousie a du bon après tout !
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