Une surcharge de travail

La rédaction 21 août 2021

Je m’appelle Nadine et je suis une modeste femme de ménage de banlieue. Je travaille à domicile, et je suis affectée chez trois personnes. Tous mes employeurs habitent en zone pavillonnaire, et même si j’ai la chance de travailler dans de jolies maisons, il faut bien avouer que mon boulot est d’un ennui mortel. Pourtant, il m’est arrivé quelque chose d’assez incroyable chez l’un de mes employeurs le mois dernier, et j’ai longtemps hésité avant de vous écrire pour vous le raconter, mais j’avais de plus en plus de mal à le garder pour moi… Laissez moi vous partager mon histoire porno.

Le petit con

J’étais donc dans le salon en train de passer l’aspirateur quand le fils de mon employeur, Thomas, est rentré de la fac. Il m’a rapidement dit bonjour et est tout de suite parti dans la cuisine pour chercher je ne sais quoi dans le frigo. Il a ensuite débarqué dans le salon, un soda à la main, et s’est installé dans le canapé alors que je n’avais pas du tout fini de passer l’aspirateur. Il a pris la télécommande, et, sans la moindre gêne, il s’est branché sur une chaîne pornographique !

Je ne savais pas où me mettre ! Je ne pouvais rien dire, car je n’étais pas chez moi, mais j’étais vraiment mal à l’aise ! « Cela ne vous dérange pas d’arrêter l’aspirateur s’il vous plaît », m’a-t-il demandé,  « J’entends rien… ». J’ai bien sûr obéi, sans rien dire, et j’ai fait mine de dépoussiérer la table basse. À l’écran il y avait une orgie, et même si j’étais gênée, je jetais un œil de temps en temps au porno qu’il matait.

« Vous devriez faire une pause», m’a-t-il alors lancé. « Asseyez-vous près de moi ! ». En me retournant vers lui, j’ai découvert que le petit con avait sorti sa queue et qu’il se masturbait nonchalamment. J’aurais dû partir et prévenir ses parents, mais Thomas était plutôt beau garçon, et c’était assez excitant de voir son sexe en érection tout près de moi.

J’ai laissé tomber mon plumeau, et timidement, je me suis assise à côté de lui. Il ne prêtait pas trop attention à moi, tellement il était absorbé par le film pornographique. Il se branlait, tranquillement. Moi qui l’ai toujours trouvé attirant, j’avais l’occasion d’assouvir un de mes fantasmes tout de suite, mais j’étais pétrifiée. « Vous voulez me sucer ? ».

A une queue efficace

Sans réfléchir, j’ai répondu que je voulais bien. Je me suis donc penchée et je me suis mise à le pomper. Son gros sexe emplissait ma bouche et j’étais comblée. Tout en me caressant les cheveux, il m’a dit que je faisais ça très bien. Le salaud me félicitait, et pourtant je n’avais pas beaucoup fait de fellations… « Nadine, déshabillez-vous. ». Je me suis alors levée pour lui obéir. J’ai retiré mon tablier et ma robe, j’ai enlevé mes chaussures et mes bas, retiré mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine, et enfin fais glisser ma culotte. Pendant mon strip-tease maladroit, Thomas se branlait en me regardant. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas épilée, ce qui fait que j’avais une belle touffe de poils au niveau de la chatte.

« Alors, Nadine, qu’est-ce qui vous ferait plaisir »,  m’a-t-il demandé. « J’ai envie de vous faire plaisir, c’est vous qui décidez. ». Je ne savais pas si c’était mon jour de chance ou si j’étais devant un dangereux psychopathe, mais l’occasion n’allait certainement jamais se représenter, et j’ai décidé de jouer le jeu à fond. « J’aimerais bien que vous me léchiez le trou du cul, Thomas. ». Je me suis donc mise à quatre pattes sur le tapis après avoir poussé la table basse, et j’ai bien écarté les fesses avec mes mains.

Il a tout de suite fourré sa langue dans mon anus en me mettant des doigts dans le con. C’était délicieux, mais j’en voulais plus. « Enculez-moi, Thomas. ». Thomas ne s’est pas fait prier. Il m’a prise par les hanches et a introduit sa verge dans mon cul. Il a commencé à limer en accélérant petit à petit. C’était un véritable bonheur de sentir ses couilles taper contre ma chatte. Il a continué comme ça pendant un bon quart d’heure, et ses râles m’informaient qu’il allait bientôt jouir. Je lui ai donc demandé d’arrêter.

Doucement, il s’est retiré, et je me suis mise alors à genoux et je lui ai ordonné poliment de me jouir dans la bouche. « J’ai envie d’avaler votre sperme, Thomas». Le film de cul toujours en arrière-plan, il s’est mis à se branler au-dessus de ma bouche ouverte. Son jus m’inondait le palais et les joues, et j’avalais goulûment ce que je pouvais.

Une fois qu’il a eu terminé, il a rangé sa queue et a quitté le salon, en me disant qu’il avait des révisions à faire. Je ne l’ai pas retenu, car je devais maintenant nettoyer le foutoir qu’on avait mis… Le salon était plus sale qu’avant son arrivée ! Mais je dois avouer que cette surcharge de travail valait le coup ! En tout cas, on ne se verra plus de la même façon lui et moi désormais… et c’est tant mieux !

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