Voulez-vous coucher avec la fiancée ?
24 juin 2020Histoire de sexe : Charles, 37 ans de Reims est un célibataire endurci. Mais quand il voit sa future belle-sœur, le désir monte…
Je viens d’un milieu tradi et je suis un peu le mouton noir de ma famille, étant le seul à ne pas être marié, malgré une ou deux histoire de sexe. Je suis pourtant l’aîné, et j’ai vu mes quatre frères et sœurs convoler avec leur moitié. Notre cadet, Philippe, a ramené chez nous un oiseau rare : pas de particule ni même d’origines bourgeoises, Sarah avait tout pour déplaire à mes parents. Mais nous autres, beaux-frères et belles-sœurs, l’avons adoptée dès qu’il nous l’a présentée, en 2017.
Sarah était vive, intelligente et, malgré son petit côté “cagole” du sud-est, je l’ai tout de suite trouvée charmante. L’été dernier, Philippe nous a annoncé leurs fiançailles. J’ai été ravi pour lui, tout en ressentant un petit pincement au cœur inexplicable… Mes parents ont bien sûr tiré la tête en apprenant la nouvelle, mais mon frère n’a même pas relevé. Sarah, par contre, a tenu à les rassurer sur le respect du protocole, et a invité notre famille au grand complet à un dîner de fiançailles officiel, chez ses parents, à Nîmes.
La fête a eu lieu début septembre, dans le pavillon des parents de Sarah. Mes parents avaient l’air d’être au zoo, devant cette tribu chaleureuse et exubérante ! La belle-famille avait prévu beaucoup à manger et à boire, l’ambiance était donc très gaie à la fin du repas. C’est au moment du café, alors que tout le monde papotait avec ardeur, que ma belle-sœur est venue me trouver. « Tu ne veux pas m’accompagner là-haut ? Je voudrais te montrer quelque chose. », m’a-t-elle dit discrètement. J’aurais pu imaginer un service à lui rendre, ou une innocente discussion. Mais j’ai immédiatement compris ce qu’elle voulait. C’était donc ça, ce que je ressentais à son égard depuis le début : une attirance sexuelle réciproque !
Sarah a quitté la salle à manger et je l’ai vue partir en direction de la cage d’escalier. Philippe, très entamé, somnolait en écoutant les belles-mères parler des préparatifs du jour J. J’ai alors éprouvé un fort sentiment de culpabilité et, quand j’ai monté les marches à mon tour, c’était pour dire à Sarah que rien ne se passerait jamais entre nous. Malheureusement pour mon frère, quand j’ai poussé la porte de la chambre entrouverte, j’ai trouvé sa fiancée allongée sur le lit, à moitié nue et en train de préparer le terrain de ses doigts.
Bouche bée, je l’ai regardée faire, tandis que la sève montait en moi inexorablement. Pour achever de me convaincre, la belle a souri et fait sauter ses derniers vêtements. Son corps entièrement épilé m’a rappelé que je n’avais pas couché avec une jeune fille sexy depuis des années, me focalisant plutôt sur des femmes de mon âge et de mon milieu. Contrairement à elles, Sarah n’était pas farouche. Je n’ai eu qu’à avancer vers elle pour qu’elle m’attrape par la ceinture et, tout sourire, délivre mon érection. Saisie par une main sûre puis avalée avec passion, ma queue a doublé de volume. Le regard de ma belle-sœur pétillait, on sentait qu’elle prenait un pied dingue ! J’ai laissé échappé un « Oh oui, c’est bon… », et elle m’a prise en fond de gorge.
J’ai dû la relever par les cheveux, sans quoi, j’aurais fini dans sa bouche si accueillante… La demoiselle s’est prestement allongée sur le dos, jambes relevées, comme chez le gynéco. J’ai pensé à mon pauvre frère, cocu avant même d’être marié. Comme si elle sentait mes doutes, Sarah m’a rassuré d’un air gourmand : « Ça ne sera qu’une fois, promis… » Je n’ai pas su résister davantage. Ma verge, encore trempée de salive, est entrée sans effort dans son intimité lisse et parfaite.
Au rez-de-chaussée, les éclats de voix diminuaient. J’ai eu peur que la fête se termine et que les convives ne se demandent où nous étions. Difficile de rester bien dur, alors j’ai pris des mesures drastiques : me retirer et attraper Sarah par les hanches, afin de l’enfiler en levrette. Elle a haleté quand je suis entré en entier, plus vite au fur et à mesure que j’accélérais les saillies. Elle se sentait chienne, alors je lui ai montré qui était le maître. Jamais je n’avais mis de fessée à une de mes amantes… Voir la trace de ma main s’imprimer sur la croupe de Sarah, pendant qu’elle faisait tout pour étouffer ses cris, a fait partir un éclair de mes couilles jusqu’au sommet de mon crâne. J’ai réussi à la faire jouir aussi en enfonçant un doigt dans son cul, tandis que je poussais mes derniers râles.
Avant de se rhabiller, Sarah a contemplé les dégâts entre ses cuisses. « Ne t’en fais pas, je prends la pilule », a-t-elle souri. J’étais soulagé. Je suis redescendu en catimini puis j’ai fait mine de sortir des toilettes. Sarah nous a rejoint pour le digestif, prétextant qu’elle avait dû s’allonger car elle avait trop bu. Nous savions tous les deux de quel genre de liquide elle était pleine, mais avons gardé le secret jusqu’à ce jour.
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