Yael et la saisonnière

Et bien dansez maintenant…

Je suis saisonnière, espagnole, je suis trilingue et très recherchée par les clubs de vacances. Voici mon histoire de sexe.

L’été passé, j’ai atterri à Arcachon, j’ai pris en main les activités de danses. J’ai mis en place des chorégraphies très sensuelles, avec beaucoup de mouvements de hanches et des passages au sol … évocateurs. Dès le troisième jour, j’ai eu des hommes, ce qui est rare ! Un, en particulier, Yael, m’a tapé dans l’œil. Grand et athlétique, il bougeait bien … en compagnie de son épouse. Mais j’ai vu son petit manège et un après-midi, il est venu seul. Sa femme était partie en bateau pour la journée et lui ne supportait pas la mer. Il m’a demandé s’il pouvait avoir un cours privé pour se perfectionner, je l’ai invité dans mon studio. Sur le seuil de ma porte, il s’est penché vers moi et m’a embrassée et ses mains ont glissé sous mon débardeur. J’étais en sueur, les cheveux plaqués en arrière, je ne ressemblais à rien, je ne me sentais pas féminine pour un sou, mais j’ai vite eu la confirmation qu’il n’en était rien, une énorme bosse déformait le maillot de monsieur, son gland en sortait tant il bandait dur !

Yael s’est débarrassé de son seul vêtement, je me suis fondue à ses pieds et je l’ai pris en bouche. Sa queue était salée par un bain de mer, cela me faisait saliver et son fruit trempait dans la mousse ainsi formée. Il m’a demandé s’il pouvait me prendre en photo tandis que je le suçais, je lui ai répondu qu’il pouvait me prendre tout court. Il m’a aidée à me relever et m’a retournée, je me suis penchée, comprenant qu’il voulait commencer par me baiser là, debout, sans attendre un instant de plus. J’ai écarté mes fesses et son vit est entré en moi, j’étais trempée ! La colonne a coulissé et j’ai soupiré lorsque ses grosses couilles ont touché ma peau. Il était entièrement en moi et c’était un sacré diamètre ! Il emplissait ma chatte et distendait mes petites lèvres tout en caressant mon anus de son pouce. C’était délicieux. Ce mélange de sensualité tout en légèreté et d’attitude un peu macho m’a fait couler encore plus. Il l’a senti et m’a dirigée vers le lit.

Yael et la saisonnière espagnole

À genoux derrière moi, je percevais son regard vicieux parcourir la raie de mes fesses, je ne suis pas peu fière de mon cul de danseuse bien ferme, j’ai joué le jeu et j’ai écarté mes globes au maximum. La tête posée sur les draps, j’ai attendu un moment, il se branlait en me matant. Il m’a donné quelques belles claques sur le bombé, j’ai adoré ça, puis il a réinséré son gros gourdin dans ma petite chatte. Dans cette position de levrette très cambrée, son pieu faisait des merveilles, coulissant à toute vitesse, il me laminait à grands coups de reins, ça clapotait entre nos deux corps à chaque pénétration. Il a attrapé mes cheveux pour m’inviter à me redresser, j’ai cru que j’allais défaillir sous la déferlante des va-et-vient. Il m’a fait jouir deux fois ainsi ! Sans même m’avoir léchée ou caressée pour un délicat préliminaire, du sexe brut, sans fioriture, comme j’aime. Il avait dû repérer l’incendie qui couvait dans mes pupilles et mon ventre. je me suis retournée pour lui présenter mes seins, Yael m’a demandé de les rapprocher l’un de l’autre, j’ai vu venir la branlette espagnole, mais il y a apporté une dose de vice supplémentaire en me soumettant son petit trou, la queue entre mes loches. C’est le tout premier anus que j’ai léché, j’ai trouvé ça aussi cochon que délicieux, c’était un peu musqué, tout lisse comme ses couilles. Simultanément, il agitait sa baguette et me doigtait par la chatte et par le cul. J’ai joui une nouvelle fois, avec pour seul ciel, l’œil de bronze de cet adonis !

Enfin, il m’a prise en missionnaire, ma préférée de toutes les variantes du Kamasutra. Mon top s’est finalement envolé, mes seins libres ont eu les faveurs des baisers brûlants de mon amant puis ont été secoués en tous sens, le cortège de ses assauts ayant reprit de plus belle ! J’ai trouvé le chemin de la plénitude plus lentement cette fois-ci, mais dès que Yael a vu que je commençais à partir, il est vite sorti de moi et s’est jeté sur mon intimité pour me lécher partout, ses phalanges me défonçant par les deux orifices ! Méthode validée, j’ai eu l’orgasme de ma vie. Mais le temps tournait et sa femme n’allait pas tarder à rentrer, il s’est branlé au-dessus de moi et s’est raidi d’un coup. Il ne s’est rien passé, son prépuce très tiré en arrière, en suspend, et ça a giclé. Un premier jet surpuissant qui a atterri sur mon visage et mes nichons, suivi par d’autres, moins forts, mais tout aussi volumineux.

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