J’ai pris les choses en main

La rédaction 11 mai 2020

Julia, 34 ans.

Bonjour, je m’appelle Julia, j’ai 34 ans et de belles formes là où il faut, surtout mes gros seins (100 D) qui plaisent à tous les hommes. Depuis que je lis interstron.ru, j’hésitais à vous écrire pour vous raconter mes petites histoires à moi. À vrai dire, elles étaient plutôt banales. Jusqu’à cette consultation, il y a environ trois mois, chez mon beau gynéco.

J’avais rendez-vous pour une visite de contrôle comme tous les ans. Je m’étais joliment habillée et, sous ma robe, j’avais mis un body blanc en dentelle et des bas noirs. Arrivée à son cabinet, j’ai patienté dans la salle d’attente un petit quart d’heure. Christian, mon gynéco, un beau jeune homme brun avec des yeux bleus à vous faire chavirer, m’a accueillie avec un large sourire. Après m’avoir posé les questions d’usage, il m’a invitée à me déshabiller afin de m’examiner. J’ai enlevé ma robe et j’ai senti sur moi son regard amusé quand il m’a vue en body. Un petit sourire aux lèvres, j’ai fait sauter les pressions avec deux doigts, libérant l’accès à ma jolie chatte aux lèvres saillantes. On a commencé à taper la discute. Il m’a invitée à l’appeler Chris, depuis le temps qu’on se connaissait. Du coup, je lui ai proposé de m’appeler également par mon prénom.

Il m’a ensuite demandé de m’allonger sur la table d’auscultation, de faire glisser mes fesses le plus au bord possible et de mettre les pieds dans les étriers. Quand mes jambes ont été ainsi écartées, il a introduit un spéculum dans ma chatte qui ne s’est pas fait prier pour l’absorber, me faisant pousser un léger soupir de plaisir. Il a voulu savoir si je n’avais pas mal. Je lui ai répondu qu’au contraire, j’avais eu un petit orgasme. La libertine que je suis a fait preuve de franchise en lui avouant que ses yeux bleus, son sourire, sa pilosité dépassant légèrement de sa chemise n’y étaient pas pour rien. Il a un peu rougi, tout en continuant de m’examiner. Je ne vous dis pas dans quel état j’étais quand il s’est mis à me palper les seins, tantôt du bout des doigts, tantôt à pleine main.

Une fois l’examen terminé, le beau Chris s’est remis à son bureau en m’assurant que tout était en ordre. Je suis restée assise sur la table sans me rhabiller. Il pensait peut-être que j’attendais qu’il me dise de remettre ma robe. Quand il s’est enfin étonné de me voir encore nue et immobile, je lui ai avoué qu’il m’avait mise dans tous mes états et que j’avais envie d’un petit câlin avant de rentrer chez moi. Il m’a regardée, l’air amusé. Je me suis avancée vers lui et je me suis assise direct sur lui à califourchon. J’ai défait quelques boutons de sa chemise, caressé avec douceur son torse velu. Je sentais son sexe gonfler à travers son pantalon, mais j’ai préféré me lever et me rhabiller, le laissant ainsi en plan. Il m’a dit que ce n’était pas du jeu de l’abandonner dans cet état ! “Pense à tes patients qui poireautent dans la salle d’attente”, lui ai-je lancé. Il m’a donné rendez-vous à 20 heures dans la brasserie d’en face. Il était 18 heures, j’avais cent vingt minutes devant moi pour me pomponner et me faire toute jolie.

En rentrant à la maison, je me suis glissée dans un bon bain moussant parfumé. Je pensais à ce rendez-vous. Inconsciemment, ma main avait filé vers ma petite chatte. Mes doigts l’ont caressée lentement avant de s’enfoncer en moi et de faire de légers va-et-vient dans mon vagin grand ouvert. Les yeux fermés, je me laissais aller à ma jouissance. Après être sortie du bain, j’ai enfilé un ensemble de dentelle et soie noires assorti à ma robe très près du corps, qui mettait mes formes en valeur et laissait voir le haut de mes bas. Je suis arrivée pile à l’heure. Chris m’attendait déjà en terrasse avec deux coupes de champagne. Nous avons fini par commander de quoi grignoter. Pendant le repas, Chris s’est montré plus entreprenant en me caressant du pied, allant même jusqu’à aller chercher mon minou. Tout cela prenait bonne tournure. Je lui ai proposé de me raccompagner chez moi.

À peine passé le pas de la porte, nous nous sommes sautés dessus, nous embrassant et pelotant à qui mieux mieux. J’avais tellement envie de lui que j’ai défait sa chemise pour mettre son joli torse à nu. Envahie par le désir, j’ai descendu la braguette de son jean et posé une main conquérante sur son sexe tendu comme un arc. Je n’ai pas résisté à le prendre en bouche lentement et à l’engloutir tout entier. Humm, un délice ! Je me suis ensuite redressée pour enlever ma robe et défaire mes cheveux qui sont tombés en longues boucles brunes sur mes seins. J’ai emmené Chris par la main jusqu’à mon lit recouvert de draps en satin. Je l’ai poussé dessus et je me suis empalée à califourchon sur ce sexe qui me faisait tant envie en poussant un cri que je n’ai pu retenir tellement c’était bon.

Nous avons fait l’amour une grande partie de la nuit. Nous avons fini épuisés au petit matin, mais heureux de notre coup de folie. Nous nous sommes revus et avons fait plusieurs fois l’amour dans son cabinet (la table d’auscultation, je ne vous dis pas !) et à la maison. Bref, si j’ai un conseil à donner aux lectrices d’Union, c’est de faire le premier pas : les hommes n’y résistent pas.

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Le doc gyneco

« En conservant mon index bien au chaud, je lui ai asséné de bons coups de reins, Sandra a joui en criant comme jamais auparavant. Elle arrivait enfin à se lâcher complètement. Cette visite a été un déclic pour elle. L’essentiel, c’est qu’elle prenne son pied. » Felix.

Un examen de routine

« Je sentais la sonde entrer et sortir tout en venant exciter mon clitoris. J’ai tourné la tête vers mon gynéco. Comprenant ce qui m’arrivait, il a accéléré les mouvements. Mes pieds, prisonniers des étriers, ne me permettaient pas de me cabrer sans glisser. »

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Une jeune femme est examinée par une belle gynéco pour une visite de contrôle: ouf ! tout va bien… La gynéco aime vraiment les femmes et l’orgasme est au rendez-vous ! Visite médicale pour le travail ? Bon pour le service, et sa bite aussi ! Et la prostate ? Il faut faire un dépistage… et immédiatement ! Trois histoires médicales pour rester en bonne santé. Ah les femmes médecins en blouse blanche, heureusement qu’elles sont là!


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