Homme à tout faire

La rédaction 16 novembre 2025

Quand il n’est pas là, je m’occupe de la maison secondaire d’un couple de Belges dans le Var. Ils ne viennent pas souvent, mais sont vraiment adorables, ils me payent grassement pour une surveillance pour le moins aisée à réaliser et lorsqu’ils sont présents, ils sont tout le temps à poil … elle, en particulier, et c’est une vraie bombe ! Au printemps dernier, ils m’ont appelé pour que j’ouvre la villa et mette la piscine en chauffe, leur fille, Annie et un couple d’amis à elle, Manuela et Brian, venaient profiter de deux semaines de vacances. Je ne la connaissais pas, mais impossible de ne pas l’identifier, c’est le portrait craché de sa mère, une beauté blonde … avec trente ans de moins. Dès les premiers instants, j’ai senti qu’il se passait quelque chose, le lendemain, les trois jeunes gens m’ont convié à un apéro.Voici mon histoire de sexe amateur érotique.

Se taper la fille du patron

Après un cours sur la façon dont on devait doser le pastis, ils m’ont demandé de leur montrer le fonctionnement du moteur de la piscine, je suis resté dans le local pour quelques réglages et lorsque j’en suis ressorti, tout ce petit monde était à poil dans l’eau ou sur les margelles, Annie, la fille des propriétaires, avait les jambes écartées et Brian, le grand tatoué, lui bouffait la chatte. Manuella, la belle brune, a traversé le bassin avec grâce et a émergé juste devant moi, ses seins lourds perlaient, sa vulve glabre laissait clairement voir des nymphes exubérantes, elle m’a roulé une pelle, m’a mis la main au paquet puis a sorti ma queue pour me la sucer divinement ! Nous avons baisé tous ensemble autour de la piscine, moi un peu gêné vis-à-vis de mes patrons, mais lorsque j’ai vu leur fille se faire défoncer la rondelle sur un transat en criant à tue-tête, je me suis laissé aller et j’ai éjaculé dans la bouche de Manuella, en rugissant moi aussi.

Je n’étais pas au bout de mes surprises, ils m’ont rappelé le lendemain après-midi, prétextant un problème avec le chauffe-eau. Encore une fois, la partouze avait déjà commencé lorsque je suis arrivé. J’entendais les gémissements des filles, je me suis guidé au son et, cette fois-ci, c’est Annie qui s’est rapprochée de moi pour me mettre « à l’aise », tandis que Manuelle se laissait prendre avec rage en levrette par un Brian déchaîné. Annie, avec ses cheveux blonds et sa poitrine menue en forme de poire s’est accroupie pour libérer mon sexe et l’a aspiré avec voracité, sa bouche me pompait le gland, sa langue en faisait le tour, tandis que, de ses ongles, elle agaçait mon scrotum serré.

Varier les plaisirs

Nous avons fini par nous allonger sur un lit et, pour la première fois de ma vie, j’ai reçu une fellation exécutée par deux femmes en même temps, c’est divin ! Pendant que l’une s’occupait de mon pénis, l’autre m’embrassait partout sur le corps, venait me lécher les bourses ou bien encore, guidait l’une de mes mains sur ses seins, sa chatte ou la raie de ses fesses. Tout cela, je ne l’ai vu que tardivement, sous l’œil et l’objectif attentifs de Brian, qui nous prenait en photo.

Les couples se formaient et se défaisaient au gré des désirs des filles, variant les plaisirs, comparant nos queues et la façon dont nous avions de nous en servir, Brian et moi avons même été conviés à participer au concours du « meilleur lécheur » ! C’est mieux qu’un jeu de société, j’ai débuté par le minou sucré d’Annie, mon comparse se perdant entre les cuisses bronzées de Manuella, un chronomètre fut lancé sur un téléphone portable jusqu’au premier orgasme ! Brian a remporté cette première manche, puis nous avons procédé à l’échange des partenaires. Cette fois-ci, cela a été mon tour de gagner le match. Nous avons fait une belle et Manuella, suite à son troisième orgasme consécutif, nous a embrassé tous deux, déclarant que nous étions exaeco, il faut dire que sa facilité à jouir était déconcertante.

Les quinze jours de leur séjour ont été ainsi ponctués de jeux, de parties de sexe débridées, de bains de soleil, d’ailleurs, je n’étais même plus convié à les rejoindre, ils m’ont fait élire domicile dans la maison, la nuit, je dormais tantôt avec l’un, tantôt avec l’autre. Les odeurs des filles se mélangeaient dans mon lit, leur cyprine aussi, Manuelle accueillait mes réveils avec une pipe, elle me suçait jusqu’à récolter mon miel, qu’elle trouvait délicieusement sucré. Annie, elle, avait des attentes plus cochonnes encore, en vraie fan de la sodomie, elle guettait mon érection matinale naturelle, celle qui accompagne souvent la fin de la période de sommeil, elle enduisait alors ma bite de gel lubrifiant, en faisait de même avec son petit trou et s’empalait, s’enculant toute seule jusqu’à son orgasme !

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