Partouze à Toulouse !
12 août 2025Pedro, 34 ans, s’est retrouvé en plein cœur d’un baisodrome ! Fellations, sodomies, cunnilingus, double pénétration…des vrais JO du cul !
Pédro nous raconte son histoire de sexe amateur qui a finit en partouze !
Enfin diplômé en médecine après des années d’études, j’avais envie de décompresser avec ma bande d’amis. Coups de chance, mon oncle a une grande longère dans les environs de la ville rose et m’a prêté cette demeure tout l’été deux mille vingt-deux.
On a loué un minivan et je suis donc descendu en compagnie de la petite troupe. Dans la journée c’était balade, ping-pong, baby-foot et batailles d’eau, ces dernières avaient toujours lieu en début de soirée et annonçaient clairement la suite.
Aucune des filles ne portait de soutif, les tee-shirts mouillés dévoilaient alors leurs formes plus ou moins généreuses.
Une fois trempées de pied en cape, elle nous mettait la queue à l’air pour rééquilibrer les scores et assouvir leur passion pour la bite.
Tout le monde vous le dira dans le milieu, une fac de médecine est un immense baisodrome, les vacances toulousaines en ont été une digne prolongation !
Une libido de feu
Manon, Claire, Sofia, Marine et Olivia avaient le feu au cul et, côté masculin, la joie du moment faisait exulter notre libido.
J’avais déjà baisé à quatre, jamais plus, mais, lorsque nous avons entendu les cris de chattes humides, de gémissements rauques accompagnant les éjaculations et les feulements orgasmiques des femmes.
Les couples se sont graduellement agglomérés jusqu’à ce que nous finissions toutes et tous ensemble.
Aucun complexe lié au corps ne nous retenait, nous passions donc de bouche en bouche, de queue en queue, de chatte en chatte.
Je me suis même retrouvé à lécher le minou de Sofia dans lequel allait et venait la grosse bite de Charles.
Plaisirs gays et lesbiens
Lorsque la belle beurette m’a dit que cela la ferait « trop kiffer » de voir un mec sucer un autre mec, Charles était d’accord, j’ai enfourné sa colonne et j’ai été surpris d’apprécier donner cette caresse.
Je me suis toutefois empressé de confier ma tige aux bons soins buccaux de Manon, une pompeuse comme j’en ai rarement connue.
Les corps s’entremêlaient tous les soirs, nous avons voté à l’unanimité le projet de photographier chacune de nos parties fines, les souvenirs de ce séjour fou resteront ainsi toujours disponibles.
À mon grand étonnement, ce sont les filles qui ont été les plus excitées par cette idée, jouant le jeu à fond, nous gratifiant de stripteases qui mettaient le feu à l’ambiance, des effeuillages plus que complets, les nanas s’aventurant de plus en plus loin dans l’exhibition et les expériences.
Après nous avoir montré leur intimité dans les moindres détails, écartant leurs petites lèvres, ouvrant leurs fesses pour nous donner à mirer leurs rondelles gourmandes, elles se laissaient aller à de vrais shows lesbiens avant de nous inviter à les rejoindre.
Tournois coquins
Et comme nous avons tous l’esprit de compétition, nous avons mis en place des concours. Pour les filles, évidemment, tournoi de pipe. La gagnante était celle qui arrivait à faire juter son partenaire en premier.
Personne ne voulait de moi, tout peine à jouir que je suis.
De leur côté, il y avait plus de créativité, nous avons commencé par le même type d’épreuves avec les cunnilingus, mais trop facile, un peu de concentration et elles partaient au bout de trois coups de langue.
On a donc corsé la chose et lancé plusieurs défis. Le premier : celle qui enchaînerait le plus grand nombre d’orgasmes à la suite.
Le deuxième : celle qui parviendrait à se retenir de venir et enfin le troisième : le déclenchement en cascade, celle qui jouit le plus fort.
Les JO du cul
Après ces Jeux olympiques du cul, le meilleur moment restait toutefois les mêlées générales.
On ne peut pas s’imaginer ce que c’est que de baiser à six, huit ou dix, tous dans la même pièce. Des corps enchevêtrés, des seins à portée de main, des fesses, des sexes ouverts et mouillés, des chattes et des anus accueillants.
Des doigts qui cherchent votre bite pour la branler, l’enfourner dans une bouche, pas toujours celle de la propriétaire de la main d’ailleurs, ou la guider vers un petit trou déjà pas mal rougit et dilaté par une queue qui l’a fourré à fond !
Les pelles se succédaient au même rythme que les fellations, les câlins tendres cédaient soudain leur place à des désirs de plus en plus fous. Manon, entre autres, a souhaité, la première, tester la double pénétration.
Elle a essayé toutes les combinaisons d’hommes envisageables, par devant et par derrière. Conclusion, face à son plaisir qui la laissait tremblante à chaque expérience, toutes les filles ont voulu y passer !
On leur a joui dessus et dedans partout où il est possible à un garçon d’éjaculer, elles se sont régalées de nos foutres pendant tout le séjour !



