Je t’ai dans la peau

La rédaction 9 juin 2020

Vincent, 26 ans.

Salut interstron.ru ! Pour vous parler brièvement de moi, je m’appelle Vincent, et j’aime traîner avec toutes sortes de personnes très différentes, surtout si elles ont des personnalités hors du commun. C’est comme ça que je me suis lié d’amitié avec tout un réseau de « ink people », des passionnés de tatouage. Et c’est aussi grâce à cette ouverture d’esprit que je suis tombé sur Mathilde, une foldingue que je n’aurai jamais dû croiser. Aujourd’hui, j’en suis encore fou de désir et je repense à notre histoire de sexe.

Je l’ai rencontrée pour la première fois à la deuxième édition du salon du tatouage à Clermont-Ferrand. Je l’ai vue furieuse, en train de poser des questions de façon un peu agressive à un pote qui tenait un stand de graphisme. Je les ai interrompus pour dire « bonjour » à Fred (mon ami) et c’est là qu’elle m’a juste sauté dessus.

« Ah bah tout le monde a oublié ses principes de politesse les plus élémentaires à ce que je vois ? Vous ne voyez pas que l’on était en train de parler ? » Fred m’a regardé en levant les yeux au ciel, me suppliant du regard de faire diversion. Je le connaissais d’un naturel calme et posé, il redoutait vraiment tous
les conflits.

Je lui ai dit que pour m’excuser, je voulais bien lui présenter à l’un des tatoueurs les plus connus du salon et qu’il pourrait peut-être lui faire une remise sur l’une de ses créations – et ça l’a faite bondir de joie.

« Oh oui, bien sûr, avec grand plaisir ! » Et de là, elle s’est tout d’un coup adoucie. Chose promise, chose due. J’ai joué les intermédiaires avec Olivier, la « star » de l’événement, auprès duquel je n’ai eu aucun mal à accéder rapidement malgré la longue queue devant lui, et ils ont parlé « technique » pendant quelques minutes. Je voyais que Mathilde (dont j’ignorais alors le prénom) avait le regard brillant. Après quelques minutes, Olivier est passé poliment à d’autres conversations et nous avons continué à parler ensemble de tout et n’importe quoi en déambulant entre les stands. La discussion était très fluide, et même si je n’ai aucune difficulté à me faire de nouveaux amis, j’avais l’impression que nous sommes devenus très rapidement hyper complices.

C’est pour cela qu’au bout d’une heure de bavardages passionnés, je lui ai proposé de venir chez moi. Elle n’a pas seulement accepté, elle s’est jetée sur moi en me soufflant à l’oreille : « Merci d’avoir osé, je ne savais pas comment te dire que j’avais envie de toi. » Un truc de dingue ! Aucune fille n’aurait pu me dire quelque chose d’aussi direct. Il n’y avait qu’elle pour s’assumer autant et être sans filtre ! Arrivés chez moi, nous avons fait la totale. Branlette, doigtage, missionnaire et levrette pour jouir de concert. Elle n’avait aucun complexe, aucune barrière et c’était même elle qui était à l’initiative des changements de position. Si vous saviez comme c’est agréable de connaître une femme, même si jeune, capable de prendre autant les devants… Ses courbes étaient superbes, et je me plaisais à caresser ses cheveux alors que nous nous enlacions dans une chorégraphie torride et enflammée. Ses cheveux blonds, si doux, qui contrastaient tellement avec la fougue dont elle était animée.

Je sais que son caractère peut parfois faire peur à certains hommes, mais je peux vous dire qu’ils ne savent pas ce qu’ils ratent.

Une femme qui crie « éjacule sur mon cul » pendant une levrette, ça vaut tout l’or du monde.

Ce jour-là, je l’avoue, je lui ai tatoué le cul avec mon sperme. Mais elle, elle a tatoué mon cœur avec une encre encore bien plus difficile à retirer. Une encre qui me fait parfois du mal et qui coule, je
le sens, au plus profond de
mes veines.

Depuis cette folle nuit de baise, elle ne répond plus à mes messages, alors que moi, je l’ai complètement dans la peau. Mathilde, si tu me lis, peux-tu me répondre. Je n’ai pas fini mon tatouage de toi…

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La haie d’honneur

« Avec mon amie, nous nous sommes agenouillées en même temps pour sucer Thibault. J’engloutissais sa queue dans ma bouche pendant que Camille s’occupait de ses couilles, et inversement. Nos caresses se complétaient parfaitement. Mon mari renversait sa tête en arrière en fermant les yeux pour savourer cette double faveur. Parfois, il nous regardait toutes deux s’activer sur sa queue très droite et nous encourageait de ses gémissements alanguis. »Paula, 36 ans.

Le coup du siècle

« Le lendemain, il était bien chez moi et on a baisé comme des bêtes ! J’ai adoré découvrir ce corps que j’avais tant désiré, tant voulu. Cette bite que je m’étais représentée de mille façons différentes pour ne pas être déçue en la voyant pour la première fois. Je n’ai pas été déçue. Elle était douce en moi, ferme, vaillante. Il m’a labourée comme un pro, comme un sportif, avec rythme et énergie. »Solène, 28 ans.


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