Juste un petit doigt
19 avril 2019Dylan, 36 ans, Dunkerque.
Il y a six mois, à l’école maternelle de mon fils, j’ai fait la rencontre de Maria, une très charmante demoiselle. C’est pendant la réinterstron.ru de rentrée que je l’ai remarquée : elle était brune, avec un joli sourire et des nichons qui tenaient tout seuls. Ça me changeait de mon ex qui mettait toujours des pulls larges pour cacher ses loches. Maria avait l’air fière de son corps, le plus excitant chez une femme !
J’ai vite trouvé un prétexte pour la revoir seul à seul. Comme mon fils est une terreur en classe, elle m’a reçu sans problème dans son bureau. J’ai commencé le rendez-vous doucement, en parlant d’elle, en lui posant des questions… Elle m’a raconté qu’elle venait de Guadeloupe et que son mec était encore là-bas pour trois mois, avant de venir la rejoindre en métropole.
J’essayais de ne pas trop lorgner sur elle, mais j’étais sûr qu’elle ne portait pas de soutif : je pouvais voir ses tétons qui pointaient quand elle parlait de son Jules. J’ai de suite flairé la femelle qui n’avait pas vu le loup depuis un bail.
Du coup, j’ai décidé d’y aller cash. J’ai balancé : « C’est pas trop dur la distance, surtout sexuellement ? ». Maria est devenue très rouge d’un coup. Peut-être que j’y avais été un peu fort… Sauf que dans son tee-shirt, j’ai remarqué que ça pointait toujours ! J’ai continué : « Ne soyez pas gênée. La distance, ça rend fou, du coup il faut savoir décompresser. ». Je lui ai fait mon plus beau sourire, celui qui fait craquer les filles.
Surpris, j’ai alors vu Maria se lever lentement et ouvrir la porte d’à côté. Elle a simplement dit : « C’est la salle réservée à la sieste des petits, on sera tranquille. ». J’étais quand même scotché qu’elle dise oui aussi vite. J’ai pas mal de succès avec les dames, mais là, je n’avais même pas fait d’effort. J’ai alors compris que ce que Maria voulait plus que tout, c’était le coup de queue qu’elle attendait depuis des mois…
Puisque la mignonne n’avait pas besoin qu’on fasse de chichis, je suis entré dans la pièce et j’ai direct descendu mon jean. Elle a baissé les yeux vers mon vié. C’était une demi-molle qui avait besoin d’aide. La peur de se faire gauler par une autre instit me rendait mou. J’ai commencé à tirer sur le nœud, et Maria est de suite venue à la rescousse, tombant presque à genoux devant moi, elle m’a pris en bouche comme si elle n’avait pas sucé de bite depuis Mathusalem.
Je l’ai laissé faire en lui lançant de temps en temps : « Doucement, ma goulue », histoire qu’elle ne me force pas à lui balancer ma purée dans la gorge. Quand j’ai été bien astiqué et dur, je l’ai amenée sur un des lits. Un truc pour les gosses avec un matelas tout petit, mais ça faisait l’affaire. Je me suis allongé et j’ai placé Maria à califourchon sur moi, la tête vers mes pieds, le fion bien haut vers moi.
J’ai toujours eu un truc spécial avec cette position : on peut voir la minette, le derche et faire tout un tas de saloperies dans les deux trous en même temps. Maria n’a pas tardé à se détendre, elle avait trop envie de se faire limer. Elle a écarté les jambes, rien qu’un peu au début, mais de quoi me laisser la place. J’ai attrapé mon chibre et j’ai frotté mon gros gland sur sa craquette bien gonflée.
Dedans, j’ai senti comme du miel qui coulait épais comme j’aime. J’ai posé mes mains sur ses épaules et je l’ai forcée à descendre un peu. Je l’ai entendu parler de son mec, dire qu’elle ne devrait pas faire ça, que c’était mal… J’ai appuyé encore en lui disant qu’on ne dirait rien, qu’elle avait bien droit à sa ration de chibre comme les autres. La garce a gémi, et je l’ai senti s’enfoncer d’elle-même sur mon dard.
Excité comme un fou, j’ai commencé à onduler tout en lui racontant qu’elle avait la chatte serrée comme toutes les salopes infidèles, mais que je finirais bien par l’élargir et qu’à la fin je cracherais mon foutre dans sa grotte bien ouverte. Maria couinait comme une souris, enfournant plus loin ma queue dans sa minette, bougeant en rythme pour faire frotter son clito sur moi.
J’avais son cul comme panorama et j’en ai profité : d’abord des caresses sur les bords et, comme elle couinait de plus belle, un index a glissé dans le cul. Elle a bien résisté un peu au début, mais elle en a redemandé quand je lui ai dit qu’elle méritait que j’y mette toute la main, tellement c’était une belle garce.
J’ai kiffé la situation jusqu’à ce qu’elle commence à faire trop de bruit. Je l’ai alors empoignée par les hanches et je l’ai fait sauter sur mon dard comme une poupée de chiffon. Elle était tellement moite à l’intérieur que je ne sentais presque plus les bords… J’ai fini par décharger dans sa craquette, mais sa chatte béante s’est vidée sur moi et j’en ai eu plein le bas-ventre. Du coup, je lui ai demandé de nettoyer. Je crois que c’est ce qui m’a le plus fait prendre mon pied : voir cette salope en train de lécher mon foutre sur mes couilles et mon nombril.
Quand je croise Maria devant l’école, on se fait juste un petit signe discret. Je sais que je ne l’aurai plus jamais, mais au moins, je lui ai mis ce qu’il fallait pour qu’elle tienne jusqu’au retour de son copain.
(Photo à la une : Getty Images)
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« Il m’a allongée par terre et s’est soulevé sur les bras au-dessus de moi. Il a regardé attentivement mon bas-ventre, son pénis, et il est venu se planter en moi dans un grognement de plaisir. J’ai ressenti une décharge de volupté. » Agathe.
Le beau gosse de la salle de sport
« Nous n’étions pas dupes, ni l’un ni l’autre. Dès que la porte a été fermée, j’ai posé une main sur sa queue. Il portait sa belle banane à gauche. Elle était déjà en train de gonfler. Je l’ai sentie remuer à l’intérieur de son pantalon de costume gris sous l’effet de mes doigts inquisiteurs. » Manon.
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