La brasse coulante
31 août 2020Arthur, 18 ans, fantasme sur sa coach de natation Amélie. Un jour, alors qu’il est à bout de nerfs dans les vestiaires, elle vient le consoler en le suçant.
Je m’appelle Arthur, j’ai 18 ans et il faut que je vous raconte mon histoire de sexe. Depuis que je suis môme, je m’entraîne dur pour devenir champion de natation. Ma coach, Amélie, a 31 ans et c’est une vraie cochonne : super hard avec moi. Heureusement, elle est bonne. J’aime bien lui mater le cul quand elle fait le tour du bassin. J’imagine comment je pourrais me venger d’elle, par exemple en lui cassant les pattes arrières… Vous comprenez bien comment.
Je ne pensais jamais qu’un jour, je me la ferai en vrai. C’est arrivé il y a un mois. J’étais super vénère contre elle parce qu’elle arrivait à la bourre à l’entraînement depuis une semaine. J’avais pigé qu’elle avait un nouveau mec : elle se maquillait, elle était dans la lune… Moi, ça me rendait ouf. Déjà parce qu’elle faisait mal son boulot. Et puis aussi parce que je n’aimais pas qu’un mec la rende comme ça, toute guimauve. Du coup, ce vendredi-là, quand elle m’a dit que je devais bosser plus dur, je suis sorti de l’eau et je me suis cassé.
Comme un con, je me suis retrouvé sous la douche à chialer. J’étais hors de moi et triste à la fois, mais quand Amélie est entrée dans le vestiaire, j’ai fait genre que tout allait bien. Elle a commencé à vouloir me faire la morale : « Tu ne peux pas te barrer comme ça, et l’entraînement, et je compte sur toi… » J’ai explosé et j’ai hurlé : « Mais tu t’en branles, de moi ! » Et j’ai recommencé à chialer.
Amélie est restée comme une conne, la bouche grande ouverte. Puis elle s’est avancée vers moi… pour finir sous le jet d’eau elle aussi. J’ai fait : « C’est con, tu es trempée maintenant ! » Son tee-shirt était plaqué sur ses seins et on lui voyait tout, car elle n’avait pas de soutif. Ses cheveux blonds collaient à son visage et elle était vraiment très belle… Je me suis rapproché d’elle et j’ai dégagé une mèche du bout des doigts. Elle s’est hissée sur la pointe des pieds. Et là, elle m’a embrassé. La plus longue pelle de ma vie, avec la langue tout au fond et tout ! Je me suis mis à bander dans mon slip de bain. Au début, j’ai eu peur que mon entraîneuse capte. Mais quand elle a mis la main sur la bosse, j’ai compris qu’elle voulait me consoler. Elle a baissé mon caleçon sur les chevilles.
BOUTIQUE SEXY
L’eau avait arrêté de couler, alors j’ai appuyé sur le bouton pour ne pas avoir froid. Amélie était maintenant à genoux dans la douche. Quand elle a pris ma bite et qu’elle a commencé à lécher le bout, j’ai prié pour que personne n’entre dans les vestiaires. C’était tellement bon… J’ai pensé à l’entraînement, à son mec et je n’ai pas pu me retenir : je l’ai choppée par les cheveux et j’ai enfoncé son visage pour qu’elle avale. Elle a fait un bruit louche, mais elle ne s’est pas dégagée.
Amélie m’a ensuite attrapé par les cuisses et a commencé à aller et venir avec sa bouche. Dès qu’elle coulissait vers l’avant, je devais me retenir pour ne pas jouir. J’avais peur qu’elle n’aime pas ça. Après, j’ai compris que c’était justement ce qu’elle voulait : elle allait de plus en plus vite, de plus en plus loin, en me regardant droit dans les yeux…
J’ai caressé sa tête et j’ai donné le rythme. Jamais aucune fille ne m’avait sucé la bite comme ça, en aspirant autant. Elle était soumise et en même temps, c’était elle qui commandait si je pouvais juter ou pas. J’ai regardé au plafond pour essayer de tenir encore un peu, mais ma coach a sucé super profond. Je l’ai matée à nouveau : elle était beaucoup trop sexy sous l’eau chaude, avec sa bouche pleine… J’ai appuyé de nouveau sur sa tête pour qu’elle m’ait tout entier dans la gorge… et j’ai éjaculé d’un coup. Amélie s’est retirée doucement, puis elle a entrouvert la bouche et elle a laissé couler lentement. J’ai vu le liquide gluant qui descendait sur sa lèvre inférieure et son menton. Le jet d’eau s’est arrêté à ce moment-là et j’ai pu profiter du spectacle : ma prof qui bavait et avalait mon sperme en même temps, toujours en me regardant.
Depuis, je m’entraîne encore plus dur. Il ne s’est jamais plus rien passé avec Amélie, mais elle a quitté son mec. J’espère que dans quelques temps, elle et moi, on pourra reprendre là où on s’est arrêté.