Un doux réveil

La rédaction 2 août 2021

Je suis autrice de livre pour enfants et j’ai noué une relation très proche avec l’illustratrice avec laquelle je collabore sur presque tous mes titres. Nous avons le même âge, trois enfants chacune, la même passion pour les mômes, le même humour, bref, un coup de foudre amical. A tel point que nous organisions très régulièrement des dîners chez elle, où je rencontrais son mari, Laurent, adorable, et toute sa marmaille. Évidemment Laurent est beau, un brun à l’allure ténébreuse, un peu plus viril que Tomy, mon mec. Un Ecossais bien roux à la peau laiteuse, et surtout, il était humoriste de profession et c’est vers lui que toutes les attentions se tournaient à chaque réinterstron.ru. Je m’appelle Anaé, j’ai 38 ans et voici moon histoire porno.

Grasse mat’, croissants et révélations

Est-ce qu’il me draguait ? Très certainement, mais comme toutes les femmes qui passaient à sa portée : c’était un séducteur né, un tchateur dans l’âme. Et ma pote s’en accommodait, il ne s’en cachait pas et surtout, ce ne les empêchait pas d’être très complices dans leur couple.

A la sortie de la crise sanitaire, tous les quatre vaccinés, nous avons décidé d’organiser nos premières vacances ensemble. Nous avons loué une grande villa de vieilles pierres majestueuse, dans le Sud de la France, entre Saint-Rémy et les Baux-de-Provence. Piscine, barbecue, tennis de table, c’était la belle vie, pour nous comme pour toute notre marmaille.

Mais malgré le cadre paradisiaque, mes journées étaient éreintantes, je travaillais d’arrache-pied sur un nouveau projet éditoria et je devais gérer cette charge professionnelle en plus d’un minimum de cuisine, de courses et de l’encadrement des gamins.  Je me suis donc accordée, un matin, un petite grasse mat’ dans la chambre pendant que mon mari Tomy était parti emmener les petits en rando. Qui a toqué à la porte de ma chambre dès 10h avec des croissants ? Laurent bien sûr qui a profité de l’occasion.

Comme il faisait très chaud, je dormais nue et je me suis tout de suite excusé d’être dans une tenue aussi indécente. J’ai essayé de me cacher sous les draps mais Laurent m’a fait comprendre que ça ne le dérangeait pas ! « Tu es très belle comme ça, Anaé » m’a-t-il dit en m’embrassant doucement, sur la bouche. J’avais très peur que mon amie nous découvre au petit matin, dans le même lit mais il m’a expliqué qu’ils avaient tous les deux un petit arrangement : ils étaient en relation libre et il faisait donc ce qu’il voulait.

Surprise du chef !

« C’est plutôt Tomy qui ne va pas être content ! », et il avait raison. Tomy était jaloux comme un pou, il n’aurait jamais accepté que Laurent me voit nue, ni me m’embrasse. Mais après tout, j’étais capable de tenir un secret et Laurent aussi ! Et c’était les vacances, j’avais bien le droit de décompresser un peu, non ?

Il s’est mis à caresser toutes les parcelles de ma peau, chaude, encore ensomeillée, puis à lécher, avec beaucoup de douceur… mon petit trou du cul ! Jamais Tomy ne se serait aventuré dans une zone aussi audacieuse. Mais cela ne m’étonnait pas de la part de Laurent, beaucoup plus aventurier et téméraire. Et vous savez quoi ? C’est super bon de se faire lécher le trou de balle, je ne sais pas comment le dire, c’est à la fois un peu dégueu et en même temps très excitant.

En tout cas, ça a eu l’effet escompté : j’étais trempée ! Laurent s’est alors déshabillé et m’a présenté sa belle bite à bonne hauteur pour que je le branle. Ce que j’ai fait, d’une main énergique et pleine d’assurance. Plus je donnais des à-coups, plus je sentais son gros bout s’épaissir et gonfler dans ma main, et son gland, violacé, s’imposer entre mes doigts.

Je l’ai ensuite bien sucé, comme un pro, comme jamais je n’avais englouti un mec. Je sentais qu’avec Laurent, toutes mes barrières étaient en train de sauter, une à une. Que je n’avais plus de retenue. Puis, il m’a baisée, tout doucement, en prenant son temps tout en me regardant dans les yeux.

Pour être très honnête ça m’a fait un peu bizarre : je m’attendais à ce qu’il soit dur et sauvage, il s’est montré tendre et romantique. Comme un amoureux. Il a éjaculé dans mon nombril pour ne pas « me faire un quatrième gamin » a-t-il dit en rigolant, puis a passé le reste de la matinée nu, allongé, à côté de moi tout en chantant « et que durent les moments doux… ».

C’était un très joli souvenir.

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