La cabine des trous glorieux

La rédaction 23 janvier 2021

Pascale, 49 ans, découvre le glory hole dans un sauna libertin. En bonne gourmande, la coquine va adorer ça et se découvrir une vraie passion

Je suis une femme de 49 ans et voici mon histoire de sexe. On me dit plutôt attirante. Je suis secrétaire. Nos bureaux se trouvent dans une rue très commerçante de Lyon, et je gare ma voiture dans la rue ou au parking. Je suis mariée depuis de nombreuses années, et tout va pour le mieux dans mon couple, excepté une routine parfois difficile à supporter. J’ai souvent très envie de vivre quelque chose d’excitant.

Un soir, ma voiture est tombée en panne en sortant du parking. Il était assez tard, et les quelques passants, d’un oeil amusé, me regardaient en train de m’acharner sur le démarreur. Un homme a frappé à ma vitre. Il avait l’air plutôt sympa. Il m’a proposé de laisser ma voiture et de me raccompagner chez moi.
Mon naturel craintif m’a fait refuser. Par contre, je lui ai demandé de me prêter son portable pour prévenir mon mari que j’étais en panne.

Mais il m’a répondu qu’il n’avait pas de téléphone mobile. Il m’a dit que je pouvais téléphoner de l’établissement qu’il devait livrer, qui se trouvait juste une rue derrière. Je ne me suis pas tout de suite rendu compte dans quel genre d’endroit j’entrais.

Une fois à l’intérieur, il m’a expliqué que nous étions dans un sauna libertin. Quelque peu gênée par la situation, je ne quittais pas le sol des yeux. J’ai appelé mon mari qui n’a pas répondu. L’homme m’a invitée à profiter des installations, en ajoutant que je n’avais rien à craindre de lui. Je n’avais qu’à me déshabiller au vestiaire et à enfiler un peignoir si je le souhaitais, tout était prévu pour le confort de la clientèle.
Bizarrement, cet homme que je ne connaissais pas m’inspirait confiance. Il était très respectueux et poli. J’ai finalement accepté, et nous avons échangé nos prénoms. Lui, c’était Michel.

De retour des vestiaires, on a discuté, et je lui ai expliqué que c’était la première fois que j’entrais dans un endroit comme ça. Il a voulu me faire visiter. J’ai croisé plusieurs hommes entièrement nus, très courtois et souriants, ainsi qu’un jeune couple vêtu de simples serviettes nouées aux hanches. Je me sentais à l’aise, pas du tout gênée par cette nudité ambiante. Ma curiosité avait l’air d’amuser mon guide. Je l’ai suivi jusqu’à une porte. Il l’a ouverte. C’était un genre de cabine d’essayage, sauf que les cloisons étaient trouées de chaque côté. Curieusement cela m’excitait et je lui ai demandé un peu plus d’explications.

Il a pris l’air étonné : « Vous n’avez jamais entendu parler de ce genre de cabine ? Eh bien, venez voir, petite curieuse. » Il m’a expliqué que les hommes introduisaient leur sexe dans ces orifices pour que la fille qui était de l’autre côté de la cloison les suce. Il m’a précisé que la porte de la cabine était équipée d’une petite vitre sans tain, ce qui permettait à la fille de voir qui elle allait sucer. Les hommes eux, ne voyaient rien. Il m’a lancé : « Vous voulez faire un essai ? » Ces « trous glorieux » m’intriguaient. J’ai ôté mon peignoir et posé ma serviette dans un coin, puis je me suis glissée nue dans la cabine que j’ai regardée sous tous les angles. Michel m’observait. Doucement, il a refermé la porte sur moi.

J’ai entendu un bruit de zip de braguette qu’on ouvre, et une queue bien épaisse et longue est sortie d’un des trous…

Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis agenouillée, presque par réflexe. La queue de Michel s’agitait devant mes yeux. J’ai ouvert la bouche et j’ai gobé sa bite sans autre façon. Je le suçais avec un véritable plaisir, les mains à plat sur la cloison pour me tenir en équilibre, avec des va-et-vient rapides. Il donnait des petits coups de reins pour entrer plus profondément dans ma bouche. Je voulais que cela dure le plus longtemps possible. Michel, de l’autre côté de la cloison, exprimait fortement son plaisir. Comme pour me prévenir, il s’est exclamé : « Oui ! Je viens ! » J’ai fait en sorte de tout avaler. Je ne voulais rien perdre de son plaisir, mais celui-ci était trop abondant. J’ai laissé tomber quelques gouttes sur ma jupe et sur le sol. Ensuite, Michel a sorti sa queue du trou et m’a dit : « Il se fait tard, viens, Sandra, je te reconduis chez toi. » Sortie de la cabine, je n’osais pas relever la tête, j’avais un peu honte.

Le lendemain, je suis sortie plus tôt de mon travail. Je devais rentrer en bus, ma voiture était au garage. J’ai fait un détour par le sauna. Au cas où Michel serait là… À vrai dire, j’espérais vraiment que ce soit le cas et j’étais mouillée rien qu’à l’idée d’y retourner. Michel était à la porte. Il m’a fait signe d’entrer, de ne pas faire de manières. Il m’a précipitée dans le vestiaire et m’a mise nue. Enfin, il m’a proposé de retourner à la « cabine magique »… J’avais le bas-ventre en ébullition et je me sentais excitée comme jamais je ne l’avais été.

Après un court instant, une petite queue un peu biscornue s’est présentée à moi. Je l’ai engouffrée les yeux ouverts. Une autre queue, assez longue, a fait son apparition par un des trous. Quel bonheur de m’occuper de toutes ces bites dures ! J’ai branlé le nouvel occupant, tout en suçant le premier qui a éjaculé dans son préservatif. Ça m’a fait tellement plaisir que j’ai masturbé l’autre de plus en plus fort, et il n’a pas fallu beaucoup de temps pour que sa longue verge m’asperge le torse de foutre. Après ça, je me suis relevée. J’ai eu du mal, mes jambes étaient toutes molles d’être restées pliées comme ça si longtemps. Mais, quel plaisir !

Le sauna de Michel est devenu pour moi une véritable passion, j’aime bien rester une chienne anonyme.

(Image à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Baisé par trois créatures

Le plaisir de ma coquine

Du plaisir au boulot


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru