La gouvernante en chaleur

La rédaction 31 octobre 2020

Richard, 50 ans, craque sur la gouvernante : il lui réserve une partie de jambes en l’air torride avec une sodomie à la clé.

Cette histoire de sexe s’adresse à Ève, mon amante. Je ne pense qu’à ton corps magnifique, et j’ai décidé de le partager avec les lecteurs d’Union.

Je m’appelle Richard, je suis médecin généraliste et j’ai 50 ans. Depuis quelques années, la flamme s’était éteinte entre moi et mon épouse, Catherine : nous nous adonnions à la bagatelle moins d’une fois par mois… Mais elle restait une mère de famille remarquable, prenant soin de la maison et de nos trois enfants.

Il y a 6 mois, Catherine a décidé de reprendre le travail. Pour faire tourner la maison, elle nous a donc trouvé une gouvernante… beaucoup trop sexy pour moi.

Pendant plusieurs semaines, Ève et moi avons joué au chat et à la souris. Mon cabinet étant juste à côté de la maison, je rentrais parfois manger le midi. Elle et moi papotions avec un plaisir non dissimulé et je ne pouvais m’empêcher d’admirer son visage d’ange et ses courbes affolantes. De beaux nichons, un cul ferme, qui remuait quand elle faisait la vaisselle…

J’avais envie de la plaquer contre l’évier et de la prendre tout de go. Je me suis tout de même contrôlé jusqu’à ce chaud mois d’avril dernier. Il était 13 h quand je suis rentré déjeuner à la maison.

D’habitude, je trouvais Ève en train de faire du repassage ou de préparer le repas du soir. Mais ce jour-là, elle n’était pas dans la maison. Il faisait une chaleur affolante, alors je me suis dit qu’elle devait prendre le frais dans le jardin.

Mieux que ça : je l’ai découverte en train de barboter dans la piscine gonflable des enfants, dans une tenue qui laissait peu de place à l’imagination. Je me suis approché, en espérant ne pas la faire fuir. Au contraire, c’est elle qui a déclenché les hostilités.

« Bonjour, Richard », a-t-elle fait en sortant le buste de l’eau. Ses tétons pointaient à travers son maillot et j’ai eu tout de suite la gaule. Elle a tendu la main vers moi et a continué : « J’espérais que vous rentriez ce midi. J’ai tellement chaud que ça m’a donnée des envies… ».

Doucement, j’ai avancé mes doigts vers sa poitrine et l’ai caressée, tandis qu’Ève gémissait doucement. Son piercing au nombril, ses cuisses écartées, sa chatte que je devinais totalement épilée… La garce était plus désirable que jamais. Et je n’avais encore rien vu.

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Après s’être bien fait pétrir les seins, la gouvernante s’est levée et m’a embrassé langoureusement… avant de tourner les talons. Abasourdi, j’ai fini par la suivre en direction de l’étage. Je l’ai cette fois-ci retrouvée dans la chambre conjugale, cul nu, mais portant une paire de bas et un top en dentelle… qui appartenaient à ma femme !

J’ai tout de même dit à Ève qu’elle ne manquait pas d’air. Sa réponse ? Elle m’a lancé un petit rire de gorge, avant de s’allonger sur le lit. La voir ainsi parée des atours de Catherine, si fraîche au sortir de l’eau, m’a fait un effet incroyable. Mon sexe était même douloureux tant la pression était forte ! Je me suis allongé près de la mignonne.

Ma femme étant très longue à chauffer, j’ai d’abord imaginé que nous allions nous cajoler, Ève et moi. Mais pas du tout : à peine étais-je près d’elle que la diablesse s’est jetée sur moi pour me déshabiller, puis a avalé ma verge à pleine bouche. Elle s’est ensuite placée à califourchon et dos à moi, en miaulant : « Richard, défonce-moi par derrière… ». Mon rêve de la fourrer se réalisait enfin !

Je ne me suis pas privé : j’ai saisi ma queue et j’ai visé la cible que me présentait Ève. Elle avait dû se préparer en attendant mon arrivée : son fourreau était souple et accueillant. Lentement, elle s’est laissée glisser sur moi… Quel pied, surtout qu’en même temps, la belle s’est mise à ondoyer, m’arrachant des grognements de plaisir !

J’étais tellement à fond que je me suis entendu lui crier : « Ève, plus fort ! Je vais gicler ! » Elle s’est alors arc-boutée et j’ai éjaculé à gros bouillons dans son anus. Sentant le jet en elle, la garce s’est désemmanchée puis a frotté mon sexe partout sur ses miches en piaillant d’excitation, avant de le guider à nouveau en elle. En utilisant ma virilité comme un jouet, elle a joui sans tarder.

Les jours suivants ont été très chauds : chaque midi, Ève m’attendait. Une fois, elle s’est allongée sur le canapé du salon et m’a laissé lui prendre la bouche jusqu’à ce que le sperme coule dans sa gorge. Une autre fois, je l’ai baisée par la chatte dans le lit marital et elle a joui deux fois, avant que je ne vienne à mon tour. Nos rendez-vous sont devenus pour ainsi dire une tradition, à laquelle je suis complètement accro.

Ils ont même relancé ma vie sexuelle avec ma femme, ce qu’Ève trouve très excitant : elle m’a demandé plusieurs fois de besogner Catherine et de ne pas me laver ensuite, afin de lui offrir le lendemain son goût de vulve sur mon sexe… Cette lettre lui donnera peut-être de nouvelles envies encore plus folles ?

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  • Caillat

    Oh là là très excitant…

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