La position idéale

La rédaction 24 juillet 2019

Mélinda, 32 ans, Lyon.

La position idéale

Il vient de m’arriver une aventure que j’ai envie de vous raconter. Même si j’ai une vie sentimentale stable, j’aime m’envoyer en l’air quand un mec me plaît. Et un mec qui me plaît, j’en ai rencontré un cette semaine. Il y a des filles qui regardent les mecs dans les yeux, moi, ce serait plutôt à la hauteur de la braguette.

Celui-là, qui se tenait face à moi cet après-midi-là sur le parking désert du supermarché, l’avait bien gonflée. Et la façon dont il matait ma poitrine m’a suffi. On a très vite fait connaissance. Au bout de quelques minutes, on a été direct dans ma voiture, sur le siège arrière. Je roule en petite citadine, et je me suis contorsionnée pour lui faire une pipe. Je voulais qu’il me baise fort et, pour le lui faire comprendre plus rapidement, je me suis mise à quatre pattes, en levrette… Le mec était vraiment bien monté, je l’ai senti buter au fond de ma chatte et cela me faisait beaucoup de bien. En plus, il m’enfonçait des doigts mouillés dans le cul et j’aimais vraiment ça. Lui, ce qu’il aurait très certainement voulu à mon avis, c’est me fourrer son gros pieu à la place de ses doigts. Mais bien évidemment, j’ai refusé ! Aucun homme n’avait jamais visité ce trou auparavant. Alors, pas celui-là !

Il n’a rien voulu savoir, il me disait que mon anus était fait pour prendre des coups de bite et que là, en plus, j’étais dans la position idéale. Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis laissé convaincre. Et c’est là, à quatre pattes sur le siège arrière de ma voiture, bien cramponnée à l’accoudoir, que j’ai pris ma première queue dans le cul. Même si j’ai eu super mal sur le moment à cause de ce salaud, j’ai ressenti un grand bonheur. Quand certaines de vos lectrices disent « se sentir devenir salope », j’ai eu le même sentiment lorsque son pieu m’a élargi la rondelle.
J’avais l’impression d’être défoncée et pourtant, j’en voulais encore plus. Enculée jusqu’à la garde par un mec que je connaissais à peine, j’ai pris mon pied. Il m’a demandé un truc super cochon après : que je lui nettoie la bite avec ma bouche. J’ai refusé en lui tendant des mouchoirs en papier. Et en le quittant, j’ai vraiment cru que cela serait comme d’habitude, une aventure sans lendemain. Je me trompais.

Le lendemain, j’ai revu mon baiseur dont je ne connaissais pas le nom. Je faisais du shopping dans un grand centre commercial de la région quand il m’a abordée. Mais, malheureusement, il n’était pas seul. On est allés prendre un café et il m’a proposé de poursuivre notre « escapade » de la veille. J’étais partante. Il m’a emmenée dans sa garçonnière, mais son copain s’est incrusté. À un moment, j’ai cru que son pote était parti. Du coup, je me suis jetée sur sa braguette. Pendant que je le suçais avidement, l’autre type est revenu dans la pièce. Mon amant lui a vanté mes talents de suceuse et lui a demandé de se rapprocher. Moi, à genoux, sur le plancher d’une chambre que je voyais pour la première fois de ma vie, je les ai embouchés tous les deux. Un grand moment de bonheur.

J’ai arrêté avant que les deux mecs ne déchargent dans ma bouche, parce que d’une part, le goût du sperme m’écoeure et que, d’autre part, j’avais la chatte en feu. Mon amant s’est allongé sur son lit et m’a invitée à m’asseoir sur sa queue. Très vite, elle est rentrée comme le jour précédent jusqu’au plus profond de mon vagin, et j’ai joui tout de suite. J’avais complètement zappé son pote. Ce salaud cherchait à investir mon cul ! Soudain, j’ai eu envie de renouveler l’expérience de la veille. Mais, chaque chose en son temps. Il me fallait me remettre dans une position idéale pour l’accueillir, ce que j’ai fait. J’ai senti son sexe me pénétrer l’anus beaucoup plus facilement que le jour précédent, alors que celui de mon amant me remplissait encore le minou.

Après avoir joui, ils m’ont demandé le même truc cochon que la veille, et cette fois-ci, j’ai accepté. Mais, très franchement, ce n’était pas bon du tout, ces sexes dégoulinants d’un tas de choses. Comme les mecs rebandaient, j’ai été motivée pour les resucer goulûment. Je devais avoir la position idéale : ils ont déchargé dans ma bouche, et j’ai avalé… À nouveau, ce n’était pas bon, mais j’étais assez satisfaite. Je recommencerai, sûrement. Il suffit d’avoir la position idéale.

(Image à la une : Getty Images)

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  • Julie

    Il faut ajouter l’étiquette « sodomie ».

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